Dresser une digue contre la droite et l’extrême-droite !

le 25 mars 2015

Vote1

Une colère froide, agrégeant défiance et dégoût, mêlant désarroi et colères, a parcouru les urnes dimanche dernier. C’est principalement un électorat de gauche, qui avait placé tant d’espoirs lors des élections présidentielles et législatives, qui s’est fait entendre en boudant sciemment les isoloirs. Un citoyen sur deux n’a pas voté dimanche dernier, en dépit d’offres politiques les plus diverses, faisant reculer nettement les forces de gauche. Faisant aussi, du même coup, sans le vouloir, la courte échelle aux forces qui promettent, les unes le pire, l’autre l’intolérable. C’est une nouvelle alerte dont il convient d’urgence de tenir compte sans attendre.
Le Premier ministre a tort de pavoiser, laissant croire qu’il s’en sort bien et que tout devrait continuer comme si rien ne s’était passé. Il doit tenir compte de l’exaspération populaire et amorcer une politique répondant aux cris répétés de celles et ceux qui n’en peuvent plus des souffrances sociales. Les forces du Front de gauche réalisent un score honorable, mais elles profitent peu d’un électorat de gauche en recherche de solutions neuves pour s’en sortir.
L’absence de candidats de gauche au second tour dans cinq cent cantons, alors que la droite sarkozyste fait la course en tête et qu’un quart de celles et ceux qui se sont déplacés ont déposé un bulletin d’extrême-droite dans les urnes, crée un nouveau paysage extrêmement inquiétant. Fou celui qui sous-estimerait le rapport des forces issues de ce premier tour. Des départements gérés par la droite ce sont de nouveaux coups durs pour les familles les plus modestes. Ce sont les populations, les jeunes, les retraités qui en souffriront avec la réduction des crédits sociaux utiles, la baisse des investissements dans les crèches ou les maisons de retraite, les collèges ou dans la création culturelle. Sous couvert du combat contre l’assistanat, ce sont les catégories les plus en difficulté, privées du droit essentiel au travail et à l’emploi, qui subiraient de nouvelles privations, alors que l’argent public servirait de plus en plus à consolider les énormes profits des plus grandes entreprises. Les choix de la droite et de l’extrême-droite conduisent à réduire les services publics, pourtant encore plus indispensables quand la crise sociale frappe si fort. La nature même de cette droite tend à se métamorphoser, comme on l’a encore vu ces derniers jours avec un M. Sarkozy tout occupé à réciter l’argumentaire lepéniste. Ceci a pour conséquence de le banaliser et de tirer le pays vers de fausses et dangereuses solutions, à diviser les citoyens alors que l’heure devrait être à faire vivre les idéaux de la République.
Une digue solide doit être érigée contre ces idées et ces projets.
Cela commence dimanche prochain où pas une voix ne doit manquer aux candidats de gauche et écologistes restés en lice. La moindre hésitation à réaliser partout le rassemblement le plus large des progressistes et des démocrates aurait pour conséquence immédiate de confier la gestion d’un nombre accru de départements à ceux qui rêvent de les défigurer. A l’inverse, une mobilisation unitaire serait de nature à limiter les dégâts du premier tour. Là où il n’y a pas de candidat de gauche, tout doit être fait pour empêcher l’élection d’un conseiller départemental d’extrême-droite. Les électeurs de gauche n’ont aucun intérêt à laisser s’instiller, au plus près des territoires, le dangereux poison des idées de la division, de la haine, de la régression de l’extrême-droite qui menacent de contaminer une part importante du champ politique. Laisser élire des candidats lepénistes en s’abstenant, revient à consolider l’assise politique locale dont rêve le clan Le Pen pour accéder au pouvoir.
Jamais il ne faut transiger avec le pire. A moins de s’appeler N. Sarkozy qui préfère remettre au goût du jour le slogan d’une partie de la haute bourgeoisie qui, dans les heures les plus sombres de notre histoire, criait : « Plutôt Hitler que le Front populaire ».
Il convient de prendre la mesure de l’extrême gravité de la situation qui s’est créée depuis plusieurs mois avec les élections municipales, partielles et européennes que confirment encore les élections départementales. Toutes les forces sociales, progressistes, démocratiques sont interpellées. On ne peut pas continuer à appliquer les violentes prescriptions de l’austérité quand tout le monde sait que l’argent coule à flots dans les paradis fiscaux, dans le circuit de l’évasion fiscale et dans les tuyaux qui alimentent les grands actionnaires des entreprises.
Un sursaut est indispensable.
Il passe par de profonds changements sociaux, démocratique, écologiques, qui imposent au Président de la République de tenir compte des messages du pays.
Nos concitoyens n’en peuvent plus d’attendre et d’être trompés. Enfin, écoutons-les !


53 commentaires


Chantraine Olivier 25 mars 2015 à 12 h 45 min

On pouvait voir les choses comme cela il y a 3 ans…
Mais aujourd’hui pour voter PS en croyant qu’on vote à gauche… il faudrait qu’ils fassent quelques efforts pour nous convaincre. Renoncer publiquement au plan d’austérité et à la nouvelle loi Macron, par exemple nous aiderait à sortir de notre scepticisme.
http://blogs.mediapart.fr/blog/olchantraine/240315/pas-tres-motivant

Albert 25 mars 2015 à 12 h 46 min

Encore une fois le PCF courre derrière le PS. Il ne faut pas s’étonner que le Front de Gauche ne progresse pas de façon significative lorsque l’on appelle à voter pour le PS qui favorise la montée du FN avec ses politiques d’austérité.
A vouloir préserver ses postes, le PCF va continuer à en perdre car pour l’électeur ce n’est pas compréhensible.

volodia 25 mars 2015 à 13 h 08 min

Je vote pour un programme, pas sur une émotion la peur.
Donc tous les partis ont le même ennemi, le FN
Je lutte contre le capitalisme, le libéralisme, le dumping social mondial, là rien décevant ce programme !

BOUFFIER 25 mars 2015 à 13 h 51 min

J’ai fini de voter pour un parti qui bloque les salaires et les retraites depuis des années.
J’ai fini de voter pour un parti qui impose le travail le dimanche.
J’ai fini de voter pour un parti donne des milliards au patronat sans aucune contre-partie et qui culpabilise les chômeurs de ne pas trouver du travail.
Les tentatives de culpabilisation que vous nous assénez à chaque fois que le PS récolte ce qu’il sème par sa politique ultra-libérale n’y changeront: c’est en se battant pour mettre en place une vraie politique de gauche que l’on affaiblira le FN!

