Sujet : Plan social

Ne laissons pas Barclays plumer nos volailles

Passerons-nous du « poulet Doux » au « poulet Barclays » ? Barclays est le nom de cette banque britannique qui s’est subitement associée à M. Doux, à qui le tribunal de commerce de Quimper a donné sa confiance le 1er août pour un plan

Non au massacre social dans l’automobile !

Avec les salariés de PSA de tout le pays, leurs familles, nous sommes révoltés des décisions des propriétaires et actionnaires de la suppression d’un emploi sur huit et de la fermeture du site d’Aulnay-sous-Bois. Quel mépris pour les salariés de

Pour un nouveau contrat social, démocratique, écologique

L’organisation de la conférence sociale marque une nette rupture avec le sarkozysme. Au seul service des possédants, l’ancien président de la République convoquait les syndicats pour leur expliquer ses choix et ne les écoutait plus, voir les méprisait avec violence

Contre un désastre social ; sauver le groupe Doux !

Avec la déclaration de cessation de paiement du groupe volailler Doux, le risque d’un terrible drame social est en train de se nouer dans des dizaines de milliers de familles dans l’ouest de la France. Créé en 1955 près de

Groupe Doux : suppressions d’emplois dans la filière avicole française

Face à la situation très inquétante du groupe Doux, leader européen dans le secteur de la volaille, j’ai interpellé l’Union européenne en posant une question écrite à la Commission. Dans une stratégie de dumping social, le groupe avait pris la décision d’investir au

Pourquoi il faut beaucoup de députés du Front de Gauche

Le 28 mai 2012 @18h00 Incapables de tirer la moindre leçon de leur cuisant échec, les dirigeants de droite parcourent les plateaux de télévision et les studios de radio la bave aux lèvres dans un concours de vitupérations, d’insultes, de

Quand l’Union européenne subventionne les délocaliseurs

J’ai récemment posé une question écrite à la Commission européenne sur un sujet qui à mon sens démontre l’inanité du fonctionnement de l’Union européenne. Il s’agissait d’industrie automobile, plus précisément du constructeur français PSA qui venait d’annoncer un grand plan

Les vrais défenseurs du travail

Cette ronde sarkozyste dans les usines est une nouvelle mystification indigne. Elle est proportionnelle à la peur de la révolte de la classe ouvrière, chaque jour plus maltraitée. L’élection présidentielle approchant, le candidat Sarkozy peut soudain miraculeusement régler des situations,

Si Renault veut de l’aide, qu’elle traite ses salariés avec humanité !

En 2009, Renault  licenciait 4 445 salariés, alors que le 9 février de la même année l’entreprise s’était engagée à ne pratiquer aucun licenciement ni aucune fermeture de site en contrepartie des 3 milliards d’euros qu’elle venait de se faire prêter