- Views 2021
- Likes 0
C’est dans les files d’attente des associations de solidarité pour l’aide alimentaire que se lisent les profondes fractures sociales de notre société. Les détresses d’un monde aussi. Derrière la froideur des chiffres, des statistiques sur le nombre de paniers-repas distribués se cachent de multiples souffrances humaines de drames intimes, mais aussi de préjugés et de stigmatisations subis par les personnes qui en souffrent. La précarité alimentaire ne voyage jamais seule. Pour les sept millions de personnes qui la subissent, elle s’accompagne d’autres insécurités : celle de l’accès à l’emploi ou à un travail convenablement rémunéré, celles du droit à l’énergie, au logement, à la culture ou à la formation. L’insécurité alimentaire est aussi sœur de l’insécurité sanitaire. Songeons que 16% de celles et ceux qui ont recours aux banques alimentaires sont diabétiques contre six pour cent pour la totalité de la population française.
Et, les files d’attente sont peuplées de trois quarts de femmes. Se lever contre cela est un devoir humain. Il est d’ailleurs révoltant que ces insupportables situations « d’insécurité » générale, dans l’une des plus grandes puissances du monde, soient autant banalisée, à l’heure où l’on va dépenser tant d’argent dans la militarisation. Et pendant ce temps, on assiste sur nos écrans à un défilé politicien où les inepties et le mépris sont rois, dans une époque où l’on glorifie l’accumulation de profits comme gage de bonne santé économique d’une nation.
En vérité, tant que la société sera dominée par l’argent, le travailleur, le jeune, le retraité en manquera. Le capitalisme exploite, surexploite et pousse une partie de la société au néant social. Il détruit le lien social et camoufle son méfait derrière des mots-valises tel que la « cohésion sociale ».
Il n’est que le paravent de la recherche du consensus des méprisés, des humiliés, des victimes du déni de reconnaissance avec le système qui les enferme dans leurs insupportables insécurités, avec leurs profiteurs de crise et de guerre, leurs accumulateurs de capital qui eux sont sécurisés.
Ceux-là mêmes qui, depuis des semaines, organisent la flambée des prix de l’alimentation, de l’énergie et du logement. Ces deux derniers budgets devenant incompressibles, l’alimentation devient alors une variable d’ajustement du budget des familles populaires. Ainsi, de nombreuses familles commencent à se restreindre sur les repas en quantité et en qualité. L’inflation alimentaire qui atteint les 12% pousse fatalement de nombreux foyers au recours à l’aide alimentaire.
Jusqu’à quand acceptera-t-on que le capitalisme maltraite à ce point la jeunesse et les étudiants au point que le nombre d’entre eux sont aujourd’hui victimes de l’impossibilité d’accéder à la nourriture.
On peut bien répéter à l’envi à un jeune que la République le protège. Il vit l’inverse et ne peut que se révolter quand il attend dans le froid un sac de nourriture en même temps que grandissent ses désillusions, sa colère et souvent son refus de voter.
Heureusement que des centaines de milliers de bénévoles des associations, tels le Secours populaire ou les Restos du Cœur, se mobilisent. À ce travail, s’ajoute celui des épiceries solidaires, des groupements d’achats, des jardins partagés, des restaurants sociaux, des tiers lieux alimentaires qui tentent de faire vivre un concept de démocratie alimentaire.
Mais il faut être clair. Il n’y a de véritable solution que dans le combat pour une garantie d’un travail intéressant pour toutes et tous, l’augmentation des rémunérations et des prestations sociales, leur indexation sur l’augmentation des prix, le gel des loyers, la reconstruction d’un vrai service public de l’énergie, la gratuité des transports en commun pour les familles populaires. L’augmentation des crédits publics nationaux et européens est indispensable pour augmenter le financement de la solidarité alimentaire, comme la lutte contre les gaspillages ou le développement de structures de restauration collective à bas prix.
