Le ciel restera-t-il bleu ?

le 31 mai 2022

On peine à le croire ! Et pourtant, pour lutter contre le réchauffement climatique, on discute en hauts lieux des possibilités du développement de « géo-ingénierie », c’est-à-dire de la mise en œuvre de techniques de modifications climatiques artificielles.

Ainsi, au lieu d’accélérer les processus permettant de limiter le réchauffement climatique, comme le préconisent le GIEC et les conférences sur le climat, les « grands » de ce monde ont installé mi-mai une « commission mondiale sur la gouvernance des risques liés au dépassement climatique ».

Il ne s’agit pas donc ici d’agir pour limiter le réchauffement climatique, mais de sa « gouvernance », autrement dit, sur la manière dont on peut manipuler la biosphère pour que la température sur Terre reste supportable.

Cette commission, présidée par M. Pascal Lamy, ancien commissaire européen, ancien directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, et subsidiairement socialiste français, est chargé de réfléchir à « l’après ».

Dans la novlangue technocratique, « l’après », c’est le moment où la planète continue inexorablement de se réchauffer.

Les puissances économiques mondiales auraient-elles donc décidé de surseoir aux orientations des conférences mondiales pour le climat ? On connaît pourtant les terribles impacts du réchauffement climatique à chaque fraction de degré supplémentaire.

Les préconisations désormais largement admises exhortent les pays et les entreprises à réduire sans attendre et drastiquement leurs émissions de gaz à effet de serre, avec le développement notamment d’énergies non carbonées. Des technologies de captage du gaz carbonique ou d’élimination du dioxyde de carbone pourraient être déployées avec des captations directes de l’air et des plantations massives d’arbres au lieu de la poursuite de la destruction de la forêt amazonienne. Les systèmes de transport doivent être révolutionnés afin de développer les transports publics non polluants comme le train ou les trams en ville. Un plan audacieux de rénovation énergétique des logements est indispensable, lié à une nouvelle politique de la ville conjuguant choix sociaux et environnementaux. C’est un grand enjeu de santé publique. De même, les pratiques agricoles rémunératrices pour les paysans doivent devenir économes en intrants et respectueuses de la biodiversité. Les gaspillages en tout genre, notamment l’obsolescence programmée, doivent être bannis. Les traités de libre-échange – qui envoient circuler, sur les mers et dans les airs, des marchandises qui pourraient être produites localement, sans polluer – doivent céder la place à de nouveaux traités de coopération sociale et écologique. Bref, des choix existent pour limiter le réchauffement climatique et respecter la biodiversité. Il faut en avoir la volonté politique.

Or, que discute-t-on au sein de cette commission mondiale ? De développer cette fameuse « géo-ingénierie » ! C’est-à-dire de modifier artificiellement l’impact des rayonnements solaires. Effrayant ! Après avoir souillé la Terre et les airs, voici que de grands groupes transnationaux trouveraient un nouveau débouché pour la rémunération des capitaux. Que de telles techniques puissent faire aujourd’hui l’objet du travail d’une commission mondiale à laquelle participent d’anciens chefs d’État et de gouvernements de pays capitalistes doit nous inquiéter et nous alarmer au plus haut point. La « géo-industrie » solaire consiste en effet à injecter dans la haute atmosphère des particules aérosols destinées à occulter une part de la lumière du soleil afin de faire baisser la température sur la planète.

On imagine que les sociétés industrielles, de transport et les fonds financiers responsables de la pollution sur Terre seraient aussi celles qui participeraient à cet endiguement artificiel des températures. Ce dernier nécessiterait l’expédition régulière d’un million de ballons dans la stratosphère pour y brûler du soufre permettant la dispersion de particules sulfatées. Une gigantesque flotte d’avions gros-porteurs larguerait régulièrement des milliards de particules occultantes à plus de dix kilomètres d’altitude.

