L’impossible statu quo européen !

le 7 juillet 2016

Le drapeau européen flotte devant le Parlement européen à Strasbourg / AFP

Une fois de plus les dirigeants européens et leur petit « cercle de la raison » font tout pour dénigrer, contourner, minimiser, détourner le sens de la déflagration des résultats du référendum Britannique. Conçu à l’origine pour sauver la droite conservatrice Britannique, sanctuariser le business outre-manche et conforter les marchés financiers de la City, voilà qu’il s’est transformé en une radicale protestation contre les politiques d’austérité, de désindustrialisation et de démantèlement des services publics.

Ces mêmes responsables et leur complexe médiatique usent des mêmes méthodes pour cacher le niveau de suffrages inédit obtenu par la coalition « Unidos-Podemos » en Espagne. L’objet et la tonalité de ces deux campagnes ne peuvent être comparés. Mais dans les deux cas, comme pour les référendums français, irlandais, néerlandais, grec, le cœur des exigences exprimées est une demande de démocratie et de justice sociale.

Il y a un an le gouvernement grec avait été mis en demeure d’appliquer l’amère potion de l’austérité diligentée par la commission européenne sous la dictée de la droite allemande. L’actuel gouvernement de gauche portugais est l’objet des mêmes pressions sous la menace de perdre les financements de la Banque Centrale Européenne. Et l’Espagne est sommée de rentrer dans les clous fixés par les traités austéritaires. Les votes récents dans la plupart des pays expriment la force de ce rejet. On aurait grand tort de laisser croire aux populations en colère qu’elles n’ont le choix que de s’enfermer soit dans le repli nationaliste d’un capitalisme de guerre entre peuples et entre pays, soit dans la poursuite du bridage de la capacité des Etats à répondre aux besoins sociaux et environnementaux pour sans cesse « libérer les forces du marché ». Ces variantes du capitalisme jettent les peuples et les travailleurs du continent les uns contre les autres et les mènent dans le mur en préparant des régimes de plus en plus autoritaires.

S’il n’y a pas une refonte complète du projet européen il est sûr que l’actuelle intégration capitaliste du continent affrontera sa propre désintégration. Et ceci se fera au détriment des forces du travail, de la pensée et de la création. A sans cesse trahir l’idéal européen originel, les prétendus élites autoproclamées comme « le cercle de la responsabilité » contre les peuples jugés par définition irresponsables, comme « un problème » ou « une menace », on va jusqu’à détruire l’idée européenne telle que formulée par Hugo ou Jaurès. Les oligarchies et leurs commissaires politiques et médiatiques prises en de multiples contradictions préfèrent toujours que les colères soient dérivées vers « l’autre » dans des accès de xénophobie, de racisme, de nationalisme, pour empêcher l’alternative progressiste.

Le chantier est donc immense pour les personnalités, les partis progressistes de la transformation, les syndicats, les organisations non gouvernementales et les associations porteuses de démocratie et des intérêts sociaux et humains pour inventer la nouvelle Europe. La responsabilité de La France, membre du conseil de sécurité de L’ONU, l’une des premières puissances mondiales, pays fondateur du marché commun qui dans quelques années sera le plus peuplé de l’Union européenne, est engagée. Si le Président de la République en avait le courage et l’audace il prendrait une initiative marquante de refondation démocratique et progressiste. Il ne le fera que si se crée un mouvement populaire en ce sens.

L’heure est donc à porter dans le débat et dans des actes un projet radicalement nouveau de solidarisation des travailleurs pour une nouvelle construction européenne des peuples souverains et des nations associées, solidaire et démocratique. Dans cet objectif un forum européen des forces sociales, syndicales et politiques pour l’alternative serait bien utile. Ce mouvement doit s’enclencher sans attendre. En effet, ne voulant rien entendre tant les intérêts des puissances d’argent sont immenses, on cogite dans les sombres salles des cabinets de la commission européenne et à Berlin des meilleures façons de contourner le vote Britannique y compris en exacerbant ses effets potentiellement inquiétants pour l’Ecosse, l’Irlande mais aussi pour la récession qu’il peut provoquer. En plein sommet sur les conséquences de ce vote M. Juncker et ses acolytes n’ont pas hésité à réclamer l’adoption du traité de libre-échange avec le Canada sans l’avis des parlements nationaux. Ce faisant, il veut ouvrir la voie à l’adoption en catimini du grand marché transatlantique. Au même moment l’extension de la licence du glyphosate était adoptée dans un empoisonnant silence. Autant d’insultes et d’affronts aux peuples et nations européens.

