Un 1er mai des convergences !

le 25 avril 2018

La fête internationale des travailleurs peut être l’occasion pour celles et ceux qui sont dans l’action depuis des mois comme pour celles et ceux qui n’ont pu s’y joindre de se retrouver et de se faire entendre ; un moment privilégié pour notre société en ébullition de soulever le couvercle que veut imposer le pouvoir par la force policière comme par l’autoritarisme présidentiel. Cette stratégie dangereuse ne saurait faire oublier la casse des services publics, le délitement des solidarités, le chômage et la précarité qui cheminent au quotidien, et encore moins faire taire une jeunesse qui ne réclame pas la lune en demandant plus de places dans les universités pour y être accueillie dignement.

Le glissement sémantique du gouvernement est significatif. Face aux mouvements sociaux, le pouvoir n’en appelle plus à la défense de « l’état de droit » mais à « l’ordre républicain ». Aussi entend-on qu’il ne s’agit plus de régler les conflits par le droit, la démocratie, le dialogue, mais par la troupe déployée de manifestations en universités, à la manière d’un Clémenceau. Voilà une nouveauté qui devrait autant interroger qu’inquiéter. Le Président de l’Assemblée Nationale s’est même autorisé une remise en cause inédite du droit de grève dans la fonction publique… La droite jubile de tant de « fermeté » qui permet d’empêcher tout débat sur les grandes questions qui taraudent en profondeur nos concitoyens.

Deux grandes options s’opposent et s’affinent sous nos yeux. L’une consiste dans les libéralisations et l’intensification de la concurrence pour donner aux milieux financiers et industriels transnationaux de nouveaux espaces de rentabilisation. C’est ainsi qu’il faut comprendre le projet d’ouverture du capital de la SNCF, combiné avec l’offrande de nos rails aux sociétés privées. L’autre consiste à développer une appropriation sociale et démocratique, adaptée aux besoins d’aujourd’hui pour des services publics bénéficiant des investissements à la hauteur des enjeux sociaux, environnementaux, agricoles ou de formation. La première est portée par le pouvoir en osmose avec  des institutions européennes acquises à la promotion des intérêt du capital financier. La seconde est défendue par les travailleurs en lutte et le mouvement social, une large frange du mouvement associatif, des créateurs. L’une défend l’ordre inégalitaire de l’ultralibéralisme, l’autre l’intérêt général. Cette opposition s’aiguise depuis plusieurs années. Elle s’est accélérée avec la loi Travail de M. Valls après le CICE et autres cadeaux fiscaux et sociaux aux grandes entreprises pendant le précèdent quinquennat. Ce dernier reposait sur les mêmes présupposés et la même ambition de porter atteinte aux soubassements d’un modèle social qui conditionne l’efficacité économique à la protection sociale et à un droit du travail élevé.

Le ton goguenard du pouvoir et des médias dominants à l’égard du mouvement étudiant témoigne d’une cécité volontaire qui confine au mépris vis à vis d’une jeunesse populaire dépossédée de la possibilité même de définir son propre avenir. A travers la sélection socialement déterminée du système Parcoursup, le pouvoir ne dit pas autre chose que son incapacité à répondre au formidable défi de la démocratisation de l’enseignement supérieur. Toute une classe d’âge pourrait pourtant accéder à une formation élevée et l’université devenir un modèle de creuset social qui tirerait l’ensemble de la société vers le haut au lieu d’être le sas d’entrée d’un « marché » du travail répondant aux objectifs étriqués d’un grand patronat de plus en plus indexé sur les rendements financiers. C’est bien ce monde sans âme que refuse massivement la jeunesse. Traiter ses aspirations par la condescendance ou, pire, par le déploiement de gendarmes mobiles, témoigne d’un autoritarisme aveugle qui pourrait se retourner contre le gouvernement plus vite qu’il ne le croit. Surtout quand il s’additionne au mépris affiché vis à vis des cheminots confrontés aux fins de non-recevoir gouvernementales dont celle du Premier Ministre. Ce refus de négocier le moindre point d’un projet aussi déterminant pour l’avenir du pays, qui redéfinit en profondeur la place du rail pour la vie des territoires et l’environnement et, qui plus est, n’a jamais été présenté au suffrage des électeurs, est le symptôme de cette « a-démocratie » confiscatoire de la parole populaire qui définit si bien les gouvernements néolibéraux.

L’effervescence sociale des derniers mois doit trouver un prolongement retentissant ce 1er mai qui, en tout état de cause, ne ressemblera pas aux autres.  La manifestation des forces syndicales doit être le point d’appui d’une contre-offensive pour imposer au gouvernement une feuille de route sociale sur la modernisation et le développement des services publics, la grande question salariale qui figure au centre des débats de nos voisins allemands, le rôle et l’utilisation de l’argent qui irrigue les secteurs spéculatifs au détriment de nos universités, de nos services publics, de nos territoires et de l’emploi, notamment dans les secteurs industriels. A chacun de nous de faire de ce 1er mai un puissant relais des luttes en cours, une étape vers un rassemblement encore plus large, unitaire et déterminé pour sortir de ce système du règne de l’argent-roi.