Mais l’alimentation et la production agricole ne peuvent plus être considérées comme de banales marchandises. Voilà pourquoi, les institutions internationales du commerce, des directives européennes doivent décider d’une exception agri-alimentaire dans tous les échanges internationaux pour combattre la spéculation sur les matières premières agricoles.
La nourriture doit être décrétée comme un bien commun accessible en quantité et en qualité à toutes et tous. Pour ce faire, il faudra sans doute inventer des institutions démocratiques nouvelles et transformer profondément les modes de production agricole et alimentaire. Tout montre l’urgence, ici, et dans les pays du Sud.
Depuis des mois, se débat le projet d’une sécurité sociale de l’alimentation avec l’objectif d’un accès universel à une nourriture durable et de qualité visant à éradiquer l’insécurité alimentaire et la malnutrition. Ce projet constituerait un processus nouveau, alliant paysans travailleurs, associations de consommateurs, chercheurs, économistes, les petites structures de liens – déjà en gestation – entre producteurs et consommateurs, de petites coopératives. Il peut être prometteur pour ouvrir les voies à une sécurité alimentaire associée à une mutation de l’agriculture vers l’agro-écologie, une alimentation de qualité peu à peu débarrassée des firmes de l’agrobusiness et des inhumains centres de distribution, conditions de l’amélioration de la santé humaine et animale. Ce chemin doit être exploré collectivement pour le rendre viable. Le droit à l’alimentation doit être inscrit dans notre Constitution, et surtout, appliqué.
Patrick Le Hyaric
Le 29 novembre 2022
(En partenariat avec Radio-Orient)
21 commentaires
Et je pense que l’urgence plus que jamais est aussi celle qu’il faut informatiser toutes les antennes du Secours Populaire selon les critères mêmes souvent décrits et devenant partagés de l’informatisation générale des particuliers utilisateurs pour les études, la culture populaire majeure, et les activités mais sans tout ce qui est commerce, administrations, organismes divers, paiements et finances. D’ailleurs dans l’associatif les associations sont distinctes, doivent évoluer en étant distinctes.
Nourrir et pallier des manques comme le fait le Secours populaire, c’est bien, mais il faut aussi que les antennes soient des lieux où les personnes puissent trouver à se nourrir de culture populaire majeure, création lisible récente et culture réelle étant culture des arts majeurs accessible puisque la culture populaire majeure est appropriable par chaque personne.
Bonjour, définissez la culture des arts majeurs, et comment elle peut aider ?
Distinguer l’informatisation générale et l’informatisation spécifique. Il faut les distinctions et les scrupules. Ainsi les personnes précaires seront moins précaires tant que devenir mieux cultivées qu’en continuant à se nourrir sans manquer des repas, c’est s’extraire de l’accusation trop facile harcelante : “personnes précaires : personnes assistées ; il faut passer de personnes précaires : personnes assistées à personnes précaires plutôt cultivées.Tel est dans ce siècle le vrai commencement d’une nouvelle société au sens littéral : reconstruction et renaissance mais renaissance pour toutes et pour tous.
Une sécurité sociale de l’alimentation ? Dans l’urgence du moment, il est apparemment nécessaire de la mettre en place, mais, comme le disait Coluche en inventant les Restos, il est surtout insupportable d’en avoir besoin ! En témoignent les trop nombreux mal nourris qui ne veulent surtout pas quémander.
Et puis la Sécu, très affaiblie et confisquée aux travailleurs, n’est pas un modèle dans sa (mé)forme actuelle !
La solution à ce “volant incompressible” de pauvreté, on l’aura plutôt en nous débarrassant du capitalisme. Foin du dollar, de l’euro, de l’agrobusiness, du macronisme et tout ça. Restera à assurer la justice économique au niveau mondial, car les inégalités d’ici ne sont qu’un aperçu de ce que subissent les gens à quelques heures de chez nous.
Et nous fondrons des piques pour des faux
Et des sabres pour des herses…
Combien de charrues paierait-on avec le coût d’un canon Caesar ? Combien d’hôpitaux avec celui d’un F35 ?
