Dimanche, le choix. Le capital ou nos vies

le 7 juin 2022

Les vieux réflexes de la bourgeoisie capitaliste ont repris le dessus. De l’extrême droite à toutes les variantes du macronisme, du grand patronat à la droite, aux médias propriétés de milliardaires, ce n’est que déchaînements, vociférations, contre-vérités à l’encontre du programme de la coalition des gauches et des écologistes. Ce sera le « chaos » répètent-ils en cœur.

Comme en 1981, ils ne veulent absolument pas que les salaires et les prestations sociales augmentent ; que le SMIC soit porté à 1500 € ; que le point d’indice des fonctionnaires soit rehaussé d’au moins 10%. Ils ne veulent pas entendre parler d’un retour de l’âge de la retraite à 60 ans ou d’investissements massifs pour une transition sociale et écologique permettant de vivre mieux, et d’une création massive d’emplois stables, sécurisés et ouverts aux formations modernes tout au long de la vie.

Si le programme de la Nupes manquait tant de sérieux, pourquoi la Première ministre et les membres du gouvernement n’acceptent pas des débats contradictoires à la télévision. Ce serait un gage de clarté.

Un acte de démocratie permettant aux électrices et électeurs de faire un choix en connaissance de cause dimanche prochain.

En vérité, la macronie et les forces du capital redoutent ce scrutin qui, pour la première fois depuis de longues années, va permettre à celles et ceux qui le souhaitent d’exprimer par leur vote, avec cette fois une chance réelle de se faire entendre, leurs attentes de changements profonds.

Ils préfèrent miser sur une abstention massive des milieux populaires et de la jeunesse, c’est-à-dire chez ceux qui ont le plus à gagner d’un succès de la Nupes.

Car, les éléments du « chaos » sont bien là. L’hôpital ou encore l’éducation nationale sont affaiblis, rongés, minés par des décennies d’austérité. La crise écologique est d’une ampleur sans précédent. L’inflation galope, les chaînes logistiques d’approvisionnement et de production se disloquent et se bloquent maintenant dans certains secteurs.

Le fameux thème de la réindustrialisation rabâchée à satiété par ceux-là mêmes qui ont délocalisé nos usines, n’est, en réalité, que le paravent pour faire passer de nouvelles diminutions des impôts sur les entreprises sans contrepartie.

La nouvelle contre-réforme des retraites n’est que le faux-nez d’une exploitation renforcée du travail et de la mise en tension d’une société dans laquelle la route vers le travail pour les jeunes est parsemée d’embûches, de discriminations, d’inégalités, de salaires au rabais pendant que de plus en plus de seniors de moins de 60 ans se retrouvent sans emploi.

On ne compte plus les contrats à durée déterminée de courtes durées et le nombre de femmes à temps partiel imposé, rétribuées sous le SMIC !

Les gardiens du temple de l’ordo libéralisme, qui courent les plateaux de télévision, veulent faire peur au quidam en chiffrant le coût du retour à la retraite à 60 ans à 100 milliards d’euros. Ce montant mériterait d’être discuté. Mais, ces mêmes donneurs de leçons en bonne gestion ne disent jamais un mot sur l’efficacité réelle des 130 milliards que l’État verse chaque année au secteur privé.

Quant au vocable « pouvoir d’achat », il n’est qu’un gargarisme pour la majorité macroniste et les droites qui refusent toute augmentation des salaires et tout blocage des prix tandis que les profits flambent et que la rémunération des propriétaires-actionnaires est au zénith.

Rien n’est envisagé pour l’indexation des salaires sur les prix. Et les minimes chèques alimentation et énergie, dont la durée de vie ne dépassera pas le temps des élections, ne suffiront pas à éviter une nouvelle récession.

Voilà le chaos ! Voilà ce qui est tu !

Ce sont ces politiques successives dites de l’offre qui coûtent cher au budget de la nation comme l’a confirmé le comité d’évaluation du CICE et de la réforme du capital.