18 commentaires


Moreau 25 avril 2018 à 19 h 51 min

Qu’il faille des solutions communistes, je le pense aussi, mais leur venue doit être républicaine au sens littéral pour une société nouvelle. Il est impossible de parvenir au changement dont ont besoin la France et l’Union Européenne sans la nouvelle république démocratique universaliste, puisque la cinquième république pour laquelle ont oeuvré des communistes à leur manière pendant le vingtième siècle, il faut tout de même le dire. Il ne faut pas refaire le moindre mur tel que le mur de Berlin, c’est pourquoi il faut la rénovation et le transformation du communisme français.
Du Georges Marchais sans Georges Marchais qui est un des communistes qui firent une part de construction de la cinquième république qui aurait pu devenir franchement universaliste à partir de 1988 ; donc l’oeuvre de Georges Marchais pouvait déboucher sur plus de réussite valable et la république ne serait pas à refonder de A à Z maintenant ; il faut repenser pour bien refonder que la république a été assez forte voire forte quand monsieur Georges Marchais parlait de régime démocratique nouveau et de progrès social. A ce moment là, la république n’était pas le préalable urgent, et il faut reconnaître que monsieur François Mitterrand a fait beaucoup pour une république française et européenne forte, donc pour l’union de la gauche qui alors représentait réellement toute une partie de la population de femmes et d’hommes qui ne demandaient qu’à vivre comme des femmes et des hommes.
Georges Marchais a été un homme politique moins individualiste que les leaders des trop nombreux partis qu’il y a maintenant, contrairement à des dires et à des écrits ; de sorte qu’en le voulant ou sans le vouloir, il a été complémentaire avec François Mitterrand, et bien que cette complémentarité a trop rimé avec adversité trop fréquemment, la cinquième république doit beaucoup à l’union de la gauche, c’est pourquoi, il fallait réussir la république du vingt et unième siècle authentique universaliste, dès le second septennat de monsieur Mitterrand ou plus tardivement après ces grands disparus, je pense que le devoir de mémoire ne doit pas oublier Georges Marchais, mais je pense aussi que l’âme de la gauche ne peut pas être illibérale et sans reconnaissance pour le vrai socialisme qu’était le socialisme de François Mitterrand. Certes il faut vaincre des fléaux politiques comme le libéralisme violent, inepte, dur ; mais uniquement les fléaux politiques, pas les politiques spécifiques qui ont fait selon beaucoup de personnes et notamment selon beaucoup de franciliens, la bonne cinquième république.
La vie en société française et européenne a besoin de plus de bonne communication entre toutes les personnes sans discriminations, je trouve angoissant parce que c’est néfaste et dangereux de passer en même temps sous silence voire sous oubli total ou quasi total, l’oeuvre de Georges Marchais quelles que soient des insuffisances, des erreurs, reprochables et reprochées, et la cinquième république en raison de leur consubstantialité qu’il est dangereux de faire abstraction, d’ignorer, de nier. Georges Marchais et de nombreux Communistes ont fait de bons apports à la cinquième république. La cinquième république s’est abîmée, a été détériorée, a été détruite, faute de nouveaux bons apports. Il reste à refonder, riches de l’histoire. Et tout ne sera dès lors plus que victoire pour la liberté, l’égalité, la fraternité, telles sont mes convictions pour la France et l’Union Européennes démocratiques au sens littéral.
Il est beaucoup plus important de se remémorer la cinquième république forte et l’oeuvre positive dans le bilan globalement négatif des Communistes, le libéralisme est bien connu pour ne pas être le développement à lui seul, il n’en est pas moins une part du génie des peuples ; la bonne mémoire est indispensable pour toutes les refondations à faire.
Il ne faut pas surévaluer le communisme français mais il ne faut pas l’oublier en jetant la cinquième république. Alors réussir est possible voire évident.
Et il y aurait moins de problèmes actuellement en Allemagne si le niveau politique en France était élevé comme il pourrait et devrait l’être. Les disputes selon lesquelles monsieur Mitterrand a pris des voix aux Communistes ne sont pas la moindre édifiantes puisque c’était pour le bien de la France et de l’Union Européenne en même temps que pour le bien de l’union de la gauche qui pouvait mieux réussir et faire mieux le plein de voix depuis.

Moreau 25 avril 2018 à 20 h 26 min

Monsieur Marchais a fait dans l’histoire en même temps ou presque une oeuvre politique en même temps que des erreurs, la population s’autodétruit si elle ne jure que par les erreurs, les disputes, alors que l’oeuvre communiste française et européenne certes insuffisante mais insuffisante l’oeuvre libérale française et européenne l’est aussi ; la mémoire, c’est le coeur et la tête des Hommes, et le Peuple français en a besoin intégralement pour réussir. Autrement le Communistes deviennent un groupuscule (tout le contraire de la pensée généreuse de monsieur Marchais) avec des personnes qui font des erreurs semblables et d’autres qu’en faisaient les Communiste de l’époque de monsieur Marchais, sans réussir une oeuvre communiste propre.

Moreau 26 avril 2018 à 20 h 22 min

Tout va mal et tout va mal depuis longtemps à bien lire et relire cet article qui dit : “La première est portée par le pouvoir en osmose avec des institutions européennes acquises à la promotion des intérêt du capital financier. La seconde est défendue par les travailleurs en lutte et le mouvement social, une large frange du mouvement associatif, des créateurs. L’une défend l’ordre inégalitaire de l’ultralibéralisme, l’autre l’intérêt général.”

Cet article montre au-delà de ce qu’ont montré d’autres articles, qu’un grand chantier manque à la France et à l’Union Européenne : celui de la refondation du communisme pour le communisme du vingt et unième siècle, ce que devait faire le Front de Gauche.

J’ai lu ces lignes aussi : Le «communisme» est chrétien au XVIIe siècle, républicain au XVIIIe, matérialiste au XIXe, totalitaire au XXe, capitaliste effréné aujourd’hui / http://www.slate.fr/story/100593/fn-tract-pcf-1970.

La création du front de gauche est une expérience de plus dans la longue histoire du communisme, la création du front de gauche a montré qu’une diversité d’opposants de gauche n’est pas la bonne alternative (ça ne marche pas du tout pour le communisme tel qu’il doit être) au parti unique qui n’est pas le bon concept, ce concept a fait de nombreuses victimes.

C’est pourquoi, front de gauche ou pas, il fallait continuer le chantier de la rénovation-transformation, voire après le front de gauche, de la refondation, car l’échec ne doit pas stopper la création du meilleur communisme puisque tous les communistes et pas eux seulement s’accorde à dire que le communisme est nécessaire et indispensable au monde entier.

Ma conviction est que la période actuelle de refondation de la république est idéale au sens littéral pour la refondation du communisme pour le meilleur communisme, le communisme républicain authentique (donc réellement objectif et désintéressé ainsi que généreux) du vingt et unième siècle.