Il ne suffira ni de déplorer, ni de déclamer des prophéties pour masquer son impuissance. L’heure est venue d’aider à fédérer les habitants du continent, à rassembler les jeunesses et à agir pour construire ensemble un projet social, démocratique et environnemental commun. Le défi est immense ! Il faut l’affronter ! La fête de L’Humanité en sera l’un des moments !


10 commentaires


Paulette Janoux Bouffard 10 juillet 2016 à 10 h 23 min

Vals, ne peut etre qu’au courant de cette situation avec le traité de libre échange avec le Canada et position de la commission européenne qui sera si les Etats membres ne sont pas consultés un déni de plus de démocratie et de mépris des peuples.
C’est pour cela qu’il a pris une posture très électoraliste et mensongére en disant qu’il était contre le traité transatlantique et que la France ne pouvait le signer!!! VALS enfume les français

alain harrison 26 juillet 2016 à 4 h 38 min

Oui, valls est un enfumeur. Il ment comme il respire, il est de la pire espèce des petits manipulateurs: un perroquet, qui répète selon les tendances du moment. Il est plafonné par la pensée magique.
Il devrait consulter.

BOURGEAUD Nadine 10 juillet 2016 à 20 h 25 min

votre projet d’une autre Europe aussi solidaire soit-il se heurte à l’origine même de la création européenne qui n’a pas été faite pour rapprocher les peuples , éviter les guerres en Europe etc …mais bien pour mettre en place l’hégémonie américaine basée sur l’hégémonie industrielle et financière de l’Allemagne qui est la seule puissance européenne qui tire son épingle du jeu (enfin pas forcément le peuple soumis aux lois hartz des socio démocrates tous plus à droite et pseudo démocrates que la droite elle même!!!savez vous que le premier président de l’union européenne était Walter Hallstein un juriste allemand qui était affilié aux régime nazi .Le découpage des pays nations en régions pour couper les peuples de leur nations est aussi un projet ancien mais repris par le régime nazi qui avait même émis une carte de l’Europe fédéralisée en régions .Donc l’origine de l’Europe a été viciée dès le début contre les peuples .D’ailleurs ce qui se passe actuellement comme le dépeçage de la Grèce qui est un véritable déni de démocratie mais qui alimente les requins de la finance et des grands groupes capitalistes mondiaux !!! donc la jolie histoire bisounours de l’Europe est vraiment une grande arnaque , il faut le savoir!il n’est donc pas du tout nécessaire de refonder l’Europe mais bien d’en sortir pour retrouver notre souveraineté et notre contrôle de la monnaie et de la dette (encore une arnaque pour alimenter par la dette des groupes bancaires et financiers privés!) j’apprécie vos analyses mais je crois qu’il faut sortir de l’idée de la refondation de l’Europe! Par ailleurs à propos de nos amis socialistes , ce sont tous des traitres ;Miterrand qui n’a pas eu un cursus de gauche voir son histoire pendant la seconde guerre mondiale, a tout fait pour se servir du parti communiste pour arriver au pouvoir et appliquer les directives néfastes de l’Europe ;son but :”faire tomber le parti communiste à 2%” , il y est quasi parvenu puisque le PC ne repréente malheureusement plus rien! presuqe personne en France ne connaît l’histoire du Front Popûlaire et du conseil de la résistance!!! Le PS n’est là que pour faire preuve de sa soumission au capitalisme et au marché en faisant croire qu’ils sont modernes et qu’il faut donc approuver des réformes qui comme vous le voyez sont scélérates (voir M.ROCARD si prisé par notre élite socialiste et de droite!) !!! Ne vous affiliez plus à ses TRUANDS du PS qui nous ont encore une fois trahi .bien à vous Nadine Bourgeaud

Jayna 8 août 2016 à 11 h 35 min

Cool! That’s a clever way of looikng at it!

