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Après la puissance de la 6ème journée d’action des organisations syndicales unies, le pouvoir ne peut plus rester autoritairement arc-bouté sur sa néfaste contre-réforme des retraites. Les sénateurs, mandataires de l’opinion du peuple, c’est-à-dire des 70% de nos concitoyens qui refusent l’abrogation de la retraite à 60 ans, seraient dans leur rôle s’ils considéraient qu’ils ne peuvent adopter un texte contre une opinion populaire majoritaire et donc décider de renvoyer le débat à une négociation entre syndicats et gouvernement. L’idée d’un Grenelle des retraites, après le vote de la loi, qui ne porterait que sur des enjeux de l’après 2016, n’est qu’une tromperie, un leurre. 
Que le pouvoir ne s’y trompe pas ! Au fil des jours, à partir de la question des retraites, le débat populaire porte de plus en plus sur le type de société dans laquelle nous voulons vivre. Nos concitoyens refusent l’injustice, les inégalités galopantes, la pauvreté, l’austérité pour le peuple, pendant que les grands fortunés et les puissants se gavent et spéculent. Le slogan chanté dans les manifestations : « Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère », dit exactement ce que notre peuple ne veut plus alors qu’on apprend que notre pays est classé troisième Nation au monde pour le nombre de ses multimillionnaires.
Il n’y a qu’une issue raisonnable : celle réclamée par la majorité de notre peuple. Retirer ce texte. Organiser un débat public. Consulter le temps nécessaire les organisations syndicales et associer réellement le Parlement.
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Il faut rester et meme élargir la mobilisation des citoyens libres et déterminés pour sauvegarder les acquits sociaux et le systéme des retraites institués à la Liberation alors que le pays etait détruit en grande partie.Nous devons nous monter les dignes heritiers de ceux qui n’ont pas abdiqué dans les heures sombres de l’occupation.Nous nous battrons pour faire echouer la contre revolution Sarkozyste !La France doit renouer avec la Justice pour tous ses citoyens ,et en particulier pour sa jeunesse magnifique!
On a l’habitude des grèves dans la fonction publique et para publique, ie les secteurs protégés et favorisés en terme d’emploi et de retraite…mais cette gauche-là nous montre maintenant un autre visage, plus dangereux: une gauche qui refuse le jeu démocratique du vote parlementaire et veut imposer par la force son point de vue personnelle. Empêcher les gens d’aller travailler via des blocages de diverses natures, crever les pneux des camions de ravitaillement d’essence pour les empêcher d’approvisionner les stations. Ces favorisés qui jouissent de régimes spéciaux pour beaucoup veulent apparemment défendre leurs intérêts immédiats au détriment de l’équilibre générale.
@Gmx, ne vous trompez pas sur ceux qui mettent vraiment en danger la vie politique en France et en Europe:
http://www.rue89.com/2010/11/01/a-bruxelles-cest-leurope-politique-quon-assassine-174058