Les effets collatéraux prévisibles seraient terribles : pollution accrue avec la retombée de particules fines, perturbation des moussons, baisse des précipitations dans certaines zones de la Terre, altération des courants marins. Bref, le remède serait pire que le mal. Par contre, les profits seraient intacts et la suraccumulation du capital repartirait de plus belle.

Ces insensés rêves de contrôle du climat placeraient l’humanité dans une insoutenable insécurité supplémentaire. Qui, en effet, aurait la main demain sur le thermostat de la planète ?

La couleur bleue du ciel deviendrait blanchâtre sous l’effet de ces produits occultant le soleil.

Conserver la couleur du ciel et la vie sur Terre nécessite un net changement de cap des modes de production, de consommation et de distribution. La fuite en avant capitaliste dans la marchandisation du carbone, comme des technologies visant à modifier artificiellement le climat, est une impasse mortifère.

Au lieu de laisser les puissances industrielles et financières faire des profits sur les modifications climatiques, il conviendrait de changer de voie, pour réorienter les flux financiers et les capitaux vers le bien commun, la coopération entre les peuples et aider les pays du Sud et des régions du monde les plus pauvres. Tout autre chose que l’actuel axe Europe-États-Unis en soutien aux multinationales et aux marchés financiers.

Il ne peut y avoir de progrès humains et écologiques généraux sans une aide financière et technologique aux pays les plus pauvres. Des processus démocratiques nouveaux en lien avec des États sociaux et écologiques permettraient d’impulser de nouveaux investissements en mobilisant les banques publiques et les banques centrales pour financer les projets d’une planification écologique et sociale de gauche et non repeinte aux couleurs capitalo-macroniste.

Choisir une autre voie est la garantie que le ciel pourra rester bleu. Chaque action compte. Le temps presse.

Patrick Le Hyaric   

le 31 mai 2022

La chronique de L’Humanité en partenariat avec Radio Orient le samedi à 12h10 et le dimanche après le journal de midi.


14 commentaires


Moreau 31 mai 2022 à 17 h 09 min

Un plan pertinent de rénovation énergétique des logements pour qu’il soit accepté par les propriétaire, ça exige bien d’associer les meilleures idées de propriétaires, et d’abroger des lois devenus absurdes de “classement en zone historique”, pour des critères de classement artistiques et écologique puisque l’écologie est à son origine une poésie. Obliger les propriétaires à utiliser des matériaux, je pense pour le toit, anciens pour ne pas remplacer “le caractère historique” par mieux, aussi poétique sinon plus, plus isolant, plus efficace. Les deux premières décennies ont été gaspillés pour un grand nombre d’habitats, par des rénovations absurdes au regard de ce qui était possible pour beaucoup plus de bons résultats avec lesquels tout le monde serait gagnants. Et je suis contre la folie de modifications climatiques artificielles. L’Art majeur est indispensable aux Hommes pour résoudre le mieux possible en respectant la nature, les grands défis du vingt et unième siècle.

Moreau 1 juin 2022 à 11 h 20 min

Il faudrait un grand débat européen sur le transport particulier. Les voitures à moteur thermique, mécaniquement car les nouvelles ont d’énormes défauts, restent les plus économiques et les plus fiables en recourant à tous les éléments bien éprouvés pour la construire. Elles sont toujours présentées comme étant trop polluantes, alors que la recherche concernant le carburant universel ne fait toujours pas parler d’elle, ce qui semble très incohérent car pendant longtemps les constructeurs automobiles ont construit des voitures à partir des carburants mis au point et en vente dans chaque station service. Il faudrait peut-être donc voir si l’invention de la voiture du vingt et unième siècle sans abandonner le moteur thermique ne serait pas nettement meilleure en concevant un carburant universel qui pourrait être composé peut-être car je ne suis en rien expert, des essence super, de l’essence éthanol, de l’essence verte… De façon à disposer d’un carburant unique commun, plus propre et fiable, car l’essence éthanol seule par exemple n’inspire pas confiance même si les moteurs thermiques nouveaux sont prévus plus résistants…

La politique des carburants des vingt dernières années ne me paraît pas convaincante, le GPL avec le réchauffement climatique, fait peur… Les batteries au lithium ne sont pas recherchées par les Automobilistes… Les batteries au sodium ne sont pas encore au point.