DOMART Jean-Marc 10 juillet 2016 à 23 h 05 min

La différence de traitement entre le “Grexit” menaçant et celui du Brexit, tant par les médias que par les gouvernants européens est flagrant: le mépris total pour le premier et la panique pour le second. Et la Grèce, en ce moment, ne fait pas, c’est sûr, la une des JT. Le respect de la volonté des peuples n’est guère le premier souci de la Commission de Bruxelles et des gouvernants européens, on s’en est déjà aperçu lors des votes “non” de différents pays au Traité de Lisbonne. Il faut aussi, à ce titre se souvenir de ce que l’actuel Premier ministre Valls a voté “oui” au congrès de Versailles en 2008, reniant ainsi le vote “non” des Français au référendum de 2005.
Quant à La France comme à la Belgique, le modèle social est particulièrement visé par les lois Travail, les médias français, d’ordinaire grands donneurs de leçons de liberté d’informer étant plus que discrète sur l’importante mobilisation belge du 24 mai dernier. Ils trient que nous “devons” savoir et ce que les “manants” que nous sommes “n’ont pas à savoir”, comme des enfants d’école primaire!
On sait que l’Allemagne de Mme Merkel et Mr Schauble vise depuis longtemps à la destruction du modèle social français, et a, pour ce faire d’excellents “collaborateurs” avec MM Valls, Hollande, Macron et El Khomri. Pour rappeler de mauvais souvenirs, l’Europe capitaliste sous domination du capital allemand (et d’autres indirectement), ça a aussi donné une Charte du Travail anti-syndicale et corporatiste entérinée par un certain René Belin, socialiste…
Quant à l’omniprésence de l’Euro sur tous les médias, le “panem et circenses” du satiriste romain du 1er siècle Juvénal, c’est une vieille pratique de dérivatif entretenue par des gouvernants autoritaires en mal de paix sociale. Pratique connue, dans le même registre, dans les gouvernements dictatoriaux d’Amérique Latine à une autre époque. D’après un camarade portugais, sous la dictature de Salazar, au Portugal, il y avait les “3 F”: Fatima, Fado, Foot-ball…
Cela n’empêchera pas que la contestation de la loi Travail va se prolonger, y compris pendant l’été, pour redémarrer dès septembre jusqu’au retrait, n’en déplaise aux Schauble, Valls, Hollande et autres, qui devront renégocier leur feuille de route avant les élections de l’an prochain, et respecter la volonté du peuple français.

alain harrison 12 juillet 2016 à 2 h 00 min

Je ne crois pas.

Trop de tergiversations et rien sur les solutions.

Vous soulignez Jaurès:
«« on va jusqu’à détruire l’idée européenne telle que formulée par Hugo ou Jaurès. »»

Mais c’était quoi l’idée de Jaurès, en résumé.

Pour faire parti d’un grand ensemble, il faut commencer par résoudre ses problèmes importants, ce qui n’a pas été fait. Au sein de l’UE, les problèmes s’aggravent par le fait même que les problèmes des autres pays non résolus s’amalgament au point qu’aucune solutions n’est possible.

L’UE “financière”, c’est ça qui a été fait. Maintenant, pour résoudre les problèmes, c’est un vrai casse-tête sans porte de sortie.

Vous avez avaler la couleuvre de juncker sans un tic:

J-C Juncker, président de la Commission européenne,
le 29 janvier 2015, le Figaro
Encore l’Europe ? Plus que jamais. Si le monde ne va pas bien (1), l’Europe, rongée par ses contradictions, ne peut plus tenir le couvercle sur ses dysfonctionnements – et d’abord sur le premier et le plus grave de tous, manquement à ses propres règles, le respect de la démocratie, régime politique dans lequel le pouvoir est exercé par l’ensemble des citoyens qui se déterminent dans les urnes, selon la constitution de leur pays. Or le nouveau président de la Commission, le luxembourgeois Jean-Claude Juncker, a osé une affirmation extraordinaire dans un entretien accordé au Figaro (édition abonnés) le 29 janvier dernier (2) : « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ». Déni proprement scandaleux et absurde à tous égards, y compris précisément parce que le Traité sur l’Union européenne en cours précise dans son article 50, paragraphe 1 (3) : « Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union ». Ce sont justement les électeurs et eux seuls qui peuvent en décider, faute de quoi nous serions en dictature, régime politique dans lequel le pouvoir est entre les mains d’un seul homme ou d’un groupe restreint qui en use de manière discrétionnaire.

Ceux qui prônent l’UE sont des fascistes.
Un fasciste est par définition anti-démocratique point.

Pour faire l’Europe des Peuples il faut casser l’UE, sortir de l’OTAN, de capitalisme financier et de l’euro, et mettre en place une nouvelle monnaie avec un système bancaire citoyen.

Chaque pays qui sort de l’UE, fait le point et peu adopter la nouvelle monnaie et le système bancaire citoyen.

On détruit mais on remplace par quoi ?
Attentio on détruit un système idéologique basé sur la finance et la marchandisation.

On ne détruit pas les édifices. Mais on claire tout le monde de ses institutions.

Quand viendra le temps, on embauche sous condition dicté par le Peuple.

Des milliers de comités citoyennes-travailleurs et leur mission du changement tout azimut.

alain harrison 12 juillet 2016 à 2 h 29 min

Pour reconduire les mêmes politiques, il faut vraiment être fou on crétin ou débile léger.

Au Québec, le bipartisme PLQ-PQ (option indépendantiste) reconduit, C’est à dire, chacun à leur manière (l’un expert , l’autre maladroit) les mêmes politiques dicté pas les agences de notation. Comment en jouant sur l’alphabet: une note A ou A+ ou A-…et le tour est joué.
le reste, des arguments fallacieux d’ économie financière et le manège habituelle de la bourse descend monte……..

Le Brexit, le vote Suisse sur le revenu de base, deux exercices de dissuasion.
L’un a pris la finance par surprise, l’autre en est un de non faisabilité.
Ce sont des leurres, chacun à leur manière.
Pour le revenu de base, c’est un coup dure, mais passager, il faut démontrer la faisabilité qui est essentiellement basé sur la croyance de son impossibilité. Une croyance à démystifier.

Le revenu de base, nos sommes rendu là.
Parlons de son potentiel et de ses avantages: l’éradication de la pauvreté.
Et pour les femmes, les femmes battues, le moyen radical de sortir de l’enfer, pour elles et leurs enfants. Et pour les hommes abuseurs, se faire soigner point.

Le Brexit a passé, et pour la gauche c’est le temps de mettre ses culottes.

La sortie des 4, il n’y a pas d’alternative.

L’OTAN et la militarisation états-uniennes des pays d’Europe, et Tsipras a joué le jeu jusqu’au bout, trahissant tout sur son passage.

Lisez dont sérieusement Crime contre l’Humanité et les quelques autres articles qui font le point sur la situation.
Quand on dit que le passé est garant de l’avenir, c’est parce que nous ne sommes pas présent, mais errant.

alain harrison 12 juillet 2016 à 3 h 53 min

Un BlOG intéressant.

http://chouard.org/blog/

alain harrison 25 juillet 2016 à 22 h 04 min

Bonjour.

Mais où est Amnistie Internationale.

OUI, mais….

«« Il ne suffira ni de déplorer, ni de déclamer des prophéties pour masquer son impuissance. L’heure est venue d’aider à fédérer les habitants du continent, à rassembler les jeunesses et à agir pour construire ensemble un projet social, démocratique et environnemental commun. Le défi est immense ! Il faut l’affronter ! La fête de L’Humanité en sera l’un des moments ! »»

Oui, mais il faut les 4 sorties ce qui est la condition, ou si vous préférez, c’est la mise en branle des 4 sorties qui seront en fait, la mise en place des conditions nécessaires à:

«« Il ne suffira ni de déplorer, ni de déclamer des prophéties pour masquer son impuissance. L’heure est venue d’aider à fédérer les habitants du continent, à rassembler les jeunesses et à agir pour construire ensemble un projet social, démocratique et environnemental commun. Le défi est immense ! Il faut l’affronter ! La fête de L’Humanité en sera l’un des moments ! »»

De pays à pays indépendant avec la collaboration du peuple de chaque pays, comme Maître d’oeuvre et Souverain.

