Sujet : Politique

25 mai : l’alternative à l’austérité

Comme dans une folle fuite en avant, le pouvoir Hollande-Valls qui pourtant a été rudement sanctionné pour avoir promu l’austérité, en aggrave tous les contours et tous les effets. Après un voyage auprès de la chancelière allemande et un autre

Le 25 mai, refuser la saignée de Valls !

N’écoutant que les sirènes hurlantes des marchés financiers et après un petit tour à Berlin pour entendre les ordres de la chancelière allemande, M. Valls a décidé d’appliquer à nos concitoyens un remède d’austérité inconnu jusque là. Exactement le programme

Avec M. Valls, c’est plus d’austérité !

Rome, Athènes, Madrid, Lisbonne, Bruxelles, autant de capitales qui ont vu, à l’appel de la Confédération syndicale européenne, d’immenses foules manifester et  marcher pour qu’enfin on sorte de l’austérité et pour un autre partage des richesses.   A Paris et

Samedi, ensemble, marchons pour le respect du message des urnes

Au lieu de tenir compte lucidement de la catastrophe électorale, le Président de la République choisit la voie d’une suicidaire fuite en avant. Avoir désigné comme premier ministre, celui-là même qui a été très minoritaire lors des primaires organisées par

Valls se prend pour Clémenceau et appelle chacune et chacun à devenir des fantassins de la guerre économique.

Le nouveau Premier ministre Manuel Valls vient de prononcer son discours de politique générale devant l’Assemblée Nationale où il aura alterné le ton « d’un chanteur lyrique » en nous parlant de la grandeur de la France et celui « d’un chef comptable

L’austérité, ça suffit !

Ainsi, le Président de la République n’aura changé que son premier ministre. Encore qu’en choisissant M. Valls, celui qui veut que le Parti socialiste ne s’appelle plus ainsi, celui qui n’aura réalisé qu’un peu plus de 5% à la primaire

Mauvaise réponse à une débâcle

Ce n’est pas un petit avertissement, c’est une débâcle infligée au pouvoir de M. Hollande. L’électorat de gauche en s’abstenant a sciemment refusé d’aller inverser la courbe qui s’était dessinée au premier tour. C’est cette abstention de la gauche qui

Il faut un cap à gauche

Il paraît que ces dernières semaines, le Président de la République répétait à ses visiteurs qu’il voulait « enjamber » les élections municipales. Les électrices et les électeurs ont dressé, de diverses manières, une haie sur son passage. Au premier tour, dix-sept

Mobilisation et rassemblement à gauche

Le scrutin municipal de dimanche dernier vient de confirmer une règle à l’œuvre depuis trente cinq ans. La majorité en place est comme chaque fois sérieusement sanctionnée. Plus qu’un revers électoral, c’est une profonde défiance à l’égard du gouvernement qui