Je me demande si l’avenir ne serait pas bien plus simple et excellent avec un carburant unique commun, un carburant universel.

Et puis il faut s’intéresser aux petits moteurs essence des voitures sans permis (Kubota) qui polluent très peu, voir comment réduire la pollution par la construction optimale de moteur, en renonçant à faire des moteurs thermiques très puissants, pour des véhicules particuliers (trop) rapides.

ÉGALEMENT UNE SOLUTION QUI N’A JAMAIS ÉTÉ PROPOSÉE QUI PERMETTRAIT DE CONSTRUITE MOINS DE VOIES ROUTIERE SERAIT DE CONSTRUITE LA VOITURE POUR TOUTES ET POUR TOUS ET QU’ELLE PUISSE ÊTRE EMBARQUÉE POUR LES LONGS DÉPLACEMENT SUR DES TRAINS A MOYENNE VITESSE. IL NE FAUT PAS PENSER TGV et COVOITURAGE, MAIS TRANSPORTS MOYENNE VITESSE POUR TOUTES ET POUR TOUS ET TGV PRAGMATIQUE.

Moreau 3 juin 2022 à 18 h 04 min

Ce n’est pas de l’universalisme qu’il faut sortir alors qu’il correspond au nouveau monde que tout le monde espère et qui est long à faire vivre ; de n’est pas de la monnaie Euro qu’il faut sortir si ce n’est que pour plus d’économie sans argent ; il faut sortir de la course aux armements, des ruées vers l’argent, il faut sortir de l’autocratie, de la ploutocratie ; il faut sortir et ça dépend beaucoup des Pays membres de l’ONU et des nouvelles adhésions à l’ONU, du réchauffement climatique, des risques de manque d’eau consommable, des risques d’épidémies, de famines…

Moreau 4 juin 2022 à 14 h 59 min

Le chaos tient en échec l’ONU, l’ONU doit faire échec au chaos ou l’Humanité ne sera pas sauvée par les Peuples dits souverains… Plus les idéologies sont populistes et extrémistes, moins il y a de démocratie réelle, et donc la souveraineté des Citoyennes et des Citoyens est plus une pacotille, et « les crises aidant » une soumission ; et ne n’est ni la République authentique, ni la France Libre, ni Europ’ Art, tout ça…

Les analyses et les propositions citoyennes ne figurent pas dans les projets imprimés lors des élections législatives par exemple, d’où la classe politique pousse beaucoup de personnes à l’abstention ou au vote blanc.

Moreau 6 juin 2022 à 10 h 50 min

Tout le monde peut trouver à lire sur internet l’information récente que les neiges éternelles ont diminué sur les Alpes (probablement ailleurs aussi), et que si les neiges éternelles cessent d’être éternelles, des sources, des cours d’eau se tariront, des barrages pour l’électricité risquant de ne plus fonctionner ; alors qu’en même temps l’arrivée d’eau salée vers l’intérieur des terres est ni plus ni moins qu’annoncée…

Je ne vois pas comment les Personnages brillants, les Génies performants, peuvent “stabiliiser le réchauffement climatique”… On nous dit “N’ayez pas peur !”, alors que toutes ces informations de la nature mise de plus en plus à mal, font très peur avec un peu de lucidité.

Il risque aussi d’y avoir de plus en plus de chômage car le travail risque de plus en plus de s’avérer vain.

La suffisance peut détruire la Terre et l’Humanité.