Burel 25 mars 2015 à 13 h 47 min

Il n’est plus possible aujourd’hui (depuis 2012 exactement) de parler de voter contre la droite en invitant à voter PS.
Cette stratégie pue la cuisine politicienne qui rebute 50% des électeurs au moins ( en incluant une bonne partie des votes FN).
Il nous faut un message clair contre l’austérité non pollué par “alliances” ou invitations à voter qui trouble le message.

chanéac 25 mars 2015 à 14 h 26 min

J’ai le plus grand respect pour les écrits de Patrick Le Hyaric. Mais comme la quasi totalité de ceux qui ont commenté ici son “appel à faire barrage à la droite et l’extrême droite” en votant “pour les candidats de gauche, écologistes, progressistes” etc…je ne peux que dire NON! Nous l’avons trop fait, y compris sans doute au 2e tour en 2012. Hollande, Valls et Macron et le PS façon Cambadélis n’ont plus rien à voir avec la belle idée de “gauche”. Ils prolongent la politique antisociale et pro patronale de Sarkozy. C’en est fini de voler à leur secours dans un réflexe quasi “coupable” qui irrésistiblement évoque en moi le syndrome de Stockholm. Fini de venir manger dans leur main à chaque fois qu’ils en ont besoin, alors qu’ils nous méprisent et trahissent à longueur d’années. Pour redevenir crédibles, lisibles, nous avons besoin de couper le cordon une bonne fois pour toutes. Que les dirigeants du FDG et en particulier ceux du PCF mesurent bien l’étendue de la désillusion et de la colère qui amènent des dizaines de milliers d’entre nous à décider (enfin) de ne plus jamais céder à cette pathétique fable du vote de 2e tour pour “le moins pire”.Nous n’avons que trop tardé. Redevenons des citoyens libres et cohérents. Basta. Bien cordialement

Michel Berdagué 25 mars 2015 à 14 h 45 min

Oui Patrick , nous ne sommes plus en 2002 , et ça fait donc longtemps , un bail , qu’ “ils” – et là le ils” – transigent avec le pire , le mettent sur orbite l’ instrumentalisant , l’ un avec les matraquages de l’ extrême droite , l’ autre en l’ utilisant en pleine médiatisation à avoir la nausée pour qu’au deuxième tour nos forces fassent barrage et ainsi continuer comme si de rien n’ était . Pour le Premier tour même si nous comptons jusqu’ à 9,4% nous sommes très loin de nos attentes pour être en concordance avec nos aspirations et celles du Peuple laborieux et nous devons travailler au Rassemblement des Communistes – là c’ est d’ une difficulté sans nom du fait de divisions de dizaines d’ années – et sur un programme et nos propositions soumises dans des assemblées citoyennes pour les enrichir . De voter par défaut et pour contrer le pire n’ a rien de mobilisateur . Perso habitant Paris je ne sais si je voterais dans ce cas pour ça , bien sûr pour faire barrage à l’ extrême droite mais pour qui ? les mêmes qui favorisent une politique économique saignant le Prolétariat , la Classe Ouvrière ? . C ‘ est donc très grave et nous devons en Urgence repenser notre stratégie/tactique surtout que dès le premier tour des législatives 2012 nous avions perdu qqs 2 191 899 voix et depuis jamais récupérées , pendant les partielles et les européennes où certains et certaines nous disent qu’ il faut savoir encore perdre des élues us -sic-, alors que tu es le seul communiste au PE de cette u.e./NATO/BCE . Nous devons travailler non pas à avoir la tête dans les étoiles mais avec nos mains calleuses , et bottes dans la boue , et livres ouverts , lus et sus , avec le matérialisme dialectique et historique , sachant que ces choix ne sont pas u niques .

BEDINI Roger 25 mars 2015 à 15 h 10 min

Il faudrait que le parti communiste m’explique la différence qu’il y a entre le parti qui s’appelle socialiste et l’UMP et Front National, pour moi aucune sinon pire.Toutes les lois que la droite et le MEDEF gardaient dans les tiroirs de peur de la réaction populaire, les socialos se sont chargeaient de les faire passer et presque sans réaction et c’est pas fini, encore 2 ans! Pour moi le parti socialiste porte le nom de socialiste uniquement pour barrer la route au socialisme.

alain harrison 25 mars 2015 à 23 h 08 min

Bonjour Bedini Roger.

«« le parti socialiste porte le nom de socialiste uniquement pour barrer la route au socialisme.»»

Le PS donne-t’il le coup de grâce au mot socialisme diabolisé tout au long de la deuxième moitié du siècle dernier et en ce début de siècle.

Le narratif marxiste…n’ a pas évolué !?
Resté dogmatique ?!

Pourtant Podemos semble montré qu’il faut évoluer dans le discours:

Extrait: Podemos, le parti qui bouscule l’Espagne.

Le premier travail de Podemos consiste à « traduire »» le discours traditionnel de la gauche à partir d’axes discursifs capables d’emporter l’adhésion la plus large: les questions de la démocratie, de la souveraineté et des droits sociaux. ……… «« La ligne de fracture, explique M. Iglesias, oppose désormais ceux qui défendent la démocratie (..) et ceux qui sont du côté des élites, des banques, du marché, il y a ceux d’en bas et ceux d’en haut; (…) une élite et la majorité (22 novembre 2014).

Les gardiens de l’orthodoxie marxiste dénoncent ce type d’analyse sociale indifférenciée. Le 24 août 2014, un militant interpelle M. Igliase lors d’une conférence. Pourquoi ne jamais utiliser le terme « prolétariat» ? Le jeune dirigeant politique lui répond: « Lorsque le mouvement du 15-Mai a débuté, des étudiants de ma faculté – des étudiants très politisés, qui avaient lu Marx et Lénine – ont pour la première fois participé à des assemblés avec des gens “normaux”. Et ils se sont vite arraché les cheveux: ” Mais ils ne comprennent rien ! ” Tu es un ouvrier, même si tu ne le sais pas! ” Les gens les regardaient comme des extraterrestres, et mes étudiants retournaient chez eux dépités. (…) Voilà ce que l’ennemi attends de nous. Que nous employions des mots que personne ne comprend, que nous restions minoritaires, à l’abri de nos symboles traditionnels. Il sait bien lui, que tant que nous en restons là, nous ne le menaçons pas.»

http://www.monde-diplomatique.fr/2015/01/LAMBERT/51929

La gauche et les petits partis de gauche (Marx, Lén, etc) doivent se rencontrer et s,entendre sur un consensus, des solutions rassembleuses pour un agenda politique de coalition de pouvoir.

Chacun a son expertise et sa façon de voir.
Il s’agit pour eux de délimiter une stratégie qui ferait, selon le consensus des priorités-solutions, qui sait peut-être une synergie qui ferait la différence aux yeux de la population.

chb 27 mars 2015 à 0 h 02 min

Le parti ‘socialiste’ nous prouve tous les jours qu’il n’est plus de gauche, sauf marginalement dans sa branche étouffée par le 49-3.
Aussi ne suivrai-je pas la consigne de voter pour ses candidats, dont rien ne permet de croire qu’ils ne bafoueront pas eux aussi leurs engagements.
Le PC se renforcerait en s’éloignant résolument de ces menteurs qui nous maintiennent dans l’OTAN, dans l’UE et dans l’euro dans le seul intérêt des classes dominantes (et de leurs propres places dans l’appareil “démocratique”).
Les élections départementales, où nous choisissons par défaut des représentants au rôle très flou et au budget réduit, sont l’occasion d’exiger une refondation de la démocratie, mais certainement pas de choisir entre la peste et le choléra.

courtoux 25 mars 2015 à 15 h 11 min

Non, là j’en peux plus. J’ai soutenu la gauche toute ma vie maintenant le front de gauche, mais au prochain tour, malgré tout le respect que je vous porte Hyaric, si il ni a pas la présence du front de gauche je voterai blanc. Je préfère que ça pète et tout recommencer.

alain harrison 25 mars 2015 à 23 h 41 min

M. Cortoux.

Ça va peut-être péter, en voyant ce qui se passe en France, en Europe-Ukraine, les menaces des US envers le Vénézuéla, etc etc.. les pronostiques vont en ce sens.
Les gens qui votent pour le fn, n’ont absolument pas retenu les leçons des deux GUERRES.
Et beaucoup ont une lecture, de l’histoire récente, tronquée, ou simplement absente, une erreur fatale.