Refonder la république française et européenne exige de bien scinder dans la nouvelle constitution ne reniant pas l’essentiel de celle de la cinquième république, les religions, les associations, les partis et formations politiques spécifiques présentant des candidats aux élections… De façon aussi notamment à laisser l’associatif libre culturel, utile, et sportif, sans l’envahir ! Et bien ça, c’est l’idéal pour le communisme du vingt et unième siècle tant à partir de telles avancées, il est possible de voir une autre avancée du vingt et unième siècle que j’appelle le régime par répartition soumise à référendum quand c’est nécessaire. Cette répartition consisterait dans l’intérêt de tous les partis républicains que les Françaises et les Français ne supportent plus parce qu’ils ne se sont pas remis à temps sérieusement en question ; à reconnaître les talents politiques et donc la bonne répartition des postes de responsabilité selon ce que nous savons des partis depuis 1968 notamment. La droite libérale a été convaincante en politique extérieure de la France et de l’Union Européenne hormis qu’il y a le problème interférant des migrations climatiques quand se produiraient des catastrophes provoquant des déplacements de population partout dans le monde avec la politique intérieure et le code d’un amalgame asile-immigration ; la gauche communiste universaliste porteuse d’une ample révolution d’art mondiale et tellement trop discrète depuis trop d’années ; est reconnue convaincante pour exercer le pouvoir en améliorant la vie de tout le monde grâce aux domaines concernés par le centralisme et le décentralisme, par le pouvoir local et par le pouvoir national ; à savoir pour en citer quelques uns auxquels tout le monde pense : les services publics, le logement, les énergies et l’eau potable et l’eau d’arrosage et d’irrigation, les transports en commun, le ferroutage, l’éducation, la santé, les villes, le social…

Le mauvais travail fait par la droite, et le mauvais travail fait par la gauche a nui depuis la fin de la reconstruction du pays, à la France de façon très cruelle et continue à nuire. Mais ça pourrait s’arranger rapidement en refondant bien la république et le communisme , en répartissant très bien les responsabilités, la droite libérale républicaine, le grand centre libéral républicain, à la politique extérieure de la France et de l’Union Européenne ; les républicains authentiques socialistes et communistes universalistes, à la gouvernance pour la vie du pays.

Je me dis qu’il serait bon de refonder le gouvernement en deux gouvernements : un gouvernement chargé de la politique extérieure de démocratie libérale ; et un gouvernement chargé de la vie de la population française notamment de démocratie communiste. Il m’est difficile de parler actuellement de la démocratie socialiste tant les socialistes sont devenus insuffisamment lisibles, il est vrai que les pauvres comme moi se heurtent au prix de l’information-marchandise et ne sont généralement pas réalisateurs d’achats en ligne sur internet selon le jargon nouveau.

En se refondant ainsi, la république et la classe politique pourrait mettre enfin fin à cet apartheid français qui torture littéralement tant de Françaises et de Français.

Le communisme a un lourd passé, mais les communistes européens ne mettent jamais en valeur en faisant bon coeur contre mésaventure politique, que si ça s’est mal passé dans l’histoire avec un redoutable mur de Berlin qui a été tombé presque trente ans après avoir été inhumainement réalisé, grâce à l’Allemagne de l’Ouest et à l’Allemagne de l’Est car aucune Allemagne ne pouvait réussir seule ce véritable miracle historique voire cette victoire historique sur tous les siècles pour la république authentique universaliste, un évènement pour la réussite de la meilleure destinée du monde entier. Le communisme, ce n ‘est pas seulement le lourd bilan négatif, c’est aussi cette immense part de positif apportée par la chute du mur de Berlin tant grâce à l’Allemagne de l’Ouest qu’à l’Allemagne de l’Est tant ils sont les premiers pays concernés.

Rien ne peut changer en France, en Europe, dans le Monde, si les femmes et les hommes politiques porteur du communisme universaliste parce que nombreux sont les Communistes qui dans l’histoire ne surent pas pendant longtemps les fautes cruelles de Staline et des Staliniens. En France des Catholiques et des Communistes ont fraternisé pour des progrès politiques qu’ils concevaient bien les uns et les autres, la fraternité est un mot qui définit l’universel.
La fin du mur de Berlin est une très grande réussite historique à laquelle ont participé les Communistes de l’Allemagne de l’Est. Il faut retenir de l’histoire ce qu’elle a de magnifique et mettre au point le régime républicain d’excellence du vingt et unième siècle. Il y a de nombreuses urgences sociales et il faut refonder tout ce qu’il faut refonder pour répondre aux urgences sociales.

Moreau 27 avril 2018 à 21 h 14 min

Je pense qu’il faut à un pays du vingt et unième siècle, pour sa société telle qu’elle doit être, un Gouvernement Permanent Communiste (GPC) qui travaille quotidiennement sur les améliorations de la vie de toute la population présente dans le pays.

Les expériences que nous avons de l’alternance, de la cohabitation ; ne sont pas concluantes au point de les relancer continuellement ; il faut réussir à passer à la simultanéïté républicaine pour continuer à réaliser la vision de la meilleure destinée de l’Humanité dans de bien meilleures conditions puisque nous dépendons tous de tous. C’est possible grâce à une utilisation bien fondée, sobre, pertinente, du référendum républicain.

C’est ainsi que le fléau des droitisations barbares tant elles sont envahissantes, monopolatrices, et en grande partie cruellement décevantes ; pourra être vaincu ; c’est redire que tous les fléaux non vaincus depuis 1968 peuvent être vaincus.

Les Communistes français sont insuffisamment inclus dans la république par rapport à l’inclusion dont ils devraient déjà bénéficier au nom de la déontologie républicaine qui prévaut depuis les lendemains de la seconde guerre mondiale ; ils occupent beaucoup moins de place que la place qu’ils devraient occuper afin que les Français et les Françaises soit bien servis par la classe politique républicaine. Le moins qu’il faut en dire, c’est que des Communistes français parlant bien pour la république en apportant certaines réponses précieuses notamment à des questions qui leur furent posées mais aussi en prenant la parole, n’ont pas été du tout assez compris par les autres partis qui n’ont pas su bien écouter notamment depuis 2010.

