Sujet : Retraite par répartition

Ils veulent détruire la retraite par répartition !

Au moment où le pouvoir parfait son dispositif pour engager la contre-réforme des retraites est mis en place un « nouveau produit », selon la terminologie du milieu, « d’épargne retraite ». Tout est dit ! Le macronisme fait monter le dernier barreau de l’échelle

Retraites : ce qui est caché !

Le gouvernement a mandaté l’homme idoine pour mener sa bataille des retraites. Ancien membre d’un gouvernement de droite, Jean-Paul Delevoye, nommé « Haut-commissaire de la réforme des retraites » est considéré en haut-lieu comme un habile vendeur de la contre-réforme en préparation.

Contre-réforme des retraites en France et institutions européennes

Juridiquement les États gardent la compétence sur les enjeux liés aux retraites. Ils définissent les barèmes, l’âge de départ etc… l’Union européenne « peut » « compléter » l’action des État. À l’origine cette action se limitait à faciliter la mobilité des travailleurs en

Un coup de force ?

Au prétexte de réduire les déficits publics se prépare un véritable coup de force. Personne ne souhaite que le budget national, celui de la sécurité sociale, de sa région ou de sa commune soit en déficit. Personne ne se satisfait

C’est un autre partage des richesses qui fera croire en l’Europe, pas le carcan de l’austérité et du chômage

  La commission européenne est venue ce mardi 23 novembre 2010 présenter son programme de travail pour l’année 2011. Dans ce cadre, je me suis adressé en ces termes au Président de la Commission M. Barroso :   Monsieur le Président

COMPTE RENDU DE SESSION (10 et 11 novembre 2010)

Le Parlement s’est réuni les 10 et 11 novembre à Bruxelles, voici les principaux éléments de cette session. Rapport Mann sur les retraites : le Parlement privé de débat sur un texte prônant la privatisation des systèmes de pensions et

Ce n’est pas pour les retraites, c’est pour les financiers

  Après avoir écourté le débat à l’Assemblée nationale, le pouvoir sarkozyste a fait de même au Sénat. C’est une sorte de coup d’état à froid pour imposer un texte de régression sociale, refusé par une majorité de nos concitoyens.