Il y a une mauvaise foi chez la classe moyenne qui demeure attaché à ses intérêts suivant ceux des classes supérieures superposées. Pourtant éduquées. Les syndicats dans leurs intérêts corporatistes ?
C’est vrai qu’une coopérative autogérée appartenant aux travailleurs sont libérés, même des marxistes ?
Il y a absence de quelque chose ?
De quoi ?
L’Humain d’Abord ne contiendrait-il pas la réponse ?
Jean Jaurès ne montrerait-il pas le chemin ?
Venezuela infos wordpress
Soutenez la Grèce, comment….
Podemos: les forces et les faiblesses…

L’inspiration !?

Il y a mauvaise foi, et cela aura un coût, lequel ?!
La Grèce ou la Pologne ?
Où en sont les progrès économiques de l’austérité en Pologne ?
Et l’Allemegne, qu’en est-il de la nomenclature de l’emploi ?

Nous n’avons pas assez souffert ?
Il y a un profond problème de conscience ?
Ou bien nous n’arrivons pas à:

Albert Einstein: un problème sans solution est un problème mal posé.

Et puisqu’il n’y a pas de solutions bien articulées dans le paysage.

Posons-nous dont les bonnes questions ?
La plus élémentaire:
Avons-nous des solutions incontournables ?
Sommes-nous sous la coupe d’une omerta ?
Aurions-nous peur ?
Les solutions exigeant de notre part d’agir ?
Parce que nous ne savons pas comment, quelle stratégie d’action ?
Qu’est-ce qui empêche ?

L’Amérique Latine nous avertit !

GUILLOT Alain André 25 mars 2015 à 15 h 17 min

“Pareil” que la plupart des intervenants… Heureusement que j’habite dans la région Lyonnaise (donc pas d’élections départementales…ouf)car,je n’aurais pas pu voter pour le PS au 2éme tour…même,je crois,si celui ci avait été confronté au “parti brun”!!!

Bakounine 25 mars 2015 à 16 h 00 min

Je comprends toutes les réaction et la frustration ressenti depuis de nombreuses années je ressens cela aussi. Mais il faut analyser la situation avec sang froid et de façon politique. Laisser passer la droite réactionnaire qui ne s’engage pas clairement contre le Fhaine renvoyant dos à dos des libéraux humanistes étiquetés socialistes et les héritier de l’OAS et du pétainisme serait dangereux mais bon. Par contre Face aux derniers cités ce serait carrément se rendre complice de ces gens qui prônent la haine de tout ce qui n’est pas eux.Pour imager ma position je vous propose de regarder la cérémonie organisé à Béziers avec tout les nostalgiques de l’Algérie française l’ on se croirait Presque revenu en 1934 au temps des croix de feu (c’est sur la bas si j’y suis).Ne laissez pas le pire se faire et soyez nombreux en grève et dans la rue le 9Avril.

alain harrison 25 mars 2015 à 23 h 51 min

«« la cérémonie organisé à Béziers avec tout les nostalgiques de l’Algérie française l’ on se croirait Presque revenu en 1934 au temps des croix de feu »»

Pour un bonne partie de la population, la nostalgie, c’est le syndrome de Stockholm.
Une technique psychologique instrumentalisée ou un dommage collatéral induit par le biais du plan d’affaire: l’austérité.

Tant et aussi longtemps que nous ne nous tiendrons pas debout sur notre terrain.

Mireille 25 mars 2015 à 16 h 08 min

Les binômes et le nouveau découpage des cantons étaient déjà suffisants pour déstabiliser l’électeur-lambda, celui qui ne reçoit “d’informations” politiques que par son JT ou les tables rondes auxquelles sont invités les chantres du Gouvernement aux heures de grande écoute. Faire barrage au FN? Nous sommes tous d’accord. Mais ce n’est pas en courant après le PS, dont la politique socio-économique rejoint celle de l’UMP (Sarkozy en a rêvé, Hollande l’a fait) que la “vraie” gauche gagnera. Concernant Marseille, où le FN est en ballotage dans les 12 nouveaux cantons, l’enfumage est accentué par la scission informelle du clan Guérini et le flou entretenu par le PS local sur son soutien ou non à celui-ci. Ainsi, au 2e tour, il y aura 6 duels FN-droite, 3 duels FN-PS et 3 duels FN-clan Guérini intitulé Divers gauche. Dimanche, le nombre des “blancs” et des “nuls” m’avaient surprise. Mais dimanche prochain, je ne serais pas étonnée si ce nombre s’accroît. Il faut que le PC et le FDG aient enfin une position claire et tranchée. Etre les suivistes d’un parti que ma tante nonagénaire appelle social-traître n’est pas une manière de gagner mais de se discréditer devant les électeurs.

alain harrison 25 mars 2015 à 23 h 55 min

Quelqu’un a suggéré (commentaire..?), de laisser la débandade, et de forger un nouveau pouvoir.

Le.Ché 25 mars 2015 à 16 h 23 min

Comment voter pour un socialiste, ils font une politique pire que la droite.
Dimanche si je vote pour un socialiste, je vote en même temps pour la casse de la sécurité sociale et des retraites par répartition, pour la privatisation de quoi??, merde ils ont tout privatiser.

martial 25 mars 2015 à 17 h 05 min

Oui bien sur que je voterai pour un candidat du Front de Gauche au 2ème tour, mais non je ne voterai plus jamais pour les socialos.Trop c’est trop, y en a marre de nous prendre en otage comme si nous serions nous responsables de la montée du FN.Le PC se fait piéger depuis 35 ans en s’alliant avec les socialos( en plus maintenant ils s’affichent ouvertement comme des libéraux).Résultat: de 20% on est descendu à 2%.Et Dire que mon grand-père antifasciste italien, communiste de la première heure m’avait prévenu! Non vraiment Il est grand temps de couper nos liens, s’il n’est pas trop tard.Si ça doit péter et bien que cela pète !

alain harrison 25 mars 2015 à 23 h 57 min

Si vous le voyez clairement, partagez le avec ceux qui l’ont compris, faites le point et partez un nouveau pouvoir.
Podemos….

Moreau 25 mars 2015 à 17 h 51 min

La digue contre la droite et l’extrême droite, est aussi, je le pense une bonne partie de l’abstention qui n’est pas un refus de choisir mais une abstention en raison de l’absence d’un programme à partir ce que qu’a déjà analysé, proposé, une partie de la population en démocratie participative. La digue est l’ensemble des femmes et des hommes qui n’ont jamais voté pour l’extrême droite et qui veulent des politiques qui ne sont pas des politiques capitalistes mais celles-ci n’apparaissent pas et ne font pas parler d’elles dans tous le pays à chaque élection, les feuilles électorales variaient d’un canton à un autre en ce qui concerne leur teneur, et ce ne sont pas celles qui avaient la meilleure teneur qui ont récolté le plus en pourcentage de voix, donc les pourcentages ne sont pas un critère pour les prochaines élections.