Le programme de la Nouvelle Union Populaire Écologiste et Sociale (Nupes) répond aux besoins humains et propose d’investir dans une nouvelle politique de progrès social par un nouveau type de relance, grâce à l’augmentation des salaires et des retraites, à la progressivité de l’impôt, à l’allocation autonomie pour les jeunes, à la garantie du droit au logement et au blocage des loyers, au développement des services publics, à une sécurité de l’emploi combinée aux formations indispensables pour réussir la transition écologique.

C’est cette cohérence qui fait peur aux puissances d’argent. C’est pourquoi les milieux dirigeants font planer la menace d’une réaction négative des marchés financiers. Dans ces conditions, où est la démocratie ? Où est le respect du vote des électrices et des électeurs ?

Oui, soyons clairs, cette alternative progressiste vise à inverser les priorités. Le travail au lieu du service au capital. Les services publics au lieu de la finance. L’agriculture paysanne au lieu des fermes usines et les traités de libre-échange pour assurer la qualité alimentaire. La démocratie participative au lieu de la présidentialisation du pouvoir et la monarchie à l’entreprise.

Un gouvernement des gauches et des écologistes peut se donner les moyens de défendre les travailleurs et les citoyens par l’appropriation publique de grandes banques, pour un nouveau crédit public dans le cadre d’un pôle public financier et bancaire démocratique. Ni la Banque centrale européenne, ni l’Allemagne n’auraient intérêt à s’opposer à cette politique de relance durable. Elle serait plutôt un facteur de stabilité en Europe pour faire face aux nuées orageuses qui s’amoncellent à l’horizon.

Au-delà des questions de faisabilité économique, l’enjeu est d’abord politique.

Doit-on accepter l’ordre social du monde tel qu’il est ? Doit-on conférer comme seul rôle au gouvernement de gérer les choses comme elles sont, au service des forces dominantes ? Ou, au contraire, ne doit-on pas redonner à la politique son rôle plein et entier pour engager une nouvelle construction démocratique, humaine, sociale, culturelle, environnementale ?

N’est-il pas temps de s’engager collectivement dans un nouveau projet associant le peuple – les travailleuses, les travailleurs, les citoyennes, les citoyens, les jeunes et les enfants- qui change l’ordre des priorités et conteste en tout point l’ordre a-social et anti-environnemental capitaliste.

Une modification des rapports de force permettrait une nouvelle cohérence progressiste et écologique. La régénération de la démocratie est au cœur des grands projets novateurs de planification écologique, d’un nouveau progrès social, de la refondation de la construction européenne et du retour d’une France actrice d’un monde solidaire, de paix et de coopération.

La démocratisation doit être au cœur des processus de productions, d’échanges et de distributions. Cela passe par de nouvelles législations conférant de réels pouvoirs nouveaux des salariés dans l’entreprise.

Pour cela, il faut forcément revenir sur les contre-réformes du droit du travail et notamment de donner aux comités d’entreprises la possibilité d’un véto suspensif en cas de licenciement boursier.

Il est temps de permettre et d’assurer une participation effective des salariés et des usagers à la gestion des entreprises nationalisées et des services publics. Il est temps d’engager la dé-financiarisation de l’économie ; la mise en place d’un impôt sur les transactions financières ; et de viser l’éradication de l’évasion fiscale.

 Il s’agit d’enfoncer des coins, dans le modèle de production capitaliste, avec des projets échappant à la logique marchande comme l’a été en leur temps la création de la Sécurité sociale par Ambroise Croizat ou le statut de la fonction publique par Maurice Thorez.

Voilà ce qui fait peur aux possédants et à leurs valets politiques.

En vérité, deux conceptions s’opposent : celle du conservatisme et de la réaction qui veut faire croire aux lois immuables du marché et veut maintenir un système qui appauvrit les plus modestes et les classes moyennes pour enrichir les détenteurs de capitaux.

L’autre conception, celle d’un nouveau progressisme à la française, tirant les leçons du patent échec de ce qui s’est fait jusque là. Celle-ci considère que le chômage, la misère, les inégalités, l’épuisement de la nature, le surarmement ne sont pas des fatalités. Ce projet fait de la dépense sociale, du développement et de la démocratisation des services publics pour une transition écologique, des leviers pour tout à la fois répondre aux aspirations populaires, aux défis de notre temps et pour une nouvelle efficacité sociale et économique.