Moreau 6 juin 2022 à 20 h 19 min

Il faut une Union de la Gauche socialiste authentique et communiste authentique universaliste, solide et forte, amie et solidaire ; parce que la crise du social actuelle est grave ou très grave selon ses victimes, les quelques aides sont mal acheminées aux ayant-droits qui n’en bénéficient pas ainsi ; ce n’est pas assez simple et évident ; et les menaces climatiques sont très dangereuses. Nombreuses sont les personnes qui vivent avec des peurs, et malheureusement la peur est provoquée par des défauts réels de politiques. Il faut une évolution nouvelle des politiques du vingt et unième siècle dans le respect bien sûr de la construction de l’Union Européenne et de sa meilleure continuité.
Il y a une incohérence du président Macron, qui dit que les crises vont continuer, notamment à cause des conflits, et qui ne parle pas de l’évolution inadaptée d’autant, du social. Certaines réformes de la fin de 2021 autorisait à avoir des doutes, maintenant, les gens ont des peurs. Tout comme la déstabilisation de la République en France et en Union Européenne peut faire peur aussi.
Il faut que les gens arrivent à survivre, c’est de cela même dont il s’agit.

Moreau 6 juin 2022 à 21 h 29 min

Personne n’arrive à comprendre qu’il faut un temps interminable pour mettre au point UN CARBURANT UNIVERSEL NON POLLUANT pour tous les moteurs thermiques sans exception, alors qu’il a fallu seulement quelques mois pour mettre au point des vaccins efficaces contre le coronavirus.
Personne n’arrive aussi à comprendre que ça continue encore, le commerce extrême des choses de première nécessité comme l’automobile pour toutes et por tous, l’informatique et le numérique pour toutes et pour tous ; alors que l’alternance inédite pouvait et devait y remédier.
Beaucoup de personnes pensent que les excès son allés trop loin, beaucoup trop loin.
Si des glaciers et des neiges éternelles fondent, si des submersions peuvent survenir ; ce n’est pas vrai que c’est de la faute de tout le monde ; en vérité il y a des vraies victimes de tous les fléaux qui ne sont pas causés par tout le monde.. C’est trop facile d’incriminer tout le monde comme si la domination de l’Homme par l’Homme n’avait jamais sévi.

Moreau 6 juin 2022 à 21 h 57 min

Le covoiturage, oui, mais le covoiturage intelligent : LE COVOITURAGE FERROVIAIRE SOUS LE NOM DE FERROUTAGE DU VINGT ET UNIÈME SIÈCLE !
L’ÉCOLOGIE, OUI, BIEN SÛR, MAIS L’ECOLOGIE UNIVERSELLE AVEC SES VRAIES SOLUTIONS AMIES ET SOLIDAIRES POUR TOUTES ET POUR TOUS.
Le socialisme authentique, et le communisme authentique, ne sont pas des démagogies.
Les populations souffrent et ont de plus en plus d’inquiétudes, de soucis, de peurs, à cause des gaspillages et des dépenses de l’argent des contribuables non efficaces pour certaines et non des moindres.
L’Humanité est menace de disparaître, à cause, c’est le comble avec tout l’argent qui a été dépensé dans l’éducation, l’industrie, l’entreprise ; des faux Brillants, des faux Génies performants…
L’Humanité est menacée de disparaître dans une fin atroce, à cause des faux Brillants, des faux Génies performants, c’est bien le comble après tout l’argent qui a été dépensé pour l’éducation, l’industrie, l’entreprise !

Moreau 6 juin 2022 à 22 h 00 min

La grande écologie universelle, toute la grande écologie universelle, rien que la grande écologie universelle.