Tous les partis se disputent en ce qui concerne leur résultat respectif en pourcentage, le Front de gauche a raison donc de se défendre ; en ce qui concerne une politique d’amélioration de la vie entière, le programme du front de gauche n’a pas fait parler de lui dans cette élections, les autres partis n’ont pas aussi de programme mais ce n’est pas une justification valable ; les pourcentages recueillis par les partis lors des élections départementales ne peuvent influencer que quelques personnes de la moitié de la population qui a voté. Le Front de gauche s’affaiblit incommensurablement lui-même car il travaille globalement trop peu et trop mal en politique avec un cap à gauche insuffisant car dans quelque(s) département(s) il n’a pas traité la crise humanitaire, il fallait sur chaque feuille électorale des élections départementales un rappel lisible de l’essentiel de la politique pour améliorer la vie de toutes les femmes et de tous les hommes de la population du pays. Il n’y avait pas à ma connaissance cette partie commune lisible sur toutes les feuilles électorales des nouveaux cantons de France. Je pense donc que plus ou moins élevés, ces résultats en pourcentage du front de gauche sont feu de paille si le Front de gauche ne s’adresse pas au peuple pour lui reparler de son programme politique pour la population entière.

alain harrison 26 mars 2015 à 0 h 08 min

Bonjour M. Moreau.

«« en raison de l’absence d’un programme »»

«« La digue est l’ensemble des femmes et des hommes qui n’ont jamais voté pour l’extrême droite et qui veulent des politiques qui ne sont pas des politiques capitalistes mais celles-ci n’apparaissent pas et ne font pas parler d’elles dans tous le pays à chaque élection »»

«« n’ont pas aussi de programme »»

«« si le Front de gauche ne s’adresse pas au peuple pour lui reparler de son programme politique »»

Vous avez la réponse, il n’y a pas d’agenda politique, vous le dites.

Le programme politique du FdG ?

L’ OMERTA !?!?

LAURENT 25 mars 2015 à 17 h 54 min

Jamais plus pour un “socialiste”:Ils se sont servis de nous depuis toujours. Comment l’oublier, trop c’est trop. Combien d’entre eux finiront par s’associer à l’UMP/UDI/FN pour “aller à la soupe”. Grand bien leur face. Peut-être nos amis égarés verront alors ce qu’est la droite sans masque et reprendront le collier pour tenter de s’en sortir, en espérant que ce ne sera pas trop tard (cf. l’Allemagne entre 30 et 33 …)Au point où on en est, seule une vraie révolution pourra nous sortir de cet omniprésent et obscène capitalisme. Mais il faut se donner le temps et les moyens(moraux, physiques) pour ne pas se faire laminer. En face ils sont très forts et disposent d’énormes moyens : à nous de montrer la puissance d’un peuple en marche.
Allez Patrick, pas de compromission.
c.laurent

alain harrison 26 mars 2015 à 0 h 44 min

Inspirez-vous de Syriza, de Podemos, de votre savoir faire et comparez. Examiner…

L’artiste, se sert des ses essaies pour parachever son oeuvre.

Chacun de vous ici, avez des idées, des solutions ou des éléments de solutions.
Forgez-les et instruisons-nous pour développer des modes d’actions appuyez sur des alternatives.
Montons des bouts de la sortie du néo-libéralisme.

Chavez, il a ouvert la Constitution et y a écrit des changements, ce n’est pas terminé.
Avec Maduro, un autre bout aussi crucial est en marche.
Ils ont tellement à construire, ils ont plusieurs chemins à ouvrir.
Plein de dangers pour s’embourber, mais cela ne les arrêtent pas.
Chaque défi est relevé.
Vive le Peuple du Vénézuéla.
Et en plus, ils honorent votre Jean Jaurès, pour ceux qui ont des yeux pour voir.
Combien de fois faudra-t’il vous le mettre sous le nez.
Krishnamurti: une fois que c’est vue, c’est terminé.
Même Leboyer (naissance sans violence), l’a compris dans sa pratique:
Une fois que l’on a rencontré le regard de l’enfant naissant, c’est terminé, on ne traite plus l’enfant comme un objet…..
Cet Homme, a fait quelque chose d’inusité dans l’histoire…..Et on l’a tassé comme un ennemi.
Un manque de conscience.
La peur qui se cache derrière la technologie, un outil, de même que la science un outil, mais on en a fait quelque chose d’autre… Même une sorte d’idéologie.
Une pure erreur de perception.
Krishnamurti: ….une erreur de perception…

Attention, l’utilisation des sentences de Krishnamurti est sous licence, non commercialisable, un avertissent au privé.
Ils volent et ont les moyens de se payer-voler, même la chanson que chantait Edith Piaf: non rien de rien.
Et ils se targuent d’être des créateurs.
Quelle démagogie.
Il faudra mettre de l’ordre là-dedans.

Y en a des patantes à gosse !

Moreau 25 mars 2015 à 18 h 20 min

Plutôt que de donner la consigne de ne pas réaliser un vote blanc car digue n’est pas synonyme dans notre langue de consigne ; la digue d’excellence serait de partager un programme politique pour la population entière réellement différent des politiques capitalistes de droite, voire fondé sur le redressement et le développement culturels grâce à la culture réelle ; et associatifs.
Les gens de sensibilité différente sont demandeurs de tels progrès comme ils sont demandeurs dans le sillage de services publics pour l’eau, l’électricité…

breteau jean claude 25 mars 2015 à 18 h 23 min

Y a comme un probléme .Rien n’indique que le ps serait redevenu de gauche ,depuis dimanche soir ;au contraire ,mieux ,l’excellant redécoupage réalisé a porté ses fruits ,comme au havre ou nous perdons 3 conseillers ,et ce n’est pas un cas isolé .La volonté de Mitterand reste d’actualité et aujourd’hui nous sommes passés à l’étape supérieure ,déglinguer la gauche .Combien de minutes pour P Laurent ,dans les média ,combien d’heures pour les fascistes.
Au premier tour j’ai fait un choix politique ,au deuxieme tour je manifeste ma colére ,je reste chez moi ,j’en ai marre du chantage des salauds au pouvoir .Quand aux pauvres ,je ne suis pas capable de tous les remplacer ,ils n’ont pas voté pour défendre leurs intérêts ,dommage ,maintenant c’est trop tard le mal est fait .J’ai trop souvent “sauver” ce ps ,pour quelle reconnaissance ? les crachats que je prends, que nous prenons ,de Valls et consort ,me donne plus envie de leur mettre mon poing dans la gu….? que de voter .La digue se fera sans moi et de nombreux camarades avec moi Assez du chantage de ses voyous qui méprisent ceux qui créent les richesses et gavent les nantis .Dehors !