Il faut dire aussi en même temps que des Communistes se sont égarés en essayant de concevoir la réalisabilité de l’exercice du pouvoir pour les améliorations de la vie de toute la population sur une refondation plutôt non crédible dès lors qu’elle est complètement en marge des grandes institutions mondiales. L’inclusion des Communistes français pour le bien de la société n’est donc pas à réaliser selon des approches financières qui ne donne pas des convictions universelles, mais à partir de la refondation de la république. Il faut inscrire, je le pense, un Gouvernement Permanent Communiste qui sera un deuxième gouvernement, et nous avons vu que messieurs Chirac, Sarkozy, Hollande, et Macron ; ont plutôt réussi en politique extérieure, et n’ont pas du tout su servir toute la population de leur pays. Au point que monsieur Sarkozy lui-même a su dire que ça pourrait très mal finir, et personne ne le lui fait dire. Un Peuple ne peut pas vivre longtemps ainsi, dans l’impossibilité de réussir sa vraie destinée. Il faut le partage républicain du pouvoir qui passe par des refondations dont je parle moi-même régulièrement. La démocratie entière réelle qu n’a rien d’hégémonique parce que l’hégémonie, c’est la destruction.

Il faut donc reconnaître qu’il faut un gouvernement libéral mais que ce gouvernement n’est pas à lui seul suffisant pour la vie du Peuple français, et qu’il faut un deuxième gouvernement, gouvernement républicain communiste démocrate universaliste qui oeuvrera en équipe comme les Communistes préfèrent toujours le travail d’équipe, sur les améliorations de la vie de la population ; en oeuvrant par exemple sur les les services publics, le logement, les énergies et l’eau potable et l’eau d’arrosage et d’irrigation, les transports en commun, le ferroutage, l’éducation, la santé, les villes, le social ; et ceatera.
Il s’agit de réussir ainsi la complémentarité nécessaire et indispensable du centralisme républicain et du décentralisme républicain puisque c’est elle qui permettra l’oeuvre communiste présente sur tout le territoire pour le grand bien de la vie de toute la population.

La question ne se posera plus pour savoir si des Communistes peuvent faire partie du gouvernement ! La question ne se posera plus pour savoir s’il y a une gauche de gouvernement !

La question se posera pour savoir si un ou une Communiste peut présider la République, mais il faut prendre tout le temps qu’il faut pour répondre à cette question puisque les Communistes sont plutôt unanimes, la présidence ne les intéresse pas, ce qui les intéresse, c’est faire équipe, travailler avec enthousiasme, conviction, motivation, et grand désintéressement, toutes les améliorations possibles de la vie de toute la population. Il faut blâmer notamment messieurs Sarkozy et Hollande de n’avoir pas su écouter les Communistes, entendre et comprendre surtout, ce que j’ai entendu et compris, ce défaut d’écoute leur est directement imputable. Tout président de la République est le premier responsable de la vie du pays, et la vie du pays n’a pas été telle qu’elle devait être.

Besse daniel 28 avril 2018 à 4 h 52 min

Les 4 et 5 mai il va y a voir les assises communistes de l’écologie , c’est très bien . Mais il faudrait prévoir des assises sur la JEUNESSE c’est elle l’avenir .Pour le moment elle ne voit pas de perspective . NO FUTUR.. Le PCF doit s’adresser a la jeunesse , c’est impératif .
Sur notre drapeau rouge ,il n’y a plus de faucille et marteau , nous n’avons plus de logo ( il est vrai que a l’heure du numérique la faucille et le marteau c’est dépassé ) pourquoi ne pas le remplacer par quelque chose d’universel comme la colombe de la paix par exemple avec un rameau vert dans le bec ( écologie) .C’est une proposition a faire au Congrès.
Le PCF devrait sortir une affiche représentant la planète bleue avec écrit dessus ” SORTIR DU CAPITALISME AVANT LA CATASTROPHE ” pas en anglais ou le ” LE CAPITALISME A FAIT SON TEMPS IL FAUT EN SORTIR ” avec PCF écrit en GROS ,pas petit

Moreau 28 avril 2018 à 10 h 44 min

Excellente idée créatrice pour un nouveau drapeau communiste républicain universaliste français : je le décris ainsi : la colombe tenant dans son bec un rameau vert sur fond bleu blanc rouge.
Ce drapeau peut figurer dans l’anthologie française de la poésie puisque Jacques Brel chante :

Nous n’irons plus au bois
La colombe est blessée
Nous n’allons pas au bois
Nous allons la tuer
Demandez-vous belle Jeunesse
Le temps de l’ombre d’un souvenir
Le temps du souffle d’un soupir
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

Afin de soutenir l’idée créatrice de la colombe je dis comment elle est réalisable pour embellir et anoblir le drapeau français, ce qui devrait parler dans le bon sens à monsieur Macron, président de tous les Français par la Constitution actuelle mais il faut la nouvelle pour que PCF s’écrive en gros, pas en petit.

Pour ma part Camarades je fais la place dans mon libre pour ce drapeau inspiré en 2018 dans mon livre, pour le pays profond qui s’exprime encore avec les lignes de Daniel qui offre en partage une colombe au-delà de l’histoire de la faucille et du marteau. Il faut savoir laisser au passé tout le négatif ou/et l’obsolète ; et vivre le présent pour la destinée infinie voire l’avenir.

La part de pensée indestructible d’un homme, je le dis sans adhérer à une quelconque doctrine, est honorable définitivement, je pense à celle de monsieur Marchais qui disait … penser, agir, travailler, pour le meilleur de notre cause : le bonheur de notre Peuple. »

Il arrive ainsi que des poètes et des camarades se rencontrent. Et selon œuvres et commentaires ; on peut y arriver à VIVRE ! Je suis toujours partant pour dépasser irréversiblement le capitalisme, c’est réalisable puisque Europ’ Art dépasse déjà Europa ! Il faut une volonté révolution communiste pacifique comme les arts majeurs, la grande musique est la musique pacificatrice par excellence.

