L’alternative à l’austérité

le 15 avril 2014

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Décidemment, F. Hollande et M. Valls sont, non seulement sourds aux demandes populaires de justice sociale, exprimées lors des élections municipales, mais ils croient avoir raison contre une majeure partie de l’électorat de gauche, jusqu’à des secteurs importants du Parti socialiste et même de certains de ses élus. Dans sa déclaration de politique générale devant le Parlement, le Premier ministre a commencé son discours mêlant lyrisme et un semblant de lucidité sur la situation, pour mieux nous imposer l’austérité renforcée. C’est-à-dire la diminution des crédits sociaux et publics, le blocage des rémunérations du travail et des retraites, le maintien d’une fiscalité injuste et le torpillage de l’organisation territoriale du pays, avec la suppression des régions et des départements et celle de la plupart des communes rurales.

 

Le Premier ministre fait valser les milliards, résultat du travail des salariés et des paysans, vers les caisses des grands magnats de l’industrie et de la finance. Un cadeau de près de cinquante milliards d’euros est offert au grand patronat, en réduisant les crédits pour la santé, les collectivités territoriales et la protection sociale. Et le Premier ministre, avec mépris, fait semblant de lancer aux travailleurs une petite portion de brioche, en leur disant qu’ils vont avoir dans l’année, 500 euros de plus, sous forme d’une baisse des cotisations sociales. Mais cet argent, qu’il prétend donner aux travailleurs, leur appartient déjà et c’est celui qui sert à financer le bien commun que constituent la protection sociale et les retraites. Ainsi, sous couvert de répondre à une demande d’amélioration du pouvoir d’achat, il vous redonne l’argent que vous avez déjà, tout en portant un coup sévère au financement de la sécurité sociale en abaissant le niveau des rémunérations brutes et en exonérant les entreprises du financement de la branche famille de la sécurité sociale. Derrière ce rideau se cache le projet de privatisation de toute la protection sociale pour l’offrir aux assurances privées qui en rêvent depuis si longtemps. C’est ce que réclame désormais le Medef qui donne une bonne note au Premier ministre, tout en lui demandant d’aller plus vite. Son responsable des enjeux de protection sociale, qui est par ailleurs le Président du groupe Générali France, critique violemment le principe de solidarité en ces termes : « Le vrai sujet, c’est la lame de fond insidieuse pour nous qui nous entraîne vers toujours plus de solidarité dans l’entonnoir d’un système obligatoire », ajoutant pour l’immédiat « dix milliards d’euros pourraient sortir de la sphère publique afin de revenir dans le secteur libre ». Décidemment, les rapaces de la finance sont de sortie et ils ont les dents de plus en plus longues !

 

C’est une toute autre logique qui est indispensable pour sortir de la crise. Celle qui fait du travail, de l’environnement, de la justice sociale et écologique, sa priorité dans le cadre d’un nouveau partage des richesses créées en faveur des êtres humains et non plus de la spéculation.
C’est ce que disent en force les populations en Grèce, en Espagne, en Italie et au Portugal qui manifestent contre l’austérité.

 

C’est ce qu’ont dit samedi dernier, dans les rues de Paris, plus de cent mille marcheurs contre l’austérité et pour un nouveau partage des richesses. Cette mobilisation doit se poursuivre jusque dans les urnes, le 25 mai prochain à l’occasion des élections européennes. Ce sera l’occasion pour toute personne attachée aux idéaux de gauche et à la justice, d’utiliser le bulletin des listes du Front de Gauche qui sont les listes d’alternative à l’austérité, au chômage et à la mal vie en France et en Europe.


18 commentaires


sturaro 15 avril 2014 à 10 h 25 min

Il faut être plus incisif sur le danger que représente l’absence de cotisation sociale. Sans cotisation qui payera les retraites demain….sans cotisation qui financera la protection sociale…etc
Aujourd’hui un jeune qui ne versera plus de cotisation peut se dire que c’est super…mais la vie est relativement courte.
Les affres du chômage guettent et l’age de la retraite même s’il s’éloigne il est malgré tout une réalité a laquelle il faut penser.

pellizzoni 15 avril 2014 à 12 h 53 min

les plus touchés seront les retraités et les classes moyennes, c’est toujours pareil, il n’ya rien qui change, l’austérité touche toujours les mêmes, les grosses fortunes sont déjà parties depuis longtemps,et tout notre patrimoine, s’en va à l’étranger
vive la France et ses représentants ?

