Désir d’humanité

le 20 septembre 2013

HK grande scène

Année après année, notre Fête de l’Humanité est chaque fois la même et chaque fois une autre. Elle vit et déploie ses ailes au rythme de la grande foule de ses participants. Une foule qui cette année n’a pas hésité à braver à la fois une pluie tenace et pour beaucoup, le manque d’argent, alors qu’arrivaient les feuilles d’impôt, souvent en substantielle  hausse.

La Fête a, cette fois encore, bien porté son nom d'”humanité”. Ses centaines de milliers de participants, aux multiples visages souriants, ont vécu trois jours durant au rythme des créations culturelles, de la diversité des musiques, chants et paroles du monde, d’une multitude de débats, où chacune et chacun s’enrichit de l’autre, dans le respect, dans l’altérité fraternelle, dans la recherche de chemins pour un monde nouveau, à construire ensemble. La Fête a été de part en part, parcourue du goût du partage et du « rassemblement ». Rassemblement contre le fracas des armes et la loi de l’argent. Rassemblement pour changer de société et de politique. Il n’y a que là que des ouvriers en lutte peuvent rejoindre sur scène, le groupe HK et les Saltimbanks pour défier les puissants avec ce cri manifeste, courant dans toute la Fête : « On lâche rien » ! Là où, à la fin d’un concert d’Al Manara, où s’est mise en musique la poésie de Mahmoud Darwich, se lance une campagne internationale pour la libération des prisonniers politiques palestiniens, au premier rang desquels Marwan Barghouti. Là où, le groupe Zebda peut présenter une création musicale en hommage à Victor Jara. C’est l’humanité marchante dans toute la Fête, porteuse d’un autre avenir.

Nulle part ailleurs, on ne peut passer, dans un improbable mélange, des concerts à un village du livre où se côtoient écrivains, intellectuels et penseurs, puis à des troupes de théâtre, à des  sportifs, tout en prenant part à des dizaines de débats pluralistes où se retrouvent tout l’arc en ciel des forces progressistes et écologistes, des intellectuels, des syndicalistes, des associations, des fondations.

Durant trois jours, à l’unisson des peuples du monde y a résonné des appels à ce que l’on range les missiles et les bombes, au moment même où à Genève, les dirigeants des Etats-Unis et de la Russie écrivaient le projet d’accord qui ouvre la porte, jusque là blindée, d’une solution diplomatique et politique, obligeant le bourreau de Damas à placer les armes chimiques qu’il détient sous contrôle international pour les détruire. La solidarité avec le peuple syrien, qui doit trouver la voie d’une transition politique vers la justice et la liberté, a retenti avec force et passion. Partout d’ailleurs les armes de destruction massive devraient être détruites et le Moyen-Orient proclamé  zone dénucléarisée. Fête de la paix. Fête du débat et du ressourcement de la pensée et de la politique.

Beaucoup d’arguments, d’idées ont été échangés, discutés, enrichis afin que prévalent enfin d’autres choix. Ceci implique de renoncer à la contre-réforme des retraites, à l’injustice fiscale, aux cadeaux aux grandes fortunes et aux puissances industrielles et financières, sans contrepartie pour l’emploi, les salaires, les services publics. En vérité, c’est parce que le Président de la République a décidé de composer avec l’adversaire qu’avait désigné le candidat F. Hollande ; la finance, que le peuple souffre terriblement et que la France perd son sang industriel et agricole.

La colère et le désarroi qui se sont exprimés dans les allées de la Fête de l’Humanité, devraient être pris en compte et entendus au plus haut niveau de l’Etat.

Un gouvernement qui se réclame de la gauche et de l’écologie, n’a pas à se soumettre aux injonctions des forces de l’argent et de leurs porte-voix. Pierre Laurent a proposé de sortir du joug politique et idéologique qui tente d’enfermer dans l’impasse des choix libéraux, celles et ceux qui aujourd’hui souffrent tant. De le faire en  modifiant substantiellement les termes du débat pour éclairer sur les coûts et les gâchis du capital, sur l’évasion fiscale afin que grandisse l’exigence d’une nouvelle répartition des richesses.