Mireille 25 mars 2015 à 19 h 02 min

Jean-Claude, On peut voter blanc, on peut voter nul, mais on ne reste pas chez soi. Pour reprendre une formule du “Canard Enchaîné”: “Un droit ne s’use que si on ne s’en sert pas”. Nous, femmes françaises, avons dû attendre 1945 et les communistes brièvement au pouvoir pour avoir le droit de voter et n’oubliez pas que De Gaulle était contre le vote des femmes. D’accord, vous êtes un homme et vous pensez ne pas être concerné. Mais qui vous dit que demain à force de voir bouder les urnes, nous ne reviendrons pas à un vote censitaire ou autre mesure qui nous enlèvera tout droit à exprimer notre opinion? L’abstention est la pire des réactions même s’il est le plus grand parti de France. Etant de la vieille garde, je plaide depuis des décennies pour que l’école de la République forme des citoyens comme nous le fûmes. Les présidents et gouvernements français qui se sont succédés depuis 1958 ont tout mis en oeuvre pour que l’instruction civique et l’apprentissage de la citoyenneté disparaissent des programmes scolaires. Avec une conséquence effrayante: si la famille ne comblait pas cette lacune abyssale des générations d’enfants puis d’adultes ne recevaient jamais l’enseignement nécessaire pour devenir des citoyens. Donc, il faut aller voter que ce soit pour déposer un bulletin valide ou invalide ou une enveloppe vide. Sans rancune pour utiliser un ton un peu péremptoire.

chb 27 mars 2015 à 0 h 21 min

Votre ton, Mireille, n’est pas aussi péremptoire que celui des moralisateurs qui voudraient punir les abstentionnistes (amendes, prison?). Ouf.
S’il y a ce problème de légitimité dans les urnes, c’est simplement parce que les gens sont instruits par leur vie quotidienne : les politiciens ont volé la démocratie élective. Entre “pas de marge de manoeuvre” et promesses bafouées, voter ainsi n’est plus faire un choix démocratique. Election ? de plus en plus piège à cons.
Un vote blanc ou nul satisfait au “devoir de citoyen”, certes; en termes de délégation de pouvoir, c’est kif kif avec l’abstention. Les femmes et les hommes si longtemps privés de vote ne demandaient pas cette parodie-là !

breteau jean claude 25 mars 2015 à 18 h 33 min

J’oubliais , le chomage repart à la hausse ,après la fausse baisse de janvier ,CHAMPAGNE ce soir pour les nantis ,après cette très bonne nouvelle .

henri bonnet 25 mars 2015 à 18 h 34 min

le pc qui appelle a voter a droite on aura tout vu,le fn va se goser apres l’umps ils vont pouvoir rajouter le c cela fera umpcs,ne comptez pas que je vote socialos dimanche ,MARCHAIS disait en 84 le ps vient de virer a droite il doit se retourner dans sa tombe de voir le pc faire de mème

breteau jean claude 25 mars 2015 à 18 h 42 min

Je propose ,de lancer une grande campagne,pour exiger de Hollande qu’il adresse la facture du déploiement sidérant pour la catastrophe de l’avion bas cout allemand .Ce n’est pas aux contribuables français de régler la note ,il faudra ferrailler car Angela a du mal à solder ses dettes ,comme en gréce

echard 25 mars 2015 à 18 h 49 min

moi je ne sais plus que penser on à une impression de désarroi parce que l’on ne sait plus du tout vers quel partie se tourner quand on regarde tout ce qui se passe on à l’impression que rien ne changera jamais, il faudrait pour cela que la gauche redevienne une vrai gauche pas ultra libéral une vrai gauche qui défend les petites gens en France tout fout le camp même les entreprises étrangères s’en vont on ne donne plus de travail aux français il faut que la gauche redevienne une vrai gauche comme Léon Bloom

echard 25 mars 2015 à 18 h 52 min

il faut que la gauche redevienne la vrai gauche l’ancienne qui défend les droits des travailleurs sociaux

RABOTOT Robert 25 mars 2015 à 21 h 13 min

Je partage l’avis majoritaire des amis qui se sont exprimés: Le danger de la peste brune nous menace mais il faut se souvenir que c’est Mitterrand avec l’objectif de faire perdre 3000000 de voix au Parti communiste, leur a ouvert la porte. Aujourd’hui on ne peut pas voter pour des candidats socialistes qui soutiennent la politique du Gouvernement car ainsi on désoriente les électeurs de Gauche qui ne font plus la différence et nous accompagnerons le Parti socialiste dans sa chute. Le travail sera long, mais attachons nous à redonner de l’espoir au Peuple a lui proposer une politique de progrès dans d’autres conditions sachons nous inspirer de ce qui se passe en Grèce et Résistons.

BOITEUX 25 mars 2015 à 22 h 16 min

Je rappelle que les électeurs sont libres de leur choix et que le scrutin est majoritaire à 2 tours. La répartition des sièges ne se fait pas à la proportionnelle ce que le parti exige depuis toujours . Ce qui nous contraint à établir une position de principe dictée dans l’intérêt du mouvement populaire et de son unité. le parti n’a pas l’habitude de rester l’arme au pied en attendant que ça se passe Notre parti se doit de prendre ses responsabilités même si celles-ci vont à contre courant du mouvement populaire à l’instant T. je comprends le désarroi de beaucoup d’entre nous mais il faut le surmonter et voir plus loin que l’horizon… Pour ma part le parti et P le Hyaric pour ce qui le concerne, ont raison d’appeler à un rassemblement le plus large possible en faveur des candidats de gauche et écologiques rester en lice au 2ème tour. En agissant ainsi, nous faisons œuvre d’unité pour s’opposer à la droite départementale, et ne pas lui donner les coudées franches pour qu’elle poursuive et renforce sa domination sur la gestion des affaires du département conduisant à moins de services publics, et plus d’atteintes aux familles modestes … s’agissant du Front national, il serait irresponsable de ne pas faire barrage à la peste brune raciste et à ses candidats qui menacent de s’emparer de nombreux cantons pour faire la politique du pire et de la revanche. Dans ce cadre l’emploi du bulletin de vote du candidat de gauche et écologiste resté en lice est le seul outil dont nous disposons pour faire obstacle à la droite et à la peste brune. Pour conclure et rester fidèle à la résistance, il ne s’agit pas seulement d’honorer nos résistants ( bien peu hélas sont encore en vie)c’est encore plus beau et plus noble de suivre leur exemple dans les faits en combattant sur tous les terrains , la droite et l’extrème droite la plus revancharde qui honore et réhabilite les pétainistes et les nostalgiques de l’OAS rétablirait la peine de mort ferait la chasse à l’immigré en attisant les divisions et j’en passe. A lire et à relire le magnifique poème que Louis Aragon composa sous l’occupation en 1942 lorsque les nazis fusillèrent des résistants de droite et de gauche et d’autres qui croyaient au ciel et qui n’y croyaient pas, parce qu’il voulaient débarrasser notre pays souillé et martyrisé de l’oppression nazie. ” quand les blés sont sous la grêle, fou qui fait le délicat, fou qui songe à ses querelles au cœur du commun combat” Non le fascisme ne passera pas.

chb 27 mars 2015 à 0 h 29 min

Aragon connaissait Pétain, adoubé par … des socialos. Serait-il à leurs côtés aujourd’hui, sous la grêle, ou plutôt contre le fascisme réel du Capital et de ses servants ?
Pour la lutte des places et le banquet des rentiers, Lepen et l’UMPS sont alliés objectifs, contre nous !