Moreau 7 juin 2022 à 7 h 50 min

Quand pas assez n’est fait en politique pour toutes et pour tous, selon le bon sens populaire humain authentique qui exige de prendre en consIdération aussi les idées évolutives proposées, ça ne peut que mal tourner pour la vie des populations : plus de victimes des politiques, plus de violence de haine ; car nous les Hommes nous sommes interdépendants et l’assumance de l’interdépendance exige amitié, solidarité amie. Le contraire perpétré le plus par des personnages qui n’ont jamais balayé devant leur porte ; est faute ou crime contre l’Humanité, prohibant des progrès nécessaires et indispensables à coups d’argumentations extrêmes.
Les voitures électriques sont en partie seulement bien inventée, donc en partie aussi, mal inventée. Dans le point que nous pouvons lire sur internent en 2022, il n’y a pas de batterie adéquate, il vaut mieux l’hybride, voire il faudrait un groupe électrogène adéquat fonctionnant avec un carburant universel non polluant, embarqué, pour les faire fonctionner.
Tout ce gâchis incroyable sur plusieurs années parce que la recherche du carburant universel à partir duquel il fallait réinventer la mécanique thermique n’a pas été effectuée. Je ne dis pas que tout ce qui a été inventé d’autre est sans aucun intérêt, mais ça ne répond pas à l’intérêt de tout le monde, ça, c’est sûr.
On nous a dit que d’excellents moteurs comme les moteurs des 2cv, Acadiane, Méhari, Ami 6, Ami 8, Visa, LNA, de Citroën ; à refroidissement par air ; étaient des « vieux moteurs », alors que tout n’était pas dépassé dans ces mécaniques thermiques, le système de carburation surtout étant à réinventer à partir d’un carburant universel non polluant le meilleur possible pour les moteurs thermiques. L’absence de progrès réel accompagnant des gaspillages par dépenses d’argent public de subventionnement passant outre la première nécessité d’un carburant universel du vingt et unième siècle, est à l’origine de la crise du moyen de transport particulier aggravé par la démagogie politique passant sous silence le grand covoiturage ferroviaire possible, réalisable, autant que souhaitable ; à moyenne vitesse ; pour toutes les grandes distances.
C’est hélas encore à cause de la démagogie politique encore trop fréquente ; que la crise du moyen de transport particulier dure, de plus en plus cruelle, depuis des années, des années, et des années.
Les médias sont en très grande partie responsable de ce pire aller, le respect de la démocratie exigeait de parler de tous les sujets politiques réels et pas seulement des retraites (faux sujet politique car la seule justice est de pouvoir partir à la retraite selon les âges de départ entre 60 et 65 ans, et non à 65 ans ou à 60 ans de façon exhaustive ; et de la lutte contre la pandémie…

D’autant qu’il est surtout question de mécanique hybride en 2022, la mécanique thermique n’est pas une mécanique du passé, mais une mécanique restant moderne. Par contre les carburants, c’est du n’importe quoi et la conséquence est l’invention de mécaniques pas pour toutes et pour tous. C’est de la faute de la classe politique, pas de la faute de toutes les Citoyennes et de tous les Citoyens.

Moreau 7 juin 2022 à 7 h 54 min

Et des régressions du bouclier social humain universel s’avérant en 2022 jusqu’à faire survivre dans la peur, sont fautes ou crimes contre l’Humanité. C’est le monde à l’envers à son paroxysme et ce n’est pas le monde à l’envers qui peut relever les grands défis actuels.

Moreau 7 juin 2022 à 8 h 04 min

L’empirisme industriel notamment français, fautes ou crimes contre l’Humanité, a fait ressortir entièrement que ce ne sont pas les moteurs thermiques qui polluent mais certains carburants très utilisés alors que mal inventés, et la démagogie du covoiturage entre particuliers jusqu’à l’esclavage ; alors qu’il fallait, qu’il faut, le grand covoiturage ferroviaire du vingt et unième siècle.

Et il faut de toute urgence rétablir un bouclier social au sens littéral.

Moreau 7 juin 2022 à 8 h 10 min

Il faut le carburant universel et le carburateur universel du vingt et unième siècle, c’était ce que devait fixer la classe politique au lieu de se perdre en démagogie aux lourdes conséquences financières, économiques et sociales, sociales et économiques.
Le petit moteur de Citroën mérite sa réputation bafouée par l’arbitraire et l’empirisme ; c’est l’invention la plus géniale du moteur thermique pour les transports particuliers jusqu’à présent. Rien n’existe encore d’aussi bien et d’aussi valable.

IiLesKDt 14 juin 2022 à 11 h 29 min

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