En passant du capitalisme au coopératisme (pour faire court)
Friot apporte des réponses ?
La seule voie pour faire face à la Crise (provoqué) qui se globalise, et que, l’Occident commence à goûter, ce que vivent les peuples démunis (intentionnellement), est la préparation participative (peuple) et active de la Constituante Citoyenne et le Parti Citoyen pour prendre le Pouvoir afin de propulser la Constituante Citoyenne (pour une Constitution démocratique, humaine, écologique et de la nouvelle économie).
Des milliers de comités et leurs satellites de soutient. Dans les comités, les gens engagé le temps de finaliser leur mission ….. De même, au niveau du pouvoir politique (le temps du mandat des politiciens: obligation de réalisation). Les fonctionnaires à vie, non des balises pour leur duré en poste (dont l’obligation de réalisation à leur échelle) La structure gouvernementale à revoir et à corriger.
La culture des arts majeurs est la lecture sous toutes ses formes artistique de la création lisible ; non seulement elle peut aider mais sans elle les Hommes ne répètent que des guerres de toutes les sortes et de pire en pire. Tous les êtres humains à moins de perdre les bases fondamentales acquises dans une bonne école primaire, ont de l’école des artistes, tous les enfants étant des artistes, tous les Hommes sont des artistes, je n’ai pas dit des écrivains de poésie car ça demande davantage ; et donc la classe politique avait le devoir d’appliquer la création lisible, elle ne l’a pas fait assez, a fait trop souvent le contraire, d’où la France, l’Europe, le Monde vont mal, monsieur Harrison.
La création lisible…… la littérature, la peinture, le théâtre……… Ces médiums nous instruirant sur notre monde
Oui, dans l’enfance être initié au monde artistique permet l’imagination et peut-être l’ouverture de l’esprit sur le monde, et cela, avec un esprit critique plus élaboré ?
Il faut les conditions adéquates, donc les moyens.
Qu’est-ce qui empêche ?
Oui, dans l’enfance être initié au monde artistique permet l’imagination et peut-être l’ouverture de l’esprit sur le monde, et cela, avec un esprit critique plus élaboré ?
Il faut les conditions adéquates, donc les moyens.
Qu’est-ce qui empêche ?
Qu’est-ce qui empêche de passer à l’esprit heureux cosmopolite universel sans mondialisme ni démondialisme, tout simplement avec l’universalisme Europ’ Art ; et bien l’informatisation très mal programmée de notre pays ainsi que de l’Union Européenne, celle-ci n’étant pas l’informatisation des Particuliers Utilisateurs, pour tous et pour toutes, qui correspondrait aux critères de la classe créative travaillant pour des oeuvres pour la culture populaire majeure. Il y a un projet dans la classe créative, mais absence de politique pour avancer significativement, il y a des retards graves, les principaux pays de l’Union Européenne qui ont des existants informatiques intéressants n’y travaillent pas ou pas assez ensemble, les créateurs de la culture populaire majeure réalisant leur travail avec une informatisation plus en inadéquation qu’en adéquation, l’informatisation des Particuliers utilisateurs pour toutes et pour tous de toutes les génération n’est pas en adéquation avec les besoins réels généraux je dis bien, des Particuliers utilisateurs ; d’où de grandes difficultés quotidiennes, conséquences : les tyrannies nationales sont très fortes, trop de familles sont des familles Tyrannie faute d’être cultivée avec la culture populaire majeure ; la France va mal, l’Union Européenne va mal, et le monde ne s’améliore pas. Les variétés même avec les variétés internationales, c’est de la culture des arts mineurs, ce n’est pas la culture populaire majeure avec la création lisible : la Poésie : l’anthologie de la poésie populaire va jusqu’à aujourd’hui or très peu de personne ont la culture populaire notamment des trente dernières années, et pas seulement cette conséquence, le racisme sape cinq siècles de culture populaire majeurs française, européenne, et francophone notamment. Monsieur Harrison l’universalisme n’est-il pas pour le moins pour nous, français, européen, et francophone. Il est possible qu’il puisse s’étendre davantage, il est français, européen et francophone pour le moins : ce sont mes deux réponses à moi.
