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Le 21 mars 2012, la Commission européenne a présenté une proposition de révision de la directive sur le détachement des travailleurs.
Alors que cette directive montre plusieurs limites, Patrick Le Hyaric a interrogé la Commission européenne.
7 commentaires
Les travailleurs détachés sont le reflet des chômeurs dans notre pays
Une raison de plus du rejet de cette Europe trop divers dans les législations.
la commission européenne ne tient compte que d’1 chose favoriser le patronat en lui permettant de ne pas appliquer la réglementation en vigueur, la détourner à son profit uniquement et pouvoir “casser” toute manifestation contraire à ses bénéfices,comme si l’ ANI ne suffisait pas il est temps de fermer la porte à ce parlement qui met à genoux les états membres avec leur lois à la con il fallait légiférer avant sa création il ni a rien de cohérent dans leur agissements
Mais si il y a de la cohérence dans ces multiples directives européennes , il y a une grave logique qui favorise comme vous le dites le patronat . Là nous devons ajouter puisque le capitalisme est en stade suprême les finances de propriété privée se glissent dans tous les pouvoirs et nous font des injonctions ,toutes allant dans le même sens :casse des services publics, et dividendes monstrueuses avec les banques privées se goinfrant et un chômage voulu structurel et qui s’ aggrave , l’ impérialisme et financier avec le dollar unique qui n’ arrête pas d’ être injecté en masse ,à détruire des forêts entières, avec beaucoup de malheur pour l’ Humain et l’ humanité , la B.C.E. avec son homme de main cet ex Goldman Sachs avait déjà trafiqué les chiffres sous un gouv. de droite en Grèce et , pour service rendu une promotion avec maîtrise de la création monétaire , il y a donc une logique pour la poignée de capter les richesses produites par les forces du travail du prolétariat , c’ est ce système que nous combattons et pour Lutter : Les Films de l’An 2 , vous avez là d’ excellentes vidéos .
Merci pour le site, un bon outil d’émancipation populaire. Je conseille aussi le site “Démystification Leçons d’histoire Annie Lacroix Riz” Très intéressant pour comprendre notamment l’escroquerie voire la trahison de la deuxième guerre mondiale, racontées par une historienne hors pair qui prend consciencieusement ses information dans les archives. Historienne tellement dérangeante qu’elle est ostracisée par les médias qui préfèrent les belles histoires de rois et de reines avec des fées racontées par des ”historieux” qui confondent les contes de Perrault avec l’histoire.
Syndicaliste en retraite au 31 décembre je pense que là ou nous avons des difficultés,des lacunes, c’est dans la prise de conscience des salariés en général. Trop peu savent comment fonctionnent nos institutions sociales et la législation du travail en France. Sinon nous serions des millions à défendre nos acquis ce qui n’est pas le cas.
Quand j’explique dans ma boîte comment se compose le salaire et les prélèvements sociaux et à quoi ils servent, les gens sont surpris: “pourquoi ne nous l’a-t-on jamais expliqué?”
Alors aujourd’hui on voit le capitalisme européen s’attaquer aux droits sociaux là où il y en a qui gênent leurs ambitions de dumping social. L’esclavagisme au travail est basé à mon sens sur l’ignorance des salariés.
Il y a tout un pan éducatif à construire sur ces thèmes là.
Je partage complètement ton avis camarade Je pense que tout commence par l’instruction de la classe ouvrière qui depuis 1946 et la création de notre modèle social issu du CNR a en grande partie oublié son histoire sociale,le fonctionnement, et le principe de ces grandes institutions qui fondent ce modèle social unique comme par exemple la sécurité sociale. Je pense malheureusement aujourd’hui qu’Ambroise Croiza est mieux connu de ceux qui essayent de détruire son oeuvre, les Denis Kesler et autres que de ceux qui ont intérêt à le défendre. La révolution sociale doit commencer par l’instruction et l’émancipation populaire seuls remparts efficaces contre les médias chiens de garde qui diffusent des leurres, pour ne pas dire de la m…., à longueur d’antenne. Salutations
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