Maxa31 25 mars 2015 à 22 h 54 min

M. Le Hyaric peut-il nous expliquer en quoi le parti qui usurpe le beau nom de “socialiste” est un parti “de gauche” ? Je rappelle que c’est ce parti qui a conduit la guerre d’Algérie, l’expédition de Suez,etc.,et qui mène à présent la politique du grand capital. Le FN est surtout là pour servir d’épouvantail ; il n’a aucune chance à l’heure actuelle d’accéder au pouvoir : les classes dirigeantes ont d’excellents valets sociaux-démocrates, et n’ont pas besoin d’en changer.

Anonyme 25 mars 2015 à 22 h 57 min

Valls et ses mercenaires ont de beaux jours devant eux ! 88 % des français qui ont voté viennent d’apporter leur soutien au programme libéral imposé par Macron aux ordres de Bruxelles, de JC Juncker, qui a ma connaissance, n’a pas un profil socialiste. je me rappelle cette conversation avec le PDG d’un groupe de VAD qui me disait que pour eux un gouvernement de gauche leur étaiot plus favor

didier 25 mars 2015 à 23 h 10 min

Valls et ses mercenaires ont de beaux jours devant eux ! 88 % des français qui ont voté dimanche dernier
viennent d’apporter leur soutien au programme libéral imposé par Macron aux ordres de Bruxelles, de JC Juncker, qui a ma connaissance, n’a pas un profil socialiste. je me rappelle cette conversation avec le PDG d’un groupe de VAD qui me disait que pour eux un gouvernement de gauche leur était plus favorable que n’importe quel gouvernement de droite … les 40 % d’augmentation des profits des entreprises du CAC40 en 2014 en apportent la preuve ! dimanche je voterai blanc, et le 9 avril je serai dans la rue car je sais que la PS et ses amis de droite attendent ce deuxième tour pour nous porter un nouveau coup de poignard dans le dos. je serai honteux de leur donner ma voix . merci à tous pour vos réactions !

CHAUVINEAU JEAN - MARC 26 mars 2015 à 3 h 46 min

BONJOUR, COMMENT VOTER POUR DES MENTEURS, DES VOLEURS DES AUXILIAIRES DES ET DES CAPITALISTES. POUR FAIRE UN SCORE IL FAUDRAIT RE-DEVENIR UN VRAI P.C.F. NOUS N’AURIONS PAS BESOIN DES GAUCHES PLURIELLES, FRONT DE GAUCHE…J’AI ARRÊTÉ DE VOTER EN 1994…J’AI QUITTÉ NOTRE GRAND P.C.F EN 1993 APRES UN GROS QUESTIONNEMENT DEPUIS 1990…LE F.N A TRES SOUVENT ATTAQUÉ ET BASTONNÉ DEPUIS 1980 MAIS LES SEUL[E]S QUI M’ONT POIGNARDEE TOUJOURS DANS LE DOS ETAIENT DU P.S. ECOLOS VOIR L.C.R [NPA] LE PEUPLE EST ORPHELIN,COMME MOI, DE PERE ET DE MERE. SYNDICALEMENT LA C.G.T VA AVEC LE KOLABOS A LA C.E.S…LE P.C.F SE GLORIFIE DE LEUR EUROPE DE LEUR KOMANDANTOUR P.G.E ALORS, ETRE A GENOUX ET BASTONNÉ PAR LE F.HAINE OU POIGNARDÉ PAR LES “AMIS ” DE GOOCHE. JE REVIENDRAIS SI NOUS REDEVENONS COMMUNISTES …SORTONS DE L’U.E. SORTONS DE L’EURO, QUITTONS LEUR GENDARME-MENTEUR L’O.T.A.N DES PLACES OUI MAIS PAS SUR LES CONNERIES DES PRÉTENDUS CHEFS.DES NOMS ET EXEMPLES JE PEUX EN CITER [MON CAS] 1 DANS LES DEUX-SEVRES[79] 1 EN GIRONDE[33] 4 EN CHARENTES MARITIME[17] 2 A GARGENVILLE YVELINES[78]

alain harrison 26 mars 2015 à 5 h 39 min

Bonjour.

La France est le pays clef qui peut rétavlire les choses.
Les lumières s’éteignent ?

Chaque culture a ses qualités immense pour l’ensemble du monde. Tel est le processus de l’Évolution naturelle.
En créant l’humanité, ce nouveau cerveau, La Nature semble donner une nouvelle étape, seul le temps nous le dira, nous ne sommes qu’au balbutiement de la connaissance, de la démocratie, de nous-mêmes.

Malheureusement, entre les mains de cet avorton financier, le chaos se répend, et parmis les cultures les plus pauvres, l’islam qui n’offre qu’une éducation minimaliste appauvrit tout le monde arabe.
L’Évolution Naturelle nous a remis à la case départ, mais l’aveuglement semble notre lot. Tant pis pour nous.

Mais le cerveau est du vivant, il n’appartient pas à l’égo, l’égo n’est que la pensée fourvoyée.

Je vous conseille fortement de lire Krishnamurti, cet homme nous montre la source de toutes les confusions au sujet de la réalité.
Comme Leboyer a reconnu l’enfant à naître.

Chaque culture a sa mentalité et ses aberrations…
La france a son intellectualisme…..aidez moi..
Le Québec a la mentalité du colon devenu consommateur..
Je sais , c’est réductiviste, mais c’est pour faire court, sinon il faugrait un livre de justification nuancée.

Dans un premier temps aller écouter l’intervew:
Jiddu Krishnamurti s’entretient avec André Voisin ( en français !)
https://www.youtube.com/watch?v=M_pjL8RgiYo

Lisez les commentaires, la traduction est bien faite.
Ce sont des rencontres vivantes, tout simplement.
Soyez dans un état d’attention sans pensée.

Il est domage qu’aucun suivi n’est été fait sur la cohorte des enfants (naissance sans violence). Il y a là toute une expertise pour la santé du monde qui se perd.

La crise est multidimensionnelle et si nous ne l’abordons
pas globalement, nous irons de crise en crise….
Albert Einstein:
Un problème sans solution est un problème mal posé.