Dimanche prochain, voter et faire voter pour les candidats de la Nupes, s’est créé les conditions pour que la vie de millions de nos concitoyens change dès le mois de juillet parce que les choix sociaux, politiques, économiques, éducatifs et culturels d’un véritable nouveau gouvernement partiraient des besoins populaires et non ceux des puissances financières. S’abstenir revient à voter contre soi-même et laisser le pouvoir aux dominants de décider de nos vies. C’est ce que recherche le pouvoir macronien. Bousculons ses plans. Changeons de cap ! Choisissons une majorité parlementaire et un gouvernement de la gauche de transformation !

Patrick Le Hyaric

Le 07 juin 2022


11 commentaires


Moreau 7 juin 2022 à 19 h 22 min

Il faut la mixité sans abus avec un vrai secteur publique pouvant répondre à proximité aux besoins des personnes et un vrai secteur privé ; sans faire de penser uniquement à l’éducation et à l’hôpital qui ne doivent pas être oubliés.
Pour les départs à la retraite, la République équitable, et l’Union de la Gauche devrait y tenir tout comme elle doit tenir à l’universalisme, ce serait que chaque personne puisse choisir son âge de départ à la retraite entre ses 60 et ses 65 ans, ce serait un progrès de la démocratie, un progrès de la République, un progrès de l’équité. L’indifférence, c’est égal ; mais ne n’est pas l’Égalité !
Il y a aussi une part d’incohérence dans la majorité présidentielle et on en parle de temps en temps.
Et certaines régressions sociales voire du bouclier social sont irrationnelles, n’étant pas fondées sur les Droits Humains Universels, et représentant des dérives graves ou très graves. Il faut construite la sécurité sociale du vingt et unième siècle, et il faut à mon avis et toujours en toute objectivité un grand service publique de l’eau, de l’air, et des énergies les moins dangereuses et bien consommables par toutes et par tous. Il faut une vie moins chère et une amélioration du pouvoir d’achat ; mais dans le respect entier de la République française et européenne, dans le respect entier de la construction européenne et du rayonnement de la république universaliste de l’Union Européenne dans le Monde. Il ne faut pas faire d’autres crises mais résoudre les crises plutôt que répéter qu’elles vont durer sans débattre en effet pour chercher à les résoudre.
Il ne faut pas critiquer la majorité présidentielle plus qu’il n’est nécessaire et indispensable, mais exprimer pourquoi et dans quelles limites il faut des politiques digne de l’Union de la Gauche authentique du vingt et unième siècle, ce sera beaucoup à mon avis.
Il faut la fin de tous les extrémismes sans exception et donc de l’irrationnel en politique qui faut que les personnes ont peur de ne plus arriver à survivre en France notamment, il est très important de le dire aussi.
Vouloir beaucoup de progrès réels sans vouloir tout, tout totalitarisme étant l’extrémisme.

Moreau 8 juin 2022 à 16 h 58 min

La Déclaration universelle des droits de l’Homme est loin d’avoir été, d’être assez appliquée en France (le moins pire) ; où faire un choix de vote est devenu très compliqué entre un vote pour la République universaliste et un vote pour le bouclier social et son application effective prévu par la Déclaration universelle des droits de l’Homme.
La classe politique n’est pas assez à la hauteur de la Déclaration universelle des droits de l’Homme ; et il y a beaucoup à dire, voici quelques exemples.
La notion de travail forcée comprend toute sorte d’esclavage ; mais comprend aussi que nul ne doit être forcé d’arrêter de travailler à 60 ans par exemple, l’inactivité forcée doit être interdite exactement comme l’activité forcée ; c’est pourquoi, il faut au minimum un éventail des âges des départs à la retraites entre 60 et 65 ans, et pourquoi pas entre 60 et 70 ans …
Le bouclier social doit être effectif, et non des chèques ceci, des chèques cela ; il doit se vérifier par la mise en œuvre de virements sur les comptes courants bancaires des personnes. Le bouclier social, à mon avis, n’est pas effectif pour plusieurs personnes. Le social relève alors du simulacre.
Il est incohérent est dangereux pour les Citoyennes et les Citoyens de généraliser les prélèvements automatiques, ce qui est pratique en principe seulement pour tout le monde ; et de prohiber les virements au titre du bouclier sur les comptes bancaires courants directement.
Une incohérence injustifiable et contraire à l’éthique républicaine.
L’incohérence étant présente, l’application des Droits Humains Universels n’est pas effective, et des personnes ne pouvant pas s’adapter à l’incohérence sont victimes.

alain harrison 11 juin 2022 à 20 h 55 min

Bonjour.