La politique n’est que l’outil à cette fin, un outil de pouvoir légitime, et que seul le Peuple peut légitimer, c’est pas le système juridique et encore mois des avocats ou les militaires, eux servent à protéger le fait Souverain: le Peuple.

Séparation du pouvoir souveraine-peuple : de l’église, de la justice (les avocats), des militaires, des hommes d’affaire (Boss et marchand et leurs outils..), des banquiers, et de la horde politicienne actuelle. En plus, il y a du ménage à faire dans la fonction publique et les syndicats devront s’y prêter.

Il y a tout un ménage à faire, et c’est l’une des tâches de la révolution, mais pas n’importe comment.

Alors le travail de longue haleine auprès de la population, c’est pour quand et baser sur quoi qui est rassembleur: on fait pas du vrai avec du faux (Krishnamurti) ou avec des demis vérités.

Si vous ne voyez pas la question fondamentale:

Qu’est-ce que cela me rapporte , à moi, à ma famille, à mon milieu, car je vis dans un milieu, dans un pays qui a des effets collatéraux sur moi et moi sur lui.

Qu’est-ce que penser globalement et agir localement ?

Et qu’est ce que peut apporter le Marxisme, Jaurès…et peut être le Venezuela…..

La question est large, mais la crise de 2008, le point tournant d’accaparement et ses effets collatéraux “synergique” sur le monde, a fait que la crise soulève radicalement le fait que la crise est de nature multidimensionnelle.

Nous sommes retournés es au siècle dernier:

«« Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu’un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu’il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C’est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d’un pays qui en déterminent les lignes d’action, et ce n’est jamais qu’une question simple que d’entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. […] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu’il suffit de faire, c’est de leur dire qu’ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays. »»

Hermann Göring

Tien, Erdogan pratique la purge (une arme de destruction massive)

Maintenant regarder l’emprisonnement de:

«« 10 septembre 2015, 22:54 UTC

Venezuela. La condamnation du leader de l’opposition témoigne de l’absence d’indépendance de la justice

La condamnation d’un leader de l’opposition à 13 ans et neuf mois de prison, sans preuves crédibles, témoigne de l’absence d’indépendance et d’impartialité de la justice au Venezuela, a déclaré Amnesty International.

« Les charges retenues contre Leopoldo López n’ont jamais été dûment étayées et sa condamnation à une peine de prison est motivée par des considérations politiques. Son seul “crime” est de diriger un parti d’opposition au Venezuela, a déclaré Erika Guevara-Rosas, directrice du programme Amériques à Amnesty International. »»

https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2015/09/venezuela-sentence-against-opposition-leader-shows-utter-lack-of-judicial-independence/

Mais où est Amnistie Internationale ?

Qui sont ses investisseurs ?

Quand à nos médiats……..et en Espagne…….

Les questions de répartition des médiats une question fondamentale (effet synergique sur les esprits) incontournable pour les élections. OUI NON

alain harrison 25 juillet 2016 à 23 h 56 min

Maintenant, j’ai la confirmation que dans la gauche , le vieil esprit (du vieux monde) domine. Les frères ennemis.

Et cela, c’est le méta conditionnement, et le jeu hypocrite des partis en présences.

Chacun a ses mobiles de prôner les discours: nous sommes pour les déshérités es, nous devons réformer cette UE pour l’UE social et du travail (une nouvelle formulation pour continuer l’exploitation: un genre de politique économique à la pièce……. les …….d’ajustements, un système pour les amis. Vous ne voyez pas ?!
Ce que j’en pense : zzzzzzzzzzzzz

Mais en réalité ils ont leur intérêt propre.

Marx, et Jaurès de belles images.

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