L’économie est sans doute le problème le plus facile à résoudre.
Mais déjà, ce qui fait figure de pragmatisme est tous les arguments qui pleuvent…
Un psy a dit que l’homme est enfermé dans une prison plus solide que du béton, et c’est une idée.

pellizzoni 26 mars 2015 à 8 h 37 min

Patrick vous êtes un combattant, mais vous êtes bien le seul, comme je l’ai déjà dit, cetains communistes ne sont pas représentatifs dans leurs idées, malheureusement nous sommes orphelins, et je ne vois pas actuellement quelqu’un capable de redresser la situation, nous n’aurions jamais dû faire allance avec les socialistes

breteau jean claude 26 mars 2015 à 9 h 15 min

Il faut inverser les valeurs du premier et deuxiéme tour .C’est le premier tour qui donne le “poids” politique ,c’est le seul qui compte,mais c’est ce que ne comprennent pas les abstentionnistes ,qui par leur attitude lais,sent faire et abandonnent le combat ,avec les résultats que l’on connait ,laissant le champ libre au pouvoir ,en exprimant ma révolte au deuxieme tour qui ne sert qu’a constater les dégâts ,voir les consacrer j’ai fait MOI mon devoir de citoyen ,en votant contre l’austérité ,alors que cela n’est plus possible au second .La question est donc :comment inverser la valeur faussée du premier tour ,par les libéraux et en faire un vote utile et positif que ne permet pas l’abstention ,appellée par manipulation “gréve des urnes”,confondant ainsi le role positif de la gréve (pour les salaires par ex )et celui négatif “des urnes” contre les intérêts du peuple

Lucien Atencia 26 mars 2015 à 9 h 40 min

Mais ne pourrions-nous pas un peu penser aux électrices et électeurs socialistes, bien plus nombreux que ceux qui accordent leurs suffrages aux candidats du Front de gauche. Mettre un signe égal entre le parti qui a leur préférence, la droite et le FN, a pour première conséquence de les maintenir dans la mouvance du Parti socialiste, dans un pays où 90 % des électeurs seraient de droite ou d’extrême droite ! En vérité, un constat s’impose :ni la stratégie d’union de la gauche, ni celle du Front de gauche, pas plus qu’un PCF dans un superbe isolement ne produisent de dynamique susceptible de modifier le rapport des forces à gauche. Dit autrement, les électeurs socialistes, bien que déçus par la politique du gouvernement au moins autant que ceux du Front de gauche, élection après élection, ne se tournent pas vers ce dernier, lui préférant soit l’abstention soit même d’autres votes peu avouables. Peut être pourrions nous collectivement rechercher pourquoi pour tenter d’inventer ce qui nous permettrait d’incarner autre chose, en phase avec une attente plus au moins diffuse et confuse, d’une conception neuve de l’activité politique, dans un pays où aujourd’hui cette dernière est très déconsidérée et où les idées ultra-libérales, dans bien des domaines, ont pris le dessus.

Henry Cornil 26 mars 2015 à 10 h 04 min

“un électorat de gauche, qui avait placé tant d’espoirs lors des élections présidentielles” ? Non. En 2012, je ne plaçais aucun espoir en François Hollande. En 2011, il n’est passé aux primaires du PS que grâce au noyautage par l’UMP. Qui, à gauche, aurait sérieusement choisi Hollande comme candidat unique du PS ?

En 2012, je n’ai voté que contre Sarkozy, faute de mieux. En 2015, je vote pour une vraie gauche au premier tour et contre le pire au second tour. Mais ce n’est pas enthousiasmant !

Anonyme 26 mars 2015 à 10 h 41 min

Bonjour,

Merci à Patrick pour cette contribution.

Je comprends le désarroi, la colère de celles et ceux qui sont écœurés par la politique gouvernementale. Comment ne pas la partager, quand on voit la retraite, la loi Macron, l’ANI, la politique européenne…

Une grande partie de l’abstention comme celui du vote FN réside que les populations ne croit plus que la politique peut changer leur vie, et en ont marre de voter pour des gens qui ne tiennent par leurs promesses. Il faut noter d’ailleurs que le FDG, le Parti n’en “profite” pas. Nous devons donc nous poser des questions.

Plus que les élections, c’est une guerre des idées que nous perdons chaque jour. Nos idées, nos valeurs, notre idéal de société régressent chaque jour. Les citoyens ne croient plus que l’on peut changer la vie. A contrario, on voit que les idées réactionnaires gagnent du terrain chaque jour. Les Le Pen, Zemmour and co ont porte ouverte tous les jours dans les grands médias.

De nombreux chantiers s’ouvrent devant nous, mais là nous devons dimanche prochain répondre à une question : qui va devenir conseiller départemental.

Partout où c’est possible, il faut élire des conseillers FDG, utiles aux populations, sinon qui défendra les salariés, les jeunes, les retraites, les politiques innovantes mises en place dans les départements. Je rappelle d’ailleurs, qu’un Parti politique à vocation à se présenter aux élections. Et lorsqu’on se présente, c’est pour gagner,pas pour témoigner. C’est donc pour avoir des élus. Sauf si l’on considère que cela ne sert à rien…nous pouvons faire autre chose…

Et partout où nous sommes éliminés, la question n’est pas de régler nos comptes avec le social-libéralisme (débat qui dure depuis 1920 entres nous soit dit), où savoir si un tel ou un tel est méchant. La question est de savoir qui ne sera pas élus.

J’habite dans une ville perdu en 2014. Entre un maire communiste, et un maire de droite, je peux vous dire que l’on voit la différence : casse des services publics de proximité, employés municipaux harcelés, une droite affairiste et clientéliste, politique culturelle massacré, Bourse du travail fermé…Moi je n’a

Anonyme 26 mars 2015 à 10 h 42 min

26 mars 2015 à 10 h 41 min
Bonjour,
Merci à Patrick pour cette contribution.
Je comprends le désarroi, la colère de celles et ceux qui sont écœurés par la politique gouvernementale. Comment ne pas la partager, quand on voit la retraite, la loi Macron, l’ANI, la politique européenne…
Une grande partie de l’abstention comme celui du vote FN réside que les populations ne croit plus que la politique peut changer leur vie, et en ont marre de voter pour des gens qui ne tiennent par leurs promesses. Il faut noter d’ailleurs que le FDG, le Parti n’en « profite » pas. Nous devons donc nous poser des questions.
Plus que les élections, c’est une guerre des idées que nous perdons chaque jour. Nos idées, nos valeurs, notre idéal de société régressent chaque jour. Les citoyens ne croient plus que l’on peut changer la vie. A contrario, on voit que les idées réactionnaires gagnent du terrain chaque jour. Les Le Pen, Zemmour and co ont porte ouverte tous les jours dans les grands médias.
De nombreux chantiers s’ouvrent devant nous, mais là nous devons dimanche prochain répondre à une question : qui va devenir conseiller départemental.
Partout où c’est possible, il faut élire des conseillers FDG, utiles aux populations, sinon qui défendra les salariés, les jeunes, les retraites, les politiques innovantes mises en place dans les départements. Je rappelle d’ailleurs, qu’un Parti politique à vocation à se présenter aux élections. Et lorsqu’on se présente, c’est pour gagner,pas pour témoigner. C’est donc pour avoir des élus. Sauf si l’on considère que cela ne sert à rien…nous pouvons faire autre chose…
Et partout où nous sommes éliminés, la question n’est pas de régler nos comptes avec le social-libéralisme (débat qui dure depuis 1920 entres nous soit dit), où savoir si un tel ou un tel est méchant. La question est de savoir qui ne sera pas élus.
J’habite dans une ville perdu en 2014. Entre un maire communiste, et un maire de droite, je peux vous dire que l’on voit la différence : casse des services publics de proximité, employés municipaux harcelés, une droite affairiste et clientéliste, politique culturelle massacré, Bourse du travail fermé…Moi je n’ai pas envie que lui ou ses amis arrivent au pouvoir. Donc partout, oui faisons barrage à la droite et au FN. Et le 9 avril soyons dans la rue, pour dire notre refus de la Loi Macron !