Maria Negreponti-Delivanis 15 avril 2014 à 13 h 40 min

Il est triste que la France aussi entre dans le gouffre du neoliberalisme, en poursuivant, je dirais, les memes pas-toutes choses egales par ailleurs- que les economies de l’Europe du sud. Ca commence-doucement- en amenuisant l’Etat-providence, dont les cotisations sociales font partie. Ils annoncent des economies….mais ces economies se font aux depens des plus pauvres qui dependent le plus des services sociaux. Ces “economies” mangent petit a petit le salaire indirect ou Social qui complete le salaire direct.Nous retournons, ainsi, au marche du travail sans Protection qui prevalait au debut du 19e siecle….et ca se fait sans des serieuses reactions.

novelli robert 15 avril 2014 à 15 h 23 min

je ne puis rien ajouter au commentaire que je vient de lire oui le social libéralisme et un opium pour le peuple depuis toujours les sociaux démocrates ont été les chevaliers servant du capitalisme

Le.ché 15 avril 2014 à 16 h 48 min

Il faut sortir de cette Europe et de l’euro, cette Europe est une idée des américains dès 1949, ils nous ont fait avaler leurs couleuvres et maintenant ils nous présente leur fameux marché transatlantique pour nous vendre leurs produits aux hormones et aux OGM voila la réalité.
Revenons à une Europe des nations et au serpent monétaire.
Cette Europe est bonne que pour les produits allemands et américains, les autres pays sont pris dans l’étau austéritaire.
Écoutez l’audio de jacques Nikonoff du M’PEP et vous comprendrez.

breteau jean claude 16 avril 2014 à 8 h 49 min

3 millions de gogos (et autant d’euro dans les caisses du ps) ont participé à la plus grande farce “démocratique” de l’histoire politique .Sont-ce eux qui ont déserté les urnes pour laisser sans sanction les malfrats ,qui n’en demandaient pas temps .Ce qu’ils peuvent considérer comme une punition c’est très vite retournée contre eux .Ce que craint ce pouvoir c’est une gifle de gauche ,contraignant celui-ci à trouver une autre majorité (qui existe)dans ses rangs et sans risque du retour de la droite et son extréme ,épouvantail suppréme et falacieux utilisé par ce pouvoir aux ordres des nantis .Il faut changer de braquet ,c’est le peuple électeur qui dispose de la solution ,pas le peuple absent .Il y a une séance de “rattrapage” le 25 mai ,ou toutes les voix compteront ,clairement ,en s’exprimant contre l’austérité avec un bulletin FDG ,tous les autres ,du FN au PS &tant pour .Ne pas voter pour ,enfin créer une secousse violente ,mais démocratique serait laisser à l’abandon des millions d’européens victimes des rapaces de la finance . C’est simple comme un bulletin de vote

curti 16 avril 2014 à 9 h 43 min

oui, je ne pense pas que l’abstention soit le remède à nos problèmes. S’est une attitude irresponsable de la part de ceux qui appellent au boycotte de ces élections Européennes, soit tout le monde sort, ou reste dans le système. Rappelez-vous comme il étaient prêt à virer les Grecs après les avoir assommé avec le remboursement de la dette, croyez-vous qu’une fois sortie du marché Européen, les grecs auraient vécu en paix, que le reste de l’Europe encore dans le système n’aurait pas spéculé sur la monnaie du peuple grecs? Attention en face, on a pas affaire à des enfants de cœur mais de véritables requins, on le voit bien mettre à mal nos vies ne les empêches pas de dormir!!
c’est bien les appels, mais il faut être réaliste et ne pas chercher à aggraver la situation. Pour commencer il faut ramener les gens aux urnes, avec un langage claire, à qui nous adressons-nous? qui voulons-nous convaincre, aider? les boursicoteurs du cac40?ou les ouvriers, employés!Il faut détricoter ce langage <> > <> est-il en crise? moi, je ne trouve,il se porte très bien, contrairement à nous!! Donc! il faut redresser la tête et repartir pour lutter contre ce mal qui nous opprime! car sur nos lieux de travail, nous entendons les réflexions de nos collègues <<si, nos employeurs avaient moins de <> ils créeraient des emplois>> nous savons parfaitement que la solution n’est pas là! Et que s’est la protection sociale qui est mise à mal, d’où le recul de l’Age de départ à la retraite, les soins, les traitements médicaux remboursés au rabais! Les aides aux précaires, chômeurs rabotés, idem pour l’APA ….Donc pour toutes ces raisons, voté massivement pour les listes conduites par le Front de Gauche, et n’oubliez pas que s’est une élection à UN TOUR, pas de vote utile PS….droite ou extrême. Toutes les voix vont comptées!!

