Sujet : Banques

L’Europe livre les peuples à la loi de la finance

Jour après jour on a l’impression d’une inquiétante fuite en avant dans la crise qui ronge l’Union européenne. Celle-ci ne cesse d’imposer des sacrifices insupportables aux peuples, les uns après les autres. Loin de protéger nos concitoyens de la crise,

Nous sommes les quatre-vingt dix-neuf pour cent

Il serait naturel, alors que la planète vient d’accueillir le 7 milliardième habitant, que le groupe des pays les plus importants du monde, appelé G 20, réuni cette fin de semaine, se donne l’objectif de faire respecter le premier des

Leur impasse

Pour la énième fois, au terme d’une longue tragicomédie, les dirigeants européens, au premier rang desquels M. Sarkozy et Mme Merkel, tentent de nous faire croire qu’ils sauvent l’Europe. En fait, ils viennent au secours des ogres de la finance.

Le traité de Lisbonne… comme un boomerang

 Plusieurs éléments ressortent des sommets européens et des rencontres Sarkozy-Merkel qui se multiplient depuis des mois. D’abord, semaine après semaine, les dirigeants européens font payer aux peuples une crise dont ils ne sont en rien responsables et qui ne profite

Moody’s est-il ministre de l’économie ?

Maudit soit Moody’s ! Qui est cette dame ? C’est l’une de ces agences de notation qui prétendent dicter leur loi aux peuples. Deux jours seulement après la désignation de F. Hollande comme candidat socialiste et le jour même où le Parlement

Des primaires… au mouvement mondial des indignés

Que, deux dimanches consécutifs, près de trois millions de personnes se soient déplacées pour désigner le candidat du Parti socialiste, constitue en soi un événement politique marquant. Il témoigne d’une puissante aspiration démocratique, d’une volonté de participer à des choix,

Un budget national pour qui exactement ?

Le très patronal journal « Les Échos » faisait ce gros titre en première page, mercredi 28 septembre : « Valérie Pécresse : un budget pour convaincre les marchés ». Diantre ! On croyait jusque là que les pouvoirs faisaient au moins semblant de gérer le pays

De l’air !

Salariés appauvris pour enrichir la finance, augmentation en flèche du nombre de pauvres et du chômage, alors que les entreprises cotées en bourse annoncent des profits qui pourraient aller jusqu’à 94 milliards d’euros cette année. Austérité pour l’immense majorité quand

A l’offensive !

La crise prend une telle ampleur, les inégalités sont devenues si criantes et si insupportables que quelques représentants des grandes fortunes et du patronat en Europe et aux Etats-Unis se portent volontaires pour verser quelques miettes de leurs exorbitants profits