Maxa31 26 mars 2015 à 14 h 58 min

Anonyme : “Et partout où nous sommes éliminés, la question n’est pas de régler nos comptes avec le social-libéralisme (débat qui dure depuis 1920 entre nous soit dit), ou savoir si un tel ou un tel est méchant. La question est de savoir qui ne sera pas élu”.
–Il ne s’agit pas de “méchanceté”, ni de morale, mais de politique : il s’agit de savoir quels intérêts va servir “tel ou tel” qui sera élu. Le social-libéralisme, qui sévit depuis 1920 et bien avant, depuis les débuts du mouvement ouvrier (lire Marx, “La guerre civile en France”, Lénine, “Que faire ?”,”L’impérialisme…”) a toujours servi les intérêts et suivi les évolutions des diverses formes du capitalisme. Il doit être combattu au même titre que les autres versions de l’idéologie capitaliste. Que nous soyons nombreux ou non ne change rien : dans la situation actuelle de crise du système, ou bien nous tentons de résister, en liaison avec les autres forces anti-impérialistes en Europe et ailleurs (Russie, Chine, Amérique du Sud, “Brics”…) à la menace de fascisation de moins en moins “rampante” ; ou bien nous nous résignons à la dictature de la haute finance israélo-américaine (en déclin, mais d’autant plus dangereuse) qui veut imposer sa loi au monde entier. La discussion concerne seulement la recherche des moyens tactiques, même limités, dont nous disposons.
S’allier avec un parti dit “de gauche” qui a toujours trahi ses promesses, et au moins une fraction de son électorat ne semble pas le plus efficace.

Stève 26 mars 2015 à 11 h 11 min

La période politique appelle beaucoup de sang froid et une réflexion politique profonde. Il ne faut pas céder à ses émotions, à ses coups de gueule. Voter PS pour éliminer la droite dans mon canton, je ne le fais pas de gaité de cœur, croyez moi. Je ne suis pas aveugle au point de ne pas constater la dérive droitière de la social démocratie et du PS en particulier. Mais à force de concentrer nos coups de gueule contre le PS, on ne dit plus rien de la droite qui prend un virage des plus inquiétants (et au passage, l’Allier et le Val de Marne passent à droite). Confier nos départements aux sarkozystes illuminés qui sont à la tête de l’UMP,c’est l’austérité multipliée par 4, la fin de toutes les politiques sociales menées par les départements (crèches, PMI, aide sociale, planning familial, la xénophobie partout. Pensons aux familles populaire qui vont morfler encore plus! Non à la politique du pire! Si les électeurs de gauche préfèrent en majorité voter PS, posons nous les bonnes questions: comment rassembler pour un projet de transformation sociale. Il y a du boulot, mais l’heure n’est pas à régler nos comptes avec le PS au profit de la droite et du FHaine.

dennis 26 mars 2015 à 20 h 18 min

Allez les cocos, le PS c’est fini, faites un effort pour pas le suivre et essayez de faire avancer le front de gauche plutôt. Voter pour un parti qui nous fait travailler le dimanche et qui donne des milliards aux patron ? NON

alain harrison 27 mars 2015 à 4 h 56 min

Bonjour.

Lucien Atencia:
«« tenter d’inventer ce qui nous permettrait d’incarner autre chose, en phase avec une attente plus au moins diffuse et confuse, d’une conception neuve de l’activité politique, dans un pays où aujourd’hui cette dernière est très déconsidérée et où les idées ultra-libérales, dans bien des domaines, ont pris le dessus.»»

L’activité politique est déconsidérée, le néo-libéralisme a pris le dessus.
C’est devenu un constat, n’est-ce pas !

Le néo-lib. répond à notre chialage de tout temps contre le politique.
Considérant le comportement habituel du politique disant uns chose faisant le contraire.
Le chialage devient une réponse “conditionnée” ?!

Et puis le discours néo-lib. est entré dans les moeurs de la pluspart. Un conformisme est né.
Remarquez, que le chialage fait toujours parti du paysage.
Bien qu’il se fasse aussi contre l’économie,C’est toujours tourné contre les gouvernements, l’institution. Malgré la connaissance que nous avons des paradis fiscaux, des méfaits “très grave” des banques privés, nous semblons les oubliés pour nous tourner contre l’état.
Nous n’avons aucune instance qui peut intervenir pour remettre les choses à leur place.

Il n’y a qu’une révolution sociale-économique par la prise du pouvoir politique par le peuple, mais un peuple rassemblé……que nous n’arrivons pas à concevoir, à articuler…..

Venezuela infos wordpress

Michel Berdagué 27 mars 2015 à 8 h 26 min

Oui c’ est bien beau tout ça , mais de s’ abstenir ça veut dire quoi au premier tour ? Personne n’ a pu répondre à la défection de plus de 2 millions de voix – contre des communistes ,contre le PCF – pour l’ Assemblée Nationale alors que nous sommes contre le présidentialisme ! Puis nous nous sommes embarqués dans un mariage détournant la Lutte de classes et de réfléchir à ce qu’écrivait Engels dans une lettre à Marx le 7 octobre 1858 à propos de l’ opportunisme soit un siècle avant cette Cinquième rejetée par nous :” En réalité , le prolétariat anglais s’ embourgeoise de plus en plus , et il semble bien que cette nation , bourgeoise entre toute , veuille en arriver à avoir , à côté de sa bourgeoisie une aristocratie bourgeoise et un prolétariat bourgeois. Evidemment ,de la part d’ une nation qui exploite l’ univers entier , c’ est , jusqu’ à un certain point, logique .” Dans une autre lettre du 11 août 1881 , il parle des : ” pires trades – unions anglaises qui se laissent diriger par des hommes que la bourgeoisie a achetés ou que , tout au moins , elle entretient .” Suit les causes et conséquences que fait Lénine qui précise l’ embourgeoisement d’ une partie . cf ” L’ impérialisme , stade suprême du capitalisme .”
Donc en 2015 rendez-vous le jeudi 9 avril à la Manifestation Unitaire . Car les abstentionnistes ne peuvent plus s’ abstenir dans les Luttes et rejoindre les : Debout du Mouvement .
1- à remarquer que ça ne s’ est pas arrangé depuis le printemps 1916 la bourgeoisie a réussi à créer avec ces dites – ” classes ” moyennes – une mise en appartenance décalée d’ appartenir à la bourgeoisie sans en avoir les pouvoirs ni les moyens mais dépendant d’ elle , c’ est le célèbre : ” c’ est nous qui vous donnons du travail …” sous entendu si tu te syndiques en conscience d’ appartenir au Prolétariat ,le Mouvement ouvrier , qui lutte : exclu .
2 – pour nous de réinvestir l’ appartenance de classe , de se rassembler , d’ étudier la plus value de Marx , le sur-profit de l’ impérialisme au XX e et début XXIe et de lutter contre le plus que sur-profit financier spéculatif celui des rapaces décrit déjà par un Lénine et que Patrick nous a alertés avec son Dracula contre les Peuples .
3- d’ agir en votant et en luttant , le vote est un choix au premier tour , et même là ne suffit pas …

Maxa31 27 mars 2015 à 22 h 58 min

Excellent commentaire de Michel Berdagué, j’y souscris. Il suffit de remplacer, dans la lettre d’Engels du 7 octobre 1858, “anglais” par “américain”…

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