Je souhaite aux Communistes de réussir à adopter le drapeau du pays profond bleu blanc rouge avec la colombe, les congrès politiques sont en principe organisés aussi pour ça.

alain harrison 28 avril 2018 à 17 h 59 min

Bien je vois que la pensée tourne en rond.

La gauche tourne en rond.

Les cheminots entre-ouvrent la porte, et tous cherchent un moyen de la refermer.
La Révolution Française , ça vous dit quelque chose.
Krishnamurti, pour vous est-ce un fait ou une idée ?

Est-ce un fait historique, la première semence du changement: éradiquer l’exploitation de l’homme par l’homme, le phénomène humain le plus odieux qui soit.

Mais vous tourner en rond plutôt que de le voir en face. Et de plus, vous allez tout faire pour turner le dos.

Il y a 4 sorties, mais il y a tous ceux qui ont décidé de fermer les yeux et de se gargariser de mots et de discours sans lendemain.

Quelle défense pour le Vénézuéla ?
Maintenant l’US-UE va plancher sur l’exécution du Nicaragua, puis de la Bolivie, mettant dans la balance le droit de dire n’importe quoi, la soi disant liberté d’expression, rien à voir avec la l’exigence d’avoir une vie digne pour tous__la Grèce si proche et si loin.
Mais pour vous, c’est sans doute une abstraction, que le Vénézuéla entre-ouvre la porte, et sur tout que cela titille votre sentiment de supérirorité inavouée, surtout dans la gauche qui se perd en dispute et non en réel débat. Société saine société alliénée.
Vous croyez que la capacité des discours compliqués sophistiqués et incompréhensibles pour la personne moyenne est signe d’intelligence.
N’oubliez pas ce salle type, ce salop de recteur qui avouait en publique, que pour lui la casse des étudiants étaient une bonne chose (le matraquage par de hommes cagoulés dont des profs ont été reconnus. Ça c’est vraiment l’installation du fascisme, du nazisme, les gendarmes qu’ont-ils fait ?
Un événement à ne pas laisser passer, et il y a le lien à faire avec Macron, le grand responsable. Macron est un vicieux, n regard des caractéristiques des manipulateurs: de haut niveau et sophistiqué, Trump, la brute intelligente, Trudeau, l’image fascinante.
Renverser ce gouvernement, est sans contredit, la chose à faire.
Les 4 sorties, sinon, vous vous enfermerez vous mêmes.
Le syndrome de Stockholm , vous connaissez.

alain harrison 28 avril 2018 à 18 h 53 min

Et oui, la politique de la V è. République-UE est la grande manipulation, celle qui a mis la France en souffrance: le syndrome de Stockholm. La Grèce non de dieux.

Mais le voyez-vous ?
Si vous n’arrivez pas à le voir clairement, vous êtes foutu, comprenez-vous ?
C’est devenu si évident, banalisé depuis des dizaines d’années, que cela vous échappe. Comment dire.
Le poisson c’est dans l’eau qu’on le fait bouillir (le su et le non su, Korzybski).

Ce gouv. macron, ne le laissez pas faire.
Mais sans doute que la Révolution Française n’est que de la nostalgie à jeter avec le kleenex.

Je suis du Québec, je ne suis pas impliqué directement dans votre situation, mais je vois la nature réelle du néo-con-libéralisme rampante ici-même au Canada et au Québec.
Au commencement était la démocratie libérale, mais ce n’était qu’un masque.
Une première couche enlevé, révéla la démocratie capitaliste.
Macron en enlevant une nouvelle couche, révèle le vrai visage: la démocratie fasciste.
Remarquez, que Macron salit et démonise le mot démocratie.

D’abord on détruit l’intérieure ensuite l’extérieure, et une bonne partie de la gauche infiltré a aidé à cela. Le parti , l’idéologie, l’économie, ce sont des abstractions, des rouages qui forment le système, par des hommes et des femmes d’intérêts.
Ni de gauche ni de droite , n’est pas différent du …à notre image et nous sommes de gauche (une interprétation alternative), une gracieuseté de Trudeau ( discours récents ), un manipulateur en herbe. Il est l’image qui veut passer à la ressemblance. (une notion biblique, un symbole mystifiant l’inconscient des humains)
Il ne faut pas oublier que nous avons vécu sous le joug religieux, le joug du mythe pendant des millénaires. D’ailleurs Hollywood nous en abreuve ad nauseam. Le mythe est binaire et est toujours en guerre. C’est cela que nous voulons pour nos enfants que soi-disant, nous aimons tant.

Maintenant, des viols de groupe à 13 ans. Cela deviendra-t-il une épidémie ?
Les mécanismes qui font le passage à l’acte sont en parti inconscient et atavique. Il suffit de les activés.

Je conseille de voir le document: Naissance sans Violence (juste à taper).
Vous qui chantez un monde meilleur.
Vous verrez s’activer la pensée récupérant (comment se forme des préjugés, le conditionnement… par nous-mêmes, même) les émotions si vous êtres attentifs. Juste voir, suivre le mouvement intérieure…….
De la condition humaine.

Le conditionnement psychologique à valeur ajouté: psychosomatique.

alain harrison 28 avril 2018 à 19 h 14 min

Le pire , c’est que la fausse gauche a récupéré Jean Jaurès*.
Comme le FN, comme Macron……. et le PCF est à l’image du PS ?
Les symboles ont leur importance, la faucille et le marteau représente le travailleur.
Aujourd’hui, le communisme doit prendre le temps de se renouveler, marquer sa présence vivante à l’époque actuelle sans perdre son sens: le TRAVAILLEUR, l’exploité a explosé en une multitude, mais exploité.