BOUDET Pierre 16 avril 2014 à 16 h 18 min

Oui la seule arme en notre possession le 25 mai est le vote front de gauche, mais je suis atterré par la sous représentation des candidats de notre parti en regard du pg dont le nombre de candidats est disproportionné avec son influence réelle, la volonté d’union de notre parti nous conduit à minorer notre place ce qui va encourager certains à ne pas respecter les engagements programmatiques, il ne faut pas rééditer les cadeaux que nous avons concédés au ps dans le passé avec les conséquences désastreuses que nous vivons.

Quand aux propositions de certains sur la sortie de l’euro voir de l’Europe, ceci n’est en aucun cas une solution qui mettrait en difficulté le système qui trouverait des pays divisés livrés à eux mêmes face à des financiers organisés mondialement, chaque pays devenant isolément beaucoup plus vulnérable.

La solution réside plutôt dans la maîtrise de la B C E et de l’euro par les états & les gouvernements et les citoyens, la mise au pas des banques et du système financier mis sous contrôle et décisions des élus et des citoyens,affecter l’argent à de grands projets d’investissements dans les transports ferroviaires publics de marchandises, la santé, l’éducation, la culture, l’environnement, la recherche fondamentale et appliquée etc …programmes générant de nombreuses créations d’emplois stables et bien payés.

Michel Berdagué 16 avril 2014 à 16 h 38 min

En effet , de s’ abstenir le 25 mai c’ est conforter ces dérives ultra-libérales des droites extrêmes et des droites complexées ou non , et très grave c’ est de laisser libre à tous les fascistes de résurgences du pire qui en France ramasseraient tout le NON dit de Gauche en 2005 . Au contraire comme dit Patrick lors de son discours exceptionnel lors de la présentation des candidatures à St Denis nous pouvons avoir 62 élus et en Europe avec les Italiens entrant avec Nous et Alexis un groupe conséquent qui se fera entendre et qui portera toutes nos mobilisations à venir . Les votes ne suffisent pas mais sont indispensables pour une représentation des Peuples , du Prolétariat et de la classe ouvrière , les mobilisations et actions dans les lieux d’ exploitation et de travail restant la base des Luttes pour une transformation radicale et une Alternative de vie et de joie. Surtout que notre Programme précise ( dans P.C.F.fr ) ” ….La France peut obtenir ce résultat en menant une bataille politique en Europe pour que les statuts de la BCE soient changés et que soit créé un Fonds européen de développement social, écologique et solidaire. Ce fonds serait contrôlé et administré démocratiquement dans le but de financer à bas taux, voire à taux zéro, des dépenses publiques des Etats membres et des investissements d’entreprises qui développent l’emploi, dans le respect de critères sociaux et écologiques précis, avec la contribution monétaire de la BCE et les recettes de la taxe sur les transactions financières.
Si cette solution s’avère impossible faute d’accord des autres pays, un gouvernement de gauche devrait aussi prendre des mesures unilatérales en matière monétaire en utilisant un établissement financier public comme par exemple la Banque publique d’investissement. Cette dernière pourrait emprunter directement auprès de la Banque centrale sans passer par les banques privées. Si la BCE s’y oppose, violant d’ailleurs ainsi l’article 123-2 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui permet à un établissement public de crédit de se refinancer auprès de la banque centrale, le gouvernement passerait outre. ” ….
C’ est bien à un rapport de force en notre avantage qu’ il s’ agit de construire car ne doutons pas “ils” réagiront violemment ces rapaces ….et on verra qui gagne: l’ Humain d’ abord ou ….

alain harrison 17 avril 2014 à 0 h 20 min

Bonjour

M. Bardagué, merci pour vous retrouvez dans les solutions.
Votre passage:
««la Banque publique d’investissement. Cette dernière pourrait emprunter directement auprès de la Banque centrale sans passer par les banques privées. Si la BCE s’y oppose, violant d’ailleurs ainsi l’article 123-2 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui permet à un établissement public de crédit de se refinancer auprès de la banque centrale,…»»

C’est bien ça, commencer à remettre les choses à leur place: remettre l’argent à sa vrai place…

Je viens de trouver la NEF sur la page de LA PÉNICHE:

Pour que la Nef devienne la première banque éthique.