«« nouveau gouvernement partiraient des besoins populaires »»

Alors il faudra que chaque député de la gauche devra s.allier à un comité de citoyens avec des
gens de terrain des différents secteurs (les différentes associations communautaires, étudiantes et syndicales) et de simples citoyens. Des comités ouverts selon les étapes des dossiers. C’est à dire que chacun a son cheval de bataille à réaliser selon une stratégie globale.

Exemple: changer le travail en hôpital.
Une nécessité que la pandémie à révéler clairement, bien que le système ( médiatique, politique et les pompes de la santé…) n’en parlent que parcimonieusement.
Et bien, un sous-comité pourrait relever les demandes et les mettre dans un ordre de réalisation.
Un autre sous-comité, sur l’éducation, etc… dans chaque département territoriale (par exemple).

Le comité prendrait en charge de le référer au député. C’est à dire discuter autour d’une table de concertation …. Puis les députés avec les personnes représentant les comités feraient le bilan pour en tirer les meilleurs solutions pour élaborer les politiques, après retour dans les comités pour aprobation citoyenne. La médiatisation à chaque étale à partir des sous-comités pour que le suivi soit médiatisé adéquatement auprès de la population.

Un véritablesuivi et non une nouvelle partielle et en marge comme le mainstream a l’habitude de faire par rapport aux nécessités réclamés par les citoyens-travailleurs (en chômage, à la retraite, précarité et pauvreté) conscientiser les classes sociales et le clientélisme construit. Pour ce faire, la médiatisation soutenue est la clef.

Donc une gauche au pouvoir lors des législatives. Tout dépend des abstentionnistes dans la dernière droite électorale. Sinon,ce sera pour une prochaine fois.

alain harrison 13 juin 2022 à 18 h 19 min

52,49% d’abstentions ?

Une réalité que la gauche devra prendre en main, mais d’une façon unitaire, seulement après avoir départager les divergences et les convergences d’une façon claire.
Le point criant est ben entendu le frexit. (faire les lien entre ce qui fait barrage et les attentes des gauches).

alain harrison 13 juin 2022 à 19 h 37 min

Comme vous le dites, dans votre dernière lettre «« alors même que, selon l’Organisation pour l’agriculture et l’alimentation des Nations Unies (FAO), les stocks mondiaux permettent de nourrir toute la population mondiale. »»

C’est le manque de coopération internationale qui fait défaut.
Mais qu’est-ce qui empêche cette coopération ?

Dans le discours suivant, des éléments de réponse peut-être ?

Amérique latine : Intervention du chancelier mexicain Marcelo Ebrard au sommet des Amériques
12 Juin 2022, 18:07pm | Publié par Bolivar Infos

Extrait:

«« Je remercie le président Biden pour son intérêt, d’avoir été ici, de nous avoir écouté, que son équipe ait pris note de ce que nous proposons, d’avoir travaillé une semaine pour arriver à une déclaration conjointe sur des sujets aussi complexes que la migration ou d’autres. Évidemment, c’est un grand mérite que nous reconnaissons tous, les Amériques l’intéressent, sinon il ne serait pas ici car nous ne serions pas ici probablement. Nous sommes heureux qu’il en soit ainsi, nous reconnaissons tous que nous sommes dans une nouvelle réalité géopolitique, ce n’est pas le même monde dans lequel nous vivons aujourd’hui que celui du dernier sommet que nous avons célébré. Maintenant, il y a eu une guerre en Ukraine à cause de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, il y a une instabilité alimentaire, énergétique, une nouvelle réalité géopolitique qui conseillent de chercher l’unité mais pour chercher l’unité, nous devons résoudre ce que je vous ai décrit parce que sinon les différends vont continuer à prédominer dans ces sommets comme cela a été le cas au moins pendant les 10 dernières années. Et pour cela, il faut prendre des décisions………………..