L’essentiel de Jean Jaurès:

Pour Jean Jaurès……… Le devoir de philos

alain harrison 28 avril 2018 à 20 h 28 min

C’est quoi l’honnêteté intellectuelle ?

Crime, on est rendu qu’il faut poser la question.

Avec Trump-macron-trudeau, le triumph vira de la vérité alternative et tous ses dérivés nous plonges dans un monde de stupidité. Pour moi c’est un constat.

La Le Pen qui change de nom (parti).
Le PS qui veut renaître.
Le PCF qui persiste.

La gauche pertinente: le PRCF, le PARDEM et le nouveau parti anti capitaliste, la FI a encore le choix de se fixer ?

Mais la gauche doit choisir d’autres bases économiques que celles du libéralisme.
Sans quoi:
La gauche est la continuité modifiée de la droite.
Est-ce claire ?

Nous ne sommes plus dans les symboles, ce sont des artéfacts, des signes de reconnaissance point.
Ce sont les solutions, l’alternative et les moyens d’y parvenir.
En 1917, la révolution ne pouvait que se faire par la violence armée, le peuple qui renverse le régime, époque oblige.

Le Vénézuéla démontre que la révolution peut passer par l’état qui concentre les pouvoirs, en promulguant la Constituante, au préalable, il faut que cela soit inscrit dans la Constitution.
Et donc la gauche doit prendre le pouvoir, mais avec une réelle majorité.

C’est le peuple qu’il faut convaincre, du moins une majorité forte.
Et vue la division de la gauche……….

alain harrison 28 avril 2018 à 20 h 31 min

Donc la gauche doit faire consensus.
Faire la promotion de l’alternative globale et faire les liens avec la vie courante.
De telle sorte que chacun en fasse sien.

Ne pas jouer sur les mots, mais exposer.

alain harrison 28 avril 2018 à 20 h 46 min

Maintenant du contenu concret qui touche à la vie quotidienne et tout ce que cela comporte.

Améliorer radicalement les choses versus le consumérisme frustré.
Je conseille de lire le chapitre 1 du livre de Jean-Marie Abgrall, tous manipulés tous manipulateurs, pour réfléchir sur notre condition humaine moderne: l’homo consumériste versus l’humain d’abord.

Les mots ont un sens seulement dans un contexte.
Chaque époque a ses mots évocateurs de la réalité, cela fait parti de l’Évolution Naturelle, toujours en marche. Ainsi la culture change et évolue. Cela doit être bien compris.
Voyons:

Communisme = « utopie » ?
par proletaire-de-fer (son site)
mercredi 17 janvier 2018 par proletaire-de-fer (son site)

«« Karl Marx, grand philosophe et socialiste allemand, base pourtant sa théorie, non pas sur la bonté humaine, mais sur la lutte des classes. Tiens donc, étrange non pour un utopiste rêveur ? Contrairement aux socialistes utopiques de son époque, Karl Marx s’intéressait beaucoup aux sciences, et se considérait lui-même comme un scientifique. Et parmi les scientifiques de son époque, il en est un en particulier qui a révolutionné notre vision du monde : le biologiste et naturaliste Charles Darwin. Darwin a découvert deux choses fondamentales. En premier, la loi de la lutte pour l’existence, qui se manifeste dans tous les processus de la vie. En second, l’évolution des espèces, qui résulte de ce qui précède ; ainsi la vie n’est pas un ensemble de choses éternelles et figées ou cycliques mais a une histoire. Karl Marx comprit que la lutte pour l’existence de Darwin se manifestait elle-même dans la société humaine à travers la lutte des classes, que les sociétés humaines étaient elles-mêmes de ce fait en évolution permanente, enfin que chaque époque historique conditionnait elle-même cette lutte, que la société actuelle elle aussi était vouée à être remplacée par d’autres. »»
Sur AgoraVoxe le média citoyen

alain harrison 28 avril 2018 à 21 h 39 min

Il y a des détails, que nous laissons passer sous le radar, trop souvent:
Le diable est dans les détails.
À qui profite le crime.
Pour ne retenir que ces deux détails.

Les attaques chimiques ou inventées, à qui profitent-elles ?

Que ce soit un problème, l’histoire, la géo politique, l’idéologie et ses variantes, le fait d’aller dans les détails nous fait perdre les grandes lignes et les composantes suffisantes à comprendre, à planifier et à agir promptement.

Ainsi, la gauche se perd dans ses oui mais. Et que dire des solutions nécessaires sur lesquelles la diaspora de la gauche ne s’entend pas. Oui mais ou autres arguments zzz..
Alors, la population, comment s’y retrouverait-elle ?

Je le répète, nous avons à porter de mains trois moyens puissants pour amorcer l’alternative au système capitaliste irréformable.

La Constituante.
Le nouveau pacte social.
Le nouveau paradigme économique.

Mais encore, il y en a pour bloquer tout espoir de changement.

Vous ne savez pas lire entre les lignes, alors comment pouvez comprendre les leçons de l’histoire.

Albert Einstein:
“Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu’il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau.”

Vous ce que vous apportez, c’est la continuité modifiée.

Sur le plan économique, le CNR avait initié la cotisation. Voilà le fondement du nouveau paradigme économique. Il est là sous vos yeux, évident, ayant fait ses preuves, mais vous êtes trop conditionnés. D’ailleurs comprenez-vous ce mot ?
Krishnamurti: pour vous est-ce des mots ou des faits ?

D’ailleurs, Krishanmurti avait bien vue que le mal existe, c’est l’égocentrisme, le préjugé incapable de se remettre en question. C’est comme de voir, alors que nous pensons voir.
Nous sommes tellement en attente d’un miracle, d’un changement rapide, que nous ne voyons pas qu’il y a des étapes indispensables: d’abord prendre conscience, ensuite examiner les voies et les priorités.

Nous ne sommes plus dans les débats d’idée qui nous consument, voir l’état de la gauche. Mais dans le débat des solutions et d’en faire la promotion en en démontrant les bienfaits collatéraux pour tous, pour l’ensemble.