Manifeste pour une Banque Ethique

 

Préambule

L’argent, qui devrait être l’outil du développement humain, est devenu l’objectif premier de l’économie au risque de faire perdre tout sens aux activités économiques. Dans les pays riches comme dans les pays émergeants, le développement économique a certes permis une augmentation du niveau de vie, mais au détriment de la qualité des relations humaines et, paradoxalement, de la satisfaction des individus. Le chômage, la précarité et les inégalités se sont multipliés. En fait, l’économie ayant pris le devant sur les autres sphères d’activité, l’homme est devenu trop souvent un instrument au service des lois du marché.

La pollution de notre environnement et l’épuisement des réserves de ressources naturelles (notamment les énergies), avant même que l’ensemble des populations de la Terre aient pu y avoir accès, rendent urgent l’investissement dans des pratiques et des technologies propres et durables, au Nord comme au Sud. A cette situation doit s’opposer sans cesse une résistance constructive et énergique. Parallèlement à la lente réaction des institutions publiques et des entreprises sur ces sujets, la société civile, s’inspirant des principes de coopération, de fraternité et de durabilité (solidarité entre générations), est devenue la source d’une multitude d’initiatives à fort impact social et environnemental.

«« Des réunions d’information se déroulent dans toute la France en avril et mai.

Si les accusations de secte ont été parfaitement ridicules, on peut discuter les modes de prises de décision de la Nef et les choix de projets soutenus. Mais vouloir organiser démocratie et transparence dans un organisme bancaire est suffisamment méritoire pour que chacun aille au moins y voir.»»

Bien, au moins il y a des initiatives.
Il faut regarder les chartes des initiatives comme celle-ci.
À qui prête-t’on?
Aux entreprises classiques et vous connaissez la suite..
Ou bien aux coopératives….

Et les syndicats qui ont des fonds, à qui prêtent-ils?
Ce sont les travailleurs qui investissent à même leur cottisation. Ont-ils leur mot à dire ? ou sont-ils emberliquottés par des représentants affairistes?

Les syndicats ont-ils emprunté le modèle d’affaire du privé?

Quel sens donné au mot coopératisme?
Enchassé dans une quelconque idéologie ou donné à son sens réel dans la réalité avec comme leitmotiv: liberté, égalité, convivialité,
Partage du temps, des responsabilités et d’une partie des profits (selon…).
Les coopératives autogérées à temps partagé couplés au revenu de base…. les avantages pour tous et le potentiel de changement: d’un système de contrôle de la survie (un infernal cercle vicieux)à une société vivante dans laquelle la personne s’épanouie__il n’y a pas d’opposition entre liberté individuelle et société quand on a compris les mécanismes du conditionnement.

Nous avons sous-estimé ce qu’est le conditionnement, la clef de nos vies. Hitler, Staline, Mao…l’avaient compris. De même, la sphère financière aujourd’hui.
Il ne manque nous.
Liser le cartoon le patrons sont-ils indispensables.
Ce petit cartoon semble anodin, mais regardez-y de près, sa signification, elle touche au coeur du phénomène de l’exploitation.

Krishnamurti: voir la vérité d’une chose.

En générale on se perd dans les poupés russes de l’argumentation “sophistiqué”__ le sophisme

chb 16 avril 2014 à 23 h 42 min

L’Europe sociale, hochet agité depuis des années par la “gauche”, par des orgas syndicales plus ou moins honnêtes, est un leurre. Un piège, même, dans l’état actuel des institutions.
Sans doute le boycott – abstention n’est-il pas utile, puisque l’abstention d’une part grandissante d’électeurs désabusés n’empêche pas la Commission d’aggraver ses politiques.
Mais le vote FdG ne suffira pas : le rapport de forces devra surtout être construit à l’extérieur du Parlement. Comment, avec qui ? Mystère et boule de gomme.

alain harrison 17 avril 2014 à 0 h 31 min

Bonjour

Par toutes les initiatives “organisées” citoyenne. Les communes ont un potentiel qui a été sous-dévloppé (des gens en poste: affairistes, trop longtemps là, les intérêts triviaux, etc..)et qui maintenant vont échappé à la population,
Cessons d’être réactif, passons à l’action.
Le revenu de base, l’initiative de citoyen, passé sous silence !?!?…et pourtant une belle occasion de manquer.
Avazz, 34 millions…
Il existe une pétition sur Avazz….