Alors, on est contre l’exclusion et aussi contre le principe qu’un pays puisse dire à un autre ce qu’il peut faire dans sa vie intérieure.
20 contre, 10 abstentions, 2 en faveur, 2, pas plus. »»

Maintenant, est-ce que Le président Biden en respectera la lettre et l’esprit ?

Les prochains mois nous en diront plus,peut-être ?

De même de l’UE ?

Sinon, le Frexitt ?

Il faut que les gauches s’entendent sur une stratégie rassembleuse et d’en permetre une pédagogie cohérente auprès de leurs membres, puis de la population (plus de 52 %).

Moreau 13 juin 2022 à 22 h 28 min

Que les responsables politiques mon Dieu méritent enfin leur nom, en réalisant la disparition des Droites extrêmes et de tout extrémisme, par la révolution perpétuelle par les urnes d’élections en élections qui trouvent un sens pour peu de ne pas retomber dans de vieilles idées d’avant l’alternance historique de 2017 et 2022 en voie chaque jour quelle que soit l’assemblée nationale et la meilleure assemblée nationale possible est souhaitable et souhaité, jusqu’en 2027 pour apporter le changement nécessaire et indispensable, possible et réalisable avec une bonne droite libérale universaliste et une bonne union populaire de gauche nouvelle et intégralement universaliste pour le vingt et unième siècle qui a besoin pour le salut des Hommes de dire adieu aux courses armements, aux autoritarismes, aux opérations militaires brutales envers des populations et destructrices de l’écologie et de l’agriculture.
La majorité présidentielle et la nouvelle union populaire doivent être respectivement en toute bienveillance réciproque conscientes qu’elles réussissent à progresser pour servir toutes et tous, ensemble, et non l’une sans l’autre. Vive la France fondatrice de l’Union Européenne universaliste qui sait éviter de basculer dans une dictature qui serait fatale pour la France, l’Union Européenne, le Monde, il ne faut pas se leurrer, il ne faut pas leurrer.
C’est que tout devenait d’extrême difficulté, je ne dis pas que le pire aller est éloigné de façon irréversible mais je dis que c’est encore possible, alors que tout devenait quasi impossible ou impossible avec les terrorismes, les crises et la crise des gilets jaunes, la pandémie mondiale, les diplomaties et les opérations militaires violentes ou/et brutales, et qu’il reste fort à faire en remplaçant le faux génie performant humain par le vrai génie performant humain voire par le génie performant humain pour toutes et pour tous selon leur interdépendance.
Les forces politiques de la République authentique universaliste, république du vingt et unième siècle ne doivent pas être clivantes entre elles pour servir au mieux toutes et tous.
Les forces politiques de la République authentique universaliste, république du vingt et unième siècle ne doivent pas être clivantes entre elles pour servir au mieux toutes et tous en servant notamment le progrès social réel pour toutes et pour tous qui exige le progrès culturel réel à partir de la création lisible.
L ‘Union Européenne s’affirme somme toute pionnière en démocratie républicaine du vingt et unième siècle et les grandes terres d’Occident et d’Orient comme la Chine et l’Amérique du Nord notamment, ont besoin pour réussir la paix gratuite en renonçant aux menaces et aux actions militaires violentes ou/et brutales, de se construire davantage en grande république démocratique universalistes, la Chine et l’Amérique du Nord ont en commun d’avoir commencé à se remettre en question mais il leur faut moins d’autoritarisme et plus de Poésie, de toute évidence.
Le progrès politique entier réel est nécessaire et indispensables notamment pour les grandes terres comme la Chine et l’Amérique du Nord qui ont su déjà évoluer pour devenir des grandes républiques universalistes, qui n’y sont pas encore arrivées, mais qui peut et il faut bien dire qui doivent, y arriver, et qui verront ainsi se dissiper les problèmes de luxe comme ceux de Hong Kong, de Taïwan, et d’autres terres. Le progrès politique entier réel peut beaucoup plus pour chaque pays du monde que les menaces et les opérations militaires violentes ou/et brutales, et il faut le dire aussi, que le climatosceptiscisme destructeur, que les pandémies, que les pénuries, et les autres fléaux qui ne devraient plus exister eux aussi.
Vive la France pionnière fondatrice de notre Union Européenne phare du monde en sa qualité de grande république démocratique universaliste tendant la main aux autres terres du Monde. La France pionnière, c’est la France libre qui s’exprime.