C’est aux travailleurs des arts majeurs et notamment de la création majeure lisible de donner les critères de l’informatisation pour toutes et pour tous, et les Hommes doivent exécuter leur profession selon l’interdépendance des Hommes puisque comme vous le savez autant que moi nous avons tous au-delà de la culture générale qui devrait être meilleure pour un très grand nombre des qualifications différentes. La classe politique et la classe informatique n’ont pas servi la classe créative selon la création majeure lisible, tout ce qui empêche est cette réalité qui perdure notamment depuis le vingt et unième siècle pendant lequel travailler la création majeure lisible obligea de s’informatiser, mais justement cela devait ouvrir l’informatisation des Particuliers selon l’informatisation pour toutes et pour tous de toutes les générations que nous n’avons encore pas. C’est de la même gravité que le retard de l’écologie universelle car celle-ci à l’origine était une poésie.
Mais qu’est-ce qui fait blocage ?
Une multitude de choses n’est-ce pas ?
Les dénoncers une à une et montrer et démontrer leur solution concrète, n.est-ce pas la voie ?
Les arts majeurs comme vous dites, dont le sport ….., Comment les mettre en place ? Mais qu’est-ce qui fait blocage ?
Il faut poser les questions et les poser selon divers angles pour, qu’enfin émergent des réponses adéquates.
Korzybski: le su et le non su
La vue globale
Il y a deux textes qui nous invitent à faire des liens historiques et dans le présent.
L’ultime retour des barbares, par Fethi Gharbi
JPMorgan réclame des états autoritaires en Europe, par Srephan Steinberg
Ces deux textes parlent par eux-mêmes.
De plus en plus notre condition d’humain est amené vers les paradoxes: les doubles contraintes, une prison dont les barreaux sont virtuels, et les opinions de réalités alternatives sont un peu comme les portes de cette prison.
Krishnamurti : le questionnement sans concession.
La carte n’est pas le territoire.
Ce qui est de l’ordre de l’imagination artistique ou de celle du pragmatisme. Une oeuvre d’art ou un système qui a sa propre logique.
Une oeuvre d’art majeur se reconnaît par être destinée à la meilleure destinée de l’Humanité.
Jacques Brel y parvenait à un certain prix sans qu’ils s’agisse d’argent.
La rencontre de l’oeuvre d’art majeur n’a plus lieu depuis.
Le pragmatisme primordial est de toute évidence présent dans la création majeure lisible.
La création pour le plus grand nombre n’a pas fait appel à je ne sais quel imaginaire, mais a surtout inclus les apports via la lumière onirique tels quels.
Ce qui empêche la création majeure lisible d’arriver à toutes et à tous de toutes les générations, c’est l’absence d’informatisation générale pour toutes les personnes de toutes les générations, à distinguer de toute informatisation spécifique.
Il n’y a pas eu monsieur Harrison le pragmatisme informatique nécessaire et indispensable notamment en Union Européenne, en Francophonie, et par le monde.
Le système capitaliste c’est développé de tel sorte qu’il s’auto-crédibilise. Il s’agit de décrire le système et de voir les liens interactifs entre les différentes “institutions” (FMI, l’OMC, les grandes banques _JPMorgan, Paradis fiscaux __ Élisabeth II, les agences de notation, les grands investisseurs, l’OTAN, etc ). La communauté internationale légitime le système en y participant.
L’ OEA en est un exemple typique. En y adhérent on le légitime et crédibilise auprès de la communauté internationale, et la renforce.
C’est un montage qui forge ses règles. Il peut en exister d’autres, montages avec d’autres règles.
De même, pour les partis politiques et leur idéologie. Il peut exister un parti citoyen, par les citoyens, pour les citoyens adoptant leur Constitution.