alain harrison 17 avril 2014 à 0 h 36 min

Bonjour

Voici l’adress d’Avazz pour un revenu de base:

https://avaaz.org/fr/petition/our_chance_to_end_poverty

alain harrison 17 avril 2014 à 3 h 22 min

Bonjour

«« le 25 mai prochain à l’occasion des élections européennes. Ce sera l’occasion pour toute personne attachée aux idéaux de gauche et à la justice, d’utiliser le bulletin des listes du Front de Gauche qui sont les listes d’alternative à l’austérité, au chômage et à la mal vie en France et en Europe.»»

Mais quelles sont leurs réponses?
Que vont-ils promouvoir?
Ont-ils des alternatives claires?
Ont-ils seulement un lien avec le peuple?
Que ces gens du Front de Gauche disent clairement au peuple ce qu’ils vonr faire.

Ils ont jusqu’au 25 mai pour faire valoir leur prétention aux élections européennes.
C’est quoi leur contenu concret (pas des promesses) aux problèmes?

alain harrison 17 avril 2014 à 3 h 58 min

Bonjour.

«« C’est une toute autre logique qui est indispensable pour sortir de la crise. Celle qui fait du travail, de l’environnement, de la justice sociale et écologique, sa priorité dans le cadre d’un nouveau partage des richesses créées en faveur des êtres humains et non plus de la spéculation.»»

Oui M. Le Hyaric, mais c’est quoi le contenu concret?

Vous réagissez….

Je reprends au passage M.Berdagué qui est dans les solutions concrètes, qui a du contenu.

«« la Banque publique d’investissement. Cette dernière pourrait emprunter directement auprès de la Banque centrale sans passer par les banques privées. Si la BCE s’y oppose, violant d’ailleurs ainsi l’article 123-2 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui permet à un établissement public de crédit de se refinancer auprès de la banque centrale,..»»

page de LA PÉNICHE:

Pour que la Nef devienne la première banque éthique.

Il faut que les initiatives citoyennes deviennent les priorités.

NON
«« le torpillage de l’organisation territoriale du pays, avec la suppression des régions et des départements et celle de la plupart des communes rurales.»»

Les communes ont un potentiel qui a été sous-estimé, sous-développé (des gens en poste: affairistes, trop longtemps là, les intérêts triviaux, etc..)et qui maintenant vont échappé à la population.

C’est quoi qui cloche, nous avons délégué nos responsabilités depuis trop longtemps. Par manque de temps, par peur des responsabilités, par manque d’information et d’apprentissage des responsabilité (qui se fait toujours graduellement__il n’y a pas d’instentané dans ce domaine). On nous convaincu que les élites savaient.
Aujourd’hui, nous apprenons qu’ils nous ont f….
Alors dites aux front de gauche (25 mai..)qu’ils explicites
clairement ce qu’ils préconisent en acore avec:
««

C’est une toute autre logique qui est indispensable pour sortir de la crise. Celle qui fait du travail, de l’environnement, de la justice sociale et écologique, sa priorité dans le cadre d’un nouveau partage des richesses créées en faveur des êtres humains et non plus de la spéculation.»»

Le travail, qu’est-ce qu’ils ont de concret à proposer et à mettre en place. Car le travail conciste avant tout dans le mode de travail en ce qui concerne la justice sociale et écologique le partage des richesses créées en faveur des êtres humains et non plus de la spéculation, donc de l’exploitation de l’h. par l’h. qui perdure et détruit le tissu social et le monde écologique dont nous sommes issus.

Quel mode de travail proposez-vous de mettre en place?
Comment proposez-vous de le financer?
Ici, il est question du fondement concret de toute société.
Voilà la question qu’ils ont à répondre avant le 25.

La justice sociale et le partage des richesses.
La question des paradis fiscaux (le privé et les institutions qui y participent). C’est quoi vos réponses concrètes? Qu’est-ce que vous voulez faire?
Il y a toute la question da la justice à retardement sur les crimes économiques passés au siècle dernier. Suffisant à remettre l’écologie-social-économique sur les railles.

