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Depuis que nous avons lancé un nouvel appel pour ” des étrennes pour L’Humanité” plus de 60 000 euros de dons supplémentaires sont parvenus à L’Humanité. Que celles et ceux qui se mobilisent en soient sincèrement remerciés. Ces versements nous sont indispensables pour franchir les caps de ces mois de décembre puis janvier qui sont des moments de fortes dépenses.
Alors que de plus en plus de citoyennes et citoyens s’interrogent avec une certaine défiance sur la nature de l’information, le rôle des journalistes, la lecture de L’Humanité et de L’Humanité Dimanche apparaît comme utile pour comprendre les événements et se faire sa propre opinion. Un journal est un lieu vivant de décryptage, de hiérarchisation, d’analyse de l’information. Son contenu, en lien avec les événements qui font l’actualité, suscite le débat d’idées chez ses propres lectrices et lecteurs, dans les autres médias et dans la société.
Nul ne peut contester à nos journaux leur apport original à la réflexion. Leur positionnement contribue au rassemblement populaire et à l’action. Se priver de L’Humanité ce serait se priver d’une part de liberté. L’heure n’est donc pas au rétrécissement du nombre de celles et ceux qui lisent nos titres, mais à l’élargissement de leur audience, comme condition d’une modification du rapport des forces sociales et politiques en faveur du monde du travail et de la création. C’est en ce sens que nous proposons à chacune et chacun de d’offrir comme cadeau de fin d’année un abonnement découverte à nos journaux tout en poursuivant la campagne de souscription ” des étrennes pour L’Humanité”.
Un grand merci à toutes celles et ceux qui s’engagent pour faire vivre et développer L’Humanité.
Patrick Le Hyaric
1 commentaire
A mon grand regret, je ne peux donner d’étrennes car je n’ai pas le droit à disposer de chéquier ni à être titulaire d’un compte bancaire. C’est pourtant avec bonheur que je reçois tous les matins l’Humanité qui me permet de sortir de mon isolement forcé. J’ai connu l’enfermement. Je sais à quel point l’ouverture au monde peut manquer cruellement.