Moreau 14 juin 2022 à 9 h 12 min

République et amitié universelle, dialogue en démocratie universaliste, servir toutes et tous par des activités d’utilité réelle et le vrai génie performant de chacune et de chacun, dans le respect même des spécificités politiques républicaines universaliste : libéralisme républicain universaliste, socialisme républicain universaliste, communisme républicain universaliste voire CRU numéro 1 !
Il ne faut pas hésiter à se dire entre grandes républiques universalistes comment consommer le moins possible de carburants et polluer le moins possible sans être forcé de marcher à pied : le covoiturage par ferroutage. Tout comme l’Homme met les vélos sur le tremplin derrière sa voiture, les voitures si elles étaient faites selon la description présente dans la création lisible pourrait aller sur les plateformes de wagons de trains à moyenne vitesse, et si tout est bien étudié même des personnes pourraient rester dans leur voiture et voyager gratis, il suffirait d’acquitter le déplacement de la voiture !

Depuis le début de ce nouveau siècle, les Hommes politiques sont trop nuls, il ne pensent à rien pour toutes et pour tous, et bonjour les dégâts !
Place aux solutions d’amour du CRU : Communisme Républicain Universaliste, communisme du vingt et unième siècle.

La majorité présidentielle française depuis deux mille dix sept à tant fait déjà pour la France, l’Union Européenne, le Monde, l’Union Européenne est grâce à la France l’Europe phare, il faut le dire tout en disant que ce n’est pas assez et tellement mieux peut être fait dans ce qui n’est pas fait.

Il faut en même temps améliorer le pouvoir d’achat de toutes et de tous, et passer à la culture réelle lisible. Si cela avait été fait il y aurait la paix gratuite : aucune guerre économique, un climat tellement meilleur, une agriculture tellement plus humaine… Il ne faut surtout pas de frexit puisqu’il faut réaliser le covoiturage par ferroutage dans toute l’Union Européenne pour faire chuter les importations d’énergies significativement sans faire se déplacer à pied les personnes.

J’ai toujours pensé qu’il fallait de grands services publiques sous réservent qu’ils évolue selon la Création lisible, tout comme le secteur privé peut et doit évoluer selon la Création lisible, ou il n’y a guère que des faux génies performants, des gros revenus non mérités, des primes non méritées, des aides non méritées.

Il faut passer aux grandes républiques universalistes de mérite ! Un peu de courage !

Moreau 14 juin 2022 à 9 h 43 min

Les faux génies performants ont fait ou ont fait faire des erreurs, des fautes, gravissimes et empêchant la vie quand elles ne tuent pas ; le vrai génie humain ne se traduit pas tant en opinions et bravo à Clémentine Autain pour sa bonne foi qui voudrait que les journalistes travaillent en réalisant l’interdépendance puisqu’elle s’en plaint et elle a raison de se plaindre de ça. ; il se traduit en idées nouvelles, en inventions, en projets valables et solides… Quand le carburant universel non polluant n’existe toujours pas plus de vingt ans après le passage au vingt et unième siècle, il y a des questions à se poser sur l’enseignement et la recherche. Il ne suffisait pas d’additionner du temps de travail pour, le vrai travail peut demander du temps mais il n’est pas une addition d’heures, tout comme il n’est pas une addition d’opinions !

bxlChjVdYqkDNeAK 14 juin 2022 à 16 h 42 min

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wIqsAUYEN 17 juin 2022 à 0 h 29 min

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sAnfqTHeIL 18 juin 2022 à 13 h 32 min

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