Légitimer et faire reconnaître (en droit) auprès de la communauté internationale. Comment ?
Jouer du pragmatisme et non de l’imaginaire. L’art sert à célébrer (symboliquement) la réalité. l’.action concrète, et non, que le réel sert d’illustration de l’art.
La Marseillaise célèbre et illustre une période historique de la France. Et non l’inverse. L’art est un effet de civilisation et l’illustre.
L’Art sert à célébrer, mais qu’y a-t-il dans le monde tel qu’il est tant à célébrer ? Le réel n’est pas l’illustration de l’Art comme la Création lisible n’est pas assez partagée. Civilisation rime avec communication mais en demande davantage et de la bonne.
À l’époque,la Marseillaise reflétait la réalité vécu, aujourd’hui elle en est une mémoire pour ceux qui ont pris connaissance de cette période historique, dit autrement.
Pour le droit à l’alimentation ?
Pourquoi pas, le droit de vivre ?
Une part grandissante de l’Humanité est déjà dans la survie incertaine, et, l’acte manqué de Poutine a raté sa cible de départ, défendre le Donbass (mauvais calcul ou improvisation ?) adéquatement, plutôt que l’aventure vers le risque global ?
Maintenant qu’ une bonne partie de l’Afrique et du Moyen-Orient sont dans le chaos, Maintenant l’Asie Centrale (Ouzbekistan,… ) sont dans la ligne de mire (déstabilisation). Déjà vue.
Déstabilisation perpétuelle de l’Amérique Latine, comme ailleurs depuis la colonisation-décolonisation réinitialisé avec la mondialisation tel que conçu.
La NUPES et son programme semble être une voie raisonnable.
Maintenant que la NUPES est devant un autre rendez-vous manquer, toujours les mêmes causes et d’acteurs.
Les partisans des différentes formations de la NUPES ont des décisions à prendre.
Ils peuvent suivre les directives de leur ” dirigents ” et risquer de retomber dans les divisions, ou bien, prendre le programme et prendre en main la NUPES, par des comités qui reprennent J. Jauès*: que les Citoyens: Parti Citoyen initiant la Constituante Citoyenne.
* Voir: Devoir de philos, Jean Jaurès ( Pour Jean Jaurès, la révolution socialiste………
La NUPES…….?
Tant que le capitalisme ne sera pas reconnu comme une idéologie et son système économique financier comme un montage d’institutions arbitraire basé sur des intérêts perpétuant depuis des millénaires les rapports dominants dominés, exploiteurs exploités dans les faits, partout sous toutes les cultures. La religion a reflété la réalité, une hégémonie contesté par les royautés, puis par la bourgeoisie qui actuellement réaménage l’espace tampon de classe avec l’automatisation et les start up. (pour affaiblir la notion de classe, le clientélisme fait parti de la stratégie de division: même du côté de la gauche on retrouve les mêmes patterns.
La Révolution Française a le mérite de montrer toute la trame, les tenants et aboutissants (entre les classes, la lutte des classes y étant le nerf de la guerre, rétrospectivement: bourgeoisie contre peuple), les causes et les acteurs (le siècle des lumières et les prises de conscience).
Mais actuellement, la propagande (les alternatives d’opinions), et les idéologies faillites, rendent obscure les enseignements des lumières (prise de conscience selon l’époque: le niveau d’éducation et de compréhension ou de conscience __ la vue d’ensemble*.) et la Révolution Française (les stratagèmes des exploiteurs). Manipulation du conditionnement (croyance de classe et religion: le roi de droit divin et pour les autres, accepter son sort pour mériter sa place au ciel). Aujourd’hui, toujours l’instrumentalisation des croyances, et c’est toujours efficace (même Poutine en joue).
Lire absolument: l’ultime retour des barbares (Fethi Gharbi).
Tout part de nous et nous reviens: notre comportement (de la condition humaine) et la crise multidimensionnelle et ses effets collatéraux) ?