Ils doivent répondre à ces questions. Nous devons exiger qu’ils donnent les bonnes réponses.
Et vous savez lesquelles.

alain harrison 17 avril 2014 à 6 h 31 min

Bonjour

Je N’insisterai jamais assez:

Le revenu de base couplé aux coopératives autogérées à temps partagé nous offre un potentiel de prendre nos vies en main en harmonie avec….Ils nous offrent le potentiel d’héradiquera la pauvreté, la guerre, la criminalité..Si et seulement si, nous comprenons et prenons toute la mesure du conditionnement, le côté obscure pas les bonnes haabitudes de vie. Le discernement est nécessaire, ainsi que le questionnement.

alain harrison 17 avril 2014 à 7 h 01 min

Bonjour

En ce qui concerne le conditionnement, il est pathologique dans le cas des manipulateurs (voir le livre les manipulateurs sont parmis nous d’Isabelle Nazare-Aga que je salut pour son engagement pour une vie saine, une psychologie saine.

Pour ce qui concerne la pluspart des humains que nous sommes, le conditionnement se traite rationnellement tout simplement, avec un peu d’attention.
De même, les idéologies, les croyances, l’histoire et nos connaissances sur l’évolution “de l’homme” nous font prendre conscience que ce sont des constructions de l’homme.
Bien sur,là ou ça fait mal est sur le plan des émotions, des sentiments que nous sommes spéciales à l’image et à la ressemblance de dieu, si c’est le cas nous serions tous égaux, il n’y aurait pas de conflit. Le conflit prend naissance dans notre manque d’éducation juste (dans le sens de justesse), de notre manque de connaissance de nous-mêmes. Un document à voir et à revoir: le stress, portrait d’un tueur.
Quelqu’un me disait que selon certaine théorie, la bonne conduite des singes (du documentaire) pouvait résulté de certain virus… C’est à démontrer, malgré que les connaissances sur le vivant relève bien des alliances à prime abord étrange, mais sensé, la recherche nous le dira peut-être. Mais une chose est sûr, les mâles alphas sont morts, tués par de la nourriture avariée. Une question de comportement anti-social. De même, la sphère financière et les individus la soutenant.

Avis aux intéressés es

curti 17 avril 2014 à 8 h 44 min

pour pouvoir parler de notre programme du F de G, encore faut-il qu’on nous en donne les moyens, les médias nous boycotte, encore entendons-nous parler du F de G pour qu’il ne soit associé uniquement qu’ au PG alors que neuf formations le constituait il y a encore peu de temps, puisque certains se sont groupés comme la FASE, une partie de la GU… pour créer le mouvement> Ensemble
Mais ce n’est pas inconsciemment qu’il le font, ça a un but précis, quand on veut que des idées meurs tel que le communisme on en parle pas, on ne les invite pas sur les plateaux télé, radios, presse écrite…Le communisme a toujours été l’ennemi juré du capitalisme et d’ailleurs comment pourrions-nous nous entendre. Le capitalisme s’est tout pour moi, rien pour les autres, alors que les communismes sont des partageux, assoiffés de justices et de libertés. LIBERTE-EGALITE-FRATERNITE
devises de la république inscrit au fronton de nos Mairies. Qui sont d’ailleurs en danger avec les méga pôles, la disparition des départements, et de la moitié de nos régions. Nous avons reçu la presse lundi à Besançon, pour nous exprimer sur ces sujets, nos propos n’ont pas été repris. L’an dernier les Alsaciens ont été appelés aux urnes (référendum) fusion des départements Haut-Rhin et Bas-Rhin ils ont dit NON. Aujourd’hui, pas de fusion et bien qu’a cela ne tienne, on les supprimes purement et simplement? cela s’appelle un déni de démocratie, idem en 2005 contre le traité constitutionnel. Ils le savent, tous ces dirigeants droite ou PS les gens plus on leur tape sur la tête, et bien ils ne vont plu voté, d’où un taux d’abstention qui ne cesse de progresser élection après élection. Les municipales, l’attachement des gens pour leur commune, où les gens votaient, et bien l’abstention est forte et ce chef de l’Etat qui prétend avoir compris le message des français(es)n’a rien compris preuve un premier ministre ultra-libéral aile droite du PS, mais là encore c’est voulu, il y aura encore plus d’abstention pour les scrutins à venir, au lieu d’un sursaut démocratique du peuple, heureusement que les résistants, qui ont écrit le programme du CNR étaient plus courageux cela a permis à des millions d’hommes et de femmes de vivre décemment. Allons! du courage, de la détermination, pensez au courage qu’ils ont eu nos ainés et en plus ils risquaient leur peau.

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