Cela semble vous échappez royalement.

Vous n’avez pas encore compris, après toutes ces années de tromperie libérale-UE ?

Moreau 29 avril 2018 à 13 h 02 min

Pour la majorité réelle qui est faite de personnes qui votent et de personnes qui s’abstiennent, ceux de droite qui veulent avoir raison sur tout n’ont pas raison sur tout, et ceux de gauche qui veulent avoir raison sur tout n’ont pas raison sur tout. Et tous ceux qui veulent avoir raison parce que c’est obsessionnel, les droites extrêmes, les gauches extrếmes ; et les ailleurs extrêmes ; pratiquent de différentes façon l’exclusion alors qu’il faut l’inclusion, oui de ce qui est crédible et compatible notamment pour passer au désarmement et à la fin de la pauvreté, il y a plusieurs communistes dans la base de la gauche communiste qui aspirent à travailler pour la population mais pas selon le clairsemé communiste d’élection en élection, pour la population de la France toute entière, donc il faut des communistes qui puissent gouverner, mais comme la confiance pour la politique extérieure de la France revient aux libéraux républicains de droite ou de gauche, il faut, non pas un gouvernement d’union républicaine, mais scinder pour répartir et faire valider par référendum, l’union pour l’union, ça ne marche pas, il faut la répartition. Il y a beaucoup de gens de droite et de gauche qui pensent que les communistes travaillent plus et mieux voire plutôt réellement pour la population, et moi-même je pense que c’est plutôt vrai même si ça peut et ça doit encore progresser, les alternants libéraux n’ont pas du tout assez travaillé pour la population et ne sont pas assez sérieux pour ce travail, et c’est vrai que la France ainsi va mal, de plus en plus mal, je pense aussi qu’elle va très mal en ce qui concerne la vie de la population ; par contre les libéraux ont travaillé la politique extérieure et continue à la travailler, il faut dire aussi qu’ils sont dans leur domaine parce que la politique extérieure concerne aussi beaucoup le business ; les vrais Communistes, ceux qui sont universalistes pour des désintéressement et de l’altruisme quotidien ; sont plus convaincants pour persister à vouloir servir toute la population, et c’est possible par la répartition de la gouvernance.
L’union pour l’union, c’est incompatible avec la république tout comme la reconduction du tout libéral qui dès lors va en empirant et ce n’est pas de sa seule faute ; certes, il faut en finir avec tant de divisions inacceptables ; c’est possible, mais il faut que les spécificités reconnaissent qu’elles ne sont suffisantes mais qu’elles sont complémentaires, les spécificités républicaines, parce que les autres… Oui, ça peut donner le trumpisme pour attendre pendant des mois et des mois, quelques hypothétiques miracles que promets le plénipotentiaire en place.
Si comme le souhaitent des personnes les Libéraux réussissent la politique extérieure française et européenne, et les Communistes réussissent l’oeuvre nécessaire et indispensable pour la vie de la population actuellement en grand danger à cause de l’hyperconsommation ; alors il y aura de grands progrès par rapport au bilan de Sarkozy et au bilan de Hollande ; il faut le changement nécessaire et indispensable et pour cela, il ne faut pas que les Hommes soient illibéralistes, et il ne faut pas que les Hommes soient anticommunistes.

L’illibéralisme et l’anticommunisme empêchant les républicains authentiques universalistes sont de redoubles extrémismes. Il faut l’inclusion du plus grand nombre de personnes républicaines voulant travailler la politique pour le progrès général, possible. Il y a des personnes qui ne sont pas dans leur branche comme monsieur Trump qui parviendra peut-être à faire quelques miracles mais il n’en demeurera pas moins qu’il n’est pas dans sa branche, et je me demande s’il sait quelle est sa branche, pour le moment, c’est épousseteur de pellicules.

Je dis qu’il faut faire un référendum d’orientation en France en demandant aux gens s’ils veulent la mise au travail non stop par répartition qui serait soumise elle aussi à un référendum de répartition ; du plus grand nombre possible d’Hommes politiques ; et les autres, les non sélectionnés, et bien, il y a le pôle emploi.
L’Union politique n’a pas fait ses preuves hormis quelques preuves éphémères ou superficielles ; en France ; depuis l’an 2000 notamment ; c’est plutôt dans l’histoire de la mascarade tout-à-fait insupportable. Il faut le changement pour la vie telle qu’elle doit être dans ce vingt et unième siècle. Et je pense que les réalités sont à peu près les mêmes dans chaque pays de l’Union Européenne, à la France de montrer le nouveau exemple, elle est la fondatrice de l’Union Européenne.

Moreau 29 avril 2018 à 13 h 25 min

La colombe portant dans son bec un rameau vert, représente toutes les personnes actives de la république et donc les Travailleurs, il n’y a pas que la faucille et le marteau comme symboles du travail, et les travailleurs ont besoin d’accomplissement d’interdépendance, il faut la fin de la course aux armements pour supprimer complètement la pauvreté, mais il faut aussi que la république mette toute la classe politique au travail en disant adieu à ses idées qui ont fait leur temps telles que l’alternance, la cohabitation, ces idées sont obsolètes ; il ne faut plus qu’il y ait la moitié des républicains de la classe politique qui regardent les autres républicains travailler, en passant leur temps à des bavardages. Moins d’exclusions arbitraires, plus d’inclusions fondées, c’est possible et réalisable, ça va dans le sens même de l’intérêt général.

Moreau 29 avril 2018 à 17 h 09 min

Le Peuple ne peut pas refaire la France, l’Union Européenne, le Monde ; rien qu’avec des livres de philosophie, il faut renouer avec ce qu’ont écrit, chanté, dit ; notamment pour 2018, Jacques Brel et Jean Ferrat, et pour se mettre à la bonne page, il faut de la culture réelle, culture des arts majeurs ; au-delà.

alain harrison 1 mai 2018 à 0 h 28 min

Brel est mort, il en reste de la nostalgie, et le peuple ne peut pas refaire la France. Il n’y a que nous et comment on perçoit la réalité. Et la réalité, c’est la pensée unique qui la façonne.

C’est quoi la réalité ?
C’est la politique de Macron, et la résistance des Cheminots contre la réforme macron, une étape de plus vers la privatisation ou le renversement de ce régime ?
Alors, la culture réelle, la culture des arts majeurs qu’en restera-t-il ?

Quelle est l’urgence ?

Voyons ce qui se passe ailleurs.

Amérique Latine : Les élections en Colombie, au Mexique et au Venezuela définissent la géopolitique régionale
30 Avril 2018, 16:44pm | Publié par Bolivar Infos

Par Jesús Rafael Gamarra Luna*
Nous assistons à un moment où existent de grandes possibilités de changement dans la réalité économique et politique des nations du monde et en particulier en Amérique Latine et dans les Caraïbes : des possibilités de nouveaux réalignements qui permettraient de poursuivre la construction d’un monde multipolaire et multi-centré. L’imposition des intérêts mondiaux de l’Empire à la tête des Etats-Unis et les réponses des puissances émergentes comme la Russie et la Chine indiquent que le monde est interconnecté et que les mouvements des uns et des autres ont un impact sur chaque région mais les décisions souveraines des nations indépendantes ont aussi une incidence sur la géopolitique.
Bolivarinfos.

««« mais les décisions souveraines des nations indépendantes ont aussi une incidence sur la géopolitique. »»»

Quelle force a la France, à part suivre les politiques UE, les guerres US, sa participation à la décapitation de la Grèce, son incapacité (mondialisation de dupes), sa participation à travers l’UE à la guerre économique mené par les US contre les pays progressistes en Amérique latine ? Le Nicaragua subissant en ce moment le printemps arabe ?

Quelle est L’Urgence pour la France ?

La gauche n’ayant pas fait le point sur les événements déstabilisant le Moyen-Orient, n’ayant pas pris les mesures pour contrer l’éclatement de la gauche au fur et à mesure de son histoire depuis la fin de la guerre mondiale, n’ayant pas su profiter des avancés du programme du CNR (pour unir et consolidé) au fur et à mesure pour en approfondir les réalisations et développer la nouvelle économie dont l’alternative au mode de travail dominé par le privé.

Comment la gauche peut-elle contrer la politique macron ? Qui sous-tend la politique UE-US, en réalité.

Que reste-t-il des communes et où ont-elles manqué ?

Il y a un potentiel de convergence ou une éphémère ?

Il ne faut pas se tromper de priorités.

Les Cheminots, ne serais-ce pas Brel ?

Moreau 1 mai 2018 à 10 h 07 min

Monsieur Harrison, le mot Poésie n’est pas synonyme n’est pas synonyme du mot “nostalgie””; la nostalgie peut définir quelques passages de la Poésie, mais le passé n’est pas tout Poésie.

Par la création de son oeuvre et donc plus que par uniquement sa voix jacques Brel est dans l’histoire de l’Art l’alter ego de Charles Baudelaire.

Pour Jean Ferrat, c’est la même vérité.

Jacques Brel et Jean Ferrat sont des Ecrivains au nombre des Ecrivains et sont plus que des philosophes dans l’ordre des arts et de toutes les activités humaines, ce sont des philopoètes : il faut lire et relire leur oeuvre respective ; de telles oeuvres comprenne la vérité qui définit la Poésie, elle est sans ride et nullement abîmée.

La culture réelle, culture des arts majeurs, celle de Jacques Brel et de Jean Ferrat notamment, a comme première lisibilité la Poésie (premier art) ; dont l’un des fondamentaux est l’inclusion de tout sauf des fléaux, depuis 68 les fléaux n’ont pas été vaincus alors qu’ils pouvaient l’être, leur nombre a augmenté ; cette augmentation dévastatrice attestent de la perpétration d’un fléau : l’exclusion beaucoup plus générale que l’inclusion. Etre illibéraliste et/ou incapitaliste par exemple voire pour la démocratie zéro, c’est être adepte de l’exclusion ; il ne faut pas l’anéantissement mais arriver à l’équilibre qui fera que nous aurons de bonnes entreprises et ce n’est pas qu’une histoire de petites, moyennes, et grandes entreprises, les bonnes entreprises sont celles qui répondent au véritables besoins de toute la population (ce qui exclut l’offre mais pas toute la politique spécifique libérale) ; de bonnes associations et de bonnes fondations comme aux Etats-Unis d’Amérique ; de bons services publiques et on devrait pouvoir dire comme en France, mais nos services publiques souffrent de quelques accumulations de retards par rapport au vingt et unième siècle tout comme la lisibilité du commun !

Il faut être contre le libéralisme violent et inhumain, contre le capitalisme sauvage et inhumain ; mais pour l’inclusion de toutes les forces et richesses républicaines universalistes.

Je réponds à propos des Cheminots et de Brel ; un de mes oncles est cheminot, il adore la Poésie, il adore Jacques Brel et Jean Ferrat. Depuis qu’il est à la retraite il fait le voyageur cosmopolite un peu chaque année, il a visité les pays d’Amérique du Sud ; il pense comme moi que nos problèmes viennent de la classe politique française incapable jusqu’à présent d’inclure l’essentiel du communisme républicain français et européen universaliste pour la France, et pour l’Union Européenne. Toutes les politiques républicaines françaises et européennes doivent se corriger ; elle bloque tout, et il faut reconnaître que le macronisme a mis fin à un immobilisme pour la république française et européenne qui était devenu entre 2007 et surtout après 2012 total ; cependant le macronisme, c’est le problème important ; ne fait pas encore à lui seul l’équilibre politique, il faut que les autres partis se corrigent ou disparaissent car ils ne servent à rien s’ils ne se corrigent pas ; et il faut une opposition républicaine pour réussir les refondations françaises et européennes.

Brel n’est pas mort pour les amis des arts majeurs !

C’est tout simple à comprendre.

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