De tous les débats et discussions de la Fête a transpiré un questionnement fondamental qui se résume en quelques mots : comment faire ? En effet, les aspirations du plus grand nombre sont connues. Les possibilités technologiques et financières existent pour y répondre. Par contre, le chemin pour y parvenir apparait souvent à beaucoup, étroit, encombré de multiples obstacles. Il n’y a pas de raccourci à la construction patiente d’un rassemblement populaire, d’un rassemblement citoyen, large, conscient, déterminé, à entamer un processus de transformation sociale et écologique dans tous les lieux de la société, du local jusqu’à l’échelle du pays, de l’Europe  et du monde.

C’est en ce sens que le Front de gauche, devenant la propriété de millions et de millions de nos concitoyens, venus de toute la gauche et de l’écologie, peut jouer un rôle de premier plan pour qu’un tel processus de révolution citoyenne démarre, puis enfle jusqu’à devenir irrésistible. Son esprit d’ouverture, sa pédagogie de la réussite, ses argumentations et propositions solides, ses actions unitaires pourraient lui permettre d’impulser utilement un mouvement général pour changer de politique avec évidemment un changement de gouvernement. Que dans leur majorité nos concitoyens s’en fixent l’ambition après avoir tiré les leçons de ces derniers mois, qu’ils se rassemblent sur des objectifs de progrès, dès lors tout deviendrait possible pour eux et pour notre pays.

Que cela soit difficile et complexe est une évidence. Que nous ayons la responsabilité historique d’y contribuer, face à la loi de l’argent qui gangrène tout et à la montée d’une peste brune, déguisée en figurine dédiabolisée par des médias biens pensants, en est une autre.

La Fête de l’Humanité a porté haut et fort ce message. Celui du rassemblement dans la diversité du peuple de gauche pour tarir la source qui alimente la haine et le repli, les retours en arrière vers la droite extrémisée et  l’extrême-droite, pour des choix de changement à gauche qui impliquent forcément de s’attaquer aux forces de l’argent. Celles qui sont l’exact contraire de l’humanité.


6 commentaires


Enver 20 septembre 2013 à 19 h 15 min

Merci Patrick pour ce très bon article dont la conclusion: “pour tarir la source qui alimente la haine et le repli, les retours en arrière vers la droite extrémisée et l’extrême-droite” a un écho particulier en Vaucluse où d’ Orange à Bolléne et de Bolléne à Carpentras nous vivons haine brune que propagent et dévoient la pauvreté et le désespoir. De nos villages et de nos villes nous faisons l’expérience qu’elle est “l’exact contraire de l’humanité” No passaran!

Bernard 23 septembre 2013 à 10 h 09 min

Toute contrainte imposée par la violence a sa pesanteur, cette action est liée à son origine au-delà de notre conception du temps, jusqu’au redressement total du courant contraire à l’évolution collective, pour les histoires de responsabilités de guerres bonjour la dette et ses emmerdes, il faut des vies à absorber la souffrance causée au corps universel juste parce que l’on a pressé le mauvais bouton égocentrique, la précision de la pesée est quantique, impossible de tricher

FAUVEL Georges 20 septembre 2013 à 20 h 35 min

● Consternant.
À la Une de L’Humanité
Dimanche,
on trouvait la semaine
passée Vladimir
Poutine aux
côtés de Pierre
Laurent et Edgar
Morin, parmi ceux
qui “font échec
à la guerre”. Ce
voisinage aura
consterné nombre
de lecteurs. Mais,
de plus, l’hebdo
semble avoir oublié
que la guerre est
déjà là, civile, et qu’elle a déjà tué 110 000 syriens.
Nous n’oublions pas, par ailleurs, qu’elle est venue
après un soulèvement populaire dans la suite des
révolutions arabes. Et nous n’oublions pas non plus
que, pendant les négociations actuelles, les affrontements
continuent par le biais des “moyens conventionnels”.
Autre surprise de la période, A. Martchenko,
conseiller politique à l’ambassade de Russie, est
intervenu dans un débat sur la Syrie au Village du
Monde de la Fête de l’Humanité : un soutien du régime
syrien, évoquant son passage récent sur Radio
Courtoisie aux côtés d’Yvan Blot, fondateur du
club de l’Horloge et ex-député du Front national
(l’émission est ici : http://www.radiocourtoisie.fr/tag/
alexandre-marchenko/). Cette invitation en choque
plus d’un. Cerises aussi. Moi aussi, georges Fauvel, je suis consterné!

Lo Piccolo 21 septembre 2013 à 12 h 39 min

Patrick merci pour cet article il est certain que Hollande suit la politique des ( socialistes depuis longtemps )pour ne pas dire depuis toujours,je crains que pour les prochaines élections municipales le parti communiste serve à nouveau de marche pied aux (socialistes)” le loup perd le poil mais pas le vice”avant les élections plein de bonnes intention une fois installé on continue la même politique d’austérité qui va ruiner le pays.Maintenant Je m’interroge sur les commentaires de nos journalistes,et pourquoi vous parlez de Bachard el assad comme d’un bourreau,d’un dictateur “il a été élu démocratiquement et je suis sûr que s’il y avait des élection nouvelles il serait réélu,je pense çà en lisant ou en écoutant Télésur ou les commentateurs
prennent le contre pied de nos journalistes”et seulon eux même les premiers manifestants étaient manipulés par la CIA?, ce qui expliquerait que pour eux Bachar El Assada défendu sont pays attaqué par des étrangers,du reste ces premiers révoltés se seraient rangés du côte de leur président?? je vais vous envoyer un article en Espagnol pour que vous puissiez voir la confirmation de ce que je vous dis, j’espère de tout coeur que finalement a l’ONU “qui est loin d’être impartiale et ou seulement 5 pays sur 193 prennent des décision graves qui concernent le monde entier”arrive quand même à arrêter les va-t’en guerre et trouve une solution pour que plus personne ne meure en syrie.Alfred

Lo Piccolo 21 septembre 2013 à 12 h 48 min

Conozcamos el Conflicto de Siria
Por José Rosario Araujo

Para conocer la injerencia de los Estados Unidos en el conflicto sirio es necesario ir a los inicios de esta guerra que asola el país árabe desde inicio en marzo del 2011. Como siempre; Afganistán, Libia, Siria son el ejemplo; de la lucha de los pueblos por su autodeterminación en contra del imperio que otra vez se quieren aprovechar, sea de la riqueza de los países o de su situación estratégica para rodear a los países que no le son lacayos.

En este conflicto se nota de una manera descarada la rapacidad de los yanquis y sus aliados y genuflexos en donde como siempre no podían dejar de participar; Inglaterra, Francia, varias monarquías árabes y no podría estar ausente; Israel; como siempre con su volar de buitre sobre los países árabes.

Es evidente que el país árabe sufre una agresión por parte del imperialismo y no una rebelión como los medios occidentales han querido aparentar. El imperio en su afán de apoderarse de lo que no le pertenece no le importa colocar al mundo a las puertas de un conflicto mundial por los autores que participan en donde sobresalen Rusia y China que debemos estar claros que esos países no defienden a un país indefenso sino que cuidan su cuota de poder que se encuentra amenazados desde los estratégico hasta lo energético.

Tenemos muy claro que el otro país que se encuentra en la mira de los imperialistas es Irán, que no es precisamente un país indefenso, que apoya al asolado régimen de Bashar Al- Assad. Este país desde la caída de Mohammad Reza Pahlevi; mantiene un conflicto con el imperialismo norteamericano en claro desafío a favor del libre destino de las naciones.

La situación que se teje en Siria no es solamente la lucha por la autodeterminación de los pueblos sino en contra de la actuación de los regímenes cuando se quieren; entre otras cosas; apoderarse de un recurso que ya empieza a escasear como lo es el petróleo.

Este conflicto enfrenta al gobierno del Partido Baath Árabe Socialista presidido por el Dr. Bashar Al-Asaad y grupos opuestos al gobierno que tienen como objetivo derrocar al actual régimen.

Al-Asad se encuentra gobernando desde el 17 de julio del 2000, tras la muerte de su padre Hafez al-Asad y su partido pertenece al Frente Nacional Progresista, con mayoría de 134 puestos en el Parlamento.

La guerra civil en Siria tiene como inicio una serie de protestas en contra del gobierno que fueron reprimidas y que provocó que se formara el denominado “Ejercito Libre de Siria” que está formado por desertores del Ejército de ese país, entre un promedio de 20.000 a 30000 hombre, liderizados por el Coronel Riyad al-Asad; antiguo coronel de la fuerza aérea siria, que desertó en el año 2011.

El militar sirio manifestó que la formación de este grupo se debía a la represión que habían realizado las tropas de Al-Asaad en contra de las manifestaciones y que atacan a los altos mando e incentivan a las tropas para que se alcen en contra de sus jefes. Su segundo de mando es el coronel Ahmed Hijazi, subcomandante en jefe.

El Ejército Libre de Siria cuenta con el apoyo de Turquía comentándose que en Líbano hay unos 200, esperando al volver al país, colaborando en la entrada de armas y protagonizando acciones puntuales. Igualmente se comenta que el ejército rebelde cuenta con el apoyo de la CIA que supervisa las operaciones de suministros de equipos bélicos hacia Riad y otros países de la región como Turquía, Catar y Jordania contando con la estrecha colaboración del jefe de la inteligencia de Arabia Saudita, Bandar Bin Sultan.

Este conflicto ha producido más de 110. 000 muertos, que son 40 000 víctimas civiles, []ha dejado a más de 3 000 000 de refugiados y una gran cantidad de ciudades con una gran devastación, elevándose el número de desplazados a escala mundial a su máximo nivel en los últimos 18 años.

Miles de personas se habían reunidos en las ciudades de Al-Hasakah, Dara, Deir ez-Zor y Hama donde se suscitaron enfrentamientos con las fuerzas de seguridad. Supuestamente la policía disparó en contra de los manifestantes y los alzados se unieron en contra de las protestas convirtiéndose en combates mayores, siendo significativo el de la localidad de Yisr as- Sugur al ser atacado el cuartel de la policía.

En el año 2012 recrudecieron los enfrentamientos para desembocar en una guerra civil por la intensificación de los ataques contra las ciudades rebeldes por parte del ejército Sirio, siendo la ofensiva de Homs la que mayores combates se realizaron, produciéndose gran baja por parte del elemento civil, un promedio de mil muertos.

Esta ciudad Siria era un gran bastión en contra del gobierno, siendo llamado la capital de la revolución. La aviación siria recrudeció los bombardeos y como consecuencia la comunidad mundial y la ONU se pronunciaron en contra de la masacre. Los combates continuaron y para este año la ciudad se encuentra en manos de las fuerzas del gobierno.

Los combates de Homs produjeron muchas bajas tanto en el ejército Sirio como en los rebeldes que se encontraban armados de Misiles Milán, que habían sido entregados supuestamente por el gobierno de Qatar. La provincia de Homs es la más grande y estratégica de Siria, ciudad fronteriza con Líbano a Iraq y situada no lejos de Damasco, une el norte y el sur de Siria. Dada su proximidad al Líbano ha sido utilizada por los rebeldes para introducir armas procedentes desde ese país.

Al principio del 2013 Al-Assad realizó un llamado a negociaciones y al alto al fuego, pero fue rechazado por los rebeldes y las potencias de Occidente, pero sin lugar a dudas los civiles, especialmente mujeres y niños, vienes sufriendo una catástrofe humanitaria por la destrucción de sus ciudades y la falta de alimentos.

Escenarios

Al Asad mantiene un fuerte control sobre la capital, Damasco, y en diferentes partes del país, pero los rebeldes continúan con la presión y ya lograron dominar varias regiones del territorio sirio.

Asad cuenta con el apoyo del gobierno iraní que según la oposición lo abastece de armamento y por el movimiento islámico Hezbolá.

Es sabido que este movimiento de defensa, ha sido pieza clave en el conflicto sirio ya que sus combatientes y reservistas que están claros que si el régimen de Asad es derrotado perderán uno de su más cercano aliado. Sus combatientes fueron pieza clave en asegurarle a Al-Assad la derrota de los rebeldes en el pueblo de Qusair, a unos kilómetros de la frontera con Líbano. Tal intervención se puso de manifiesto abiertamente cuando de manera pública se llevaron a cabo en el propio Líbano y con toda solemnidad, los funerales de los guerrilleros de Hezbolá caídos durante los combates.

Sera importante esta semana la postura del congreso norteamericano acerca de una intervención yanqui en Siria y es una interrogante como se realizará el ataque, además de la reacción y participación de los miembros de la comunidad internacional y los papeles que jugara países como Turquia, Arabia Saudita, Jordania, Inglaterra, Francia los países del golfo y Alemania, posibles aliados que condenan al régimen de Assad y las reacciones de Irán, China y Rusia.

Se muestra oscuro el escenario que se presentaría en caso de un ataque de los yanquis y podría colocar al planeta a las puertas de una confrontación mundial. El Departamento de Estado Yanqui se refirió a un posible ataque que incluye una descarga de misiles por setenta y dos horas desde mar y aire, además habrá diferentes rondas de ataques y una evaluación después de cada una de ellas con el empleo del empleo de bombarderos B-2 y B-52 de la fuerza aérea.

Para esos ataques se desplazaron al mar Mediterráneo cinco destructores con misiles Tomohawk, para bombardear objetivos militares en Siria con el beneplácito del Comité de Inteligencia del Senado que publicó 13 videos “supuestos” en que se ve los efectos de un ataque por armas químicas del gobierno de Siria el 21 de agosto en contra de personas a las afueras de la capital Siria.

Este video que había sido divulgado por la cadena CNN que según el ex embajador norteamericano para la ONU, Bill Richardson serviría para sensibilizar al pueblo estadounidense que si se produce un ataque no es simplemente una intervención sino un ataque para detener estas atrocidades.

Este ataque con armas químicas fueron elaborados y preparadas con antelación y premeditación. Fue extraño que la agencia Reuters comenzara a trasmitir imágenes tres horas después de haberse dado el ataque y es imposible que en ese corto tiempo hayan podido recoger más de diez documentos, transportar a 500 personas entre niños y adultos, prestarles primeros auxilios y entrevistarlos al mismo tiempo. Muchos de estos no parecen con sus padres y la pregunta es como llegaron a esa zona.

La cancillería Rusia se pronunció con un informe realizado con efectos en donde dice que los ataques con armas químicas fueron realizados por cohetes de fabricación casera y no por armas que utiliza el ejército Sirio. Los periodistas Dale Gavlak y Yahya Ababneh de la agencia Mint Press, en entrevistas realizadas barrio Ghouta, y en otras zonas de la ciudad de Damasco aseguraron que el ataque perpetrado con armas químicas el pasado 21 de agosto estaba en manos de los mercenarios sirios y procedían de Arabia Saudí.

En los próximos días se presentaran acontecimientos que podrán ser determinantes para el futuro de la humanidad. En estos momentos se vive en el planeta una situación que has ido catalogado por los analistas políticos parecida a la crisis de los misiles que esperamos que tengan un desenvolvimiento similar sin consecuencias que lamentar.

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Primet 1 octobre 2013 à 7 h 08 min

…Consternant dit Fauvel Georges oui à première vue mais à mon avis ce qu,il l,aurait été encore plus c,aurait été l,embrasement de tout le Moyen-Orient déjà en pleine tourmente et une déstabilisation mondiale encore plus grande et sans issue sinon une conflagration généralisée aux conséquences incalculables et en premier lieu pour le peuple syrien déjà martyrisé et qui continue de l,être par ASSAD.S,agit il pour autant de se faire la moindre illusion concernant aussi bien la Russie de Poutine que les va t,en guerres occidentaux et leurs intérêts contradictoires qui en ont rien à faire des souffrances de ce peuple ? En AUCUN CAS mais ce qui a pesé en dernière analyse en faveur d,une solution négociée en dépit des calculs glacés des uns et des autres c,est bien le poids de l,opinion publique mondiale la clairvoyance, l,expérience des peuples instruits de trop nombreux précédents (deux guerres mondiales entre autres!sans compter les plus récentes…qui n,ont jamais apporté le moindre début de solutions durables! ) même si le répit obtenu reste le résultat de compromis d,une conception vieillie de la diplomatie d,un ancien ordre du monde toujours marqué par l,exploitation et les stratégies de domination…Au final fallait il faire la fine bouche dans l,attente d,un monde